Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
"War Pony" est un beau grand (premier) film sur la résistance et la résilience.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
20 Minutes
par Caroline Vié
C’est sans doute de ce côté naturaliste puisant dans la vraie vie de héros courageux que vien la force de War Pony. Le spectateur aimerait pouvoir venir prêter main-forte à ces Natifs américains bafoués par l’histoire et malmenés par la société actuelle.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Le travail avec les acteurs non professionnels [...] tire le récit loin des figures toutes faites que l’on pourrait vouloir y plaquer. Cette sobriété, qui ne force pas l’émotion dans un sens ou dans un autre mais la cherche dans les reliefs, va de pair avec un art de faire coexister la beauté et l’horreur de ce lieu : non pas en soufflant le chaud et le froid, mais en tenant le pire et le meilleur comme les deux faces d’une même pièce.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un beau film ethnographique enragé, brut, débordant de tendresse pour des tribus à la vie dure.
Elle
par Françoise Delbecq
Un film sensible et palpitant sur l'enfance et le passage à l'âge adulte.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Il y a bien de la douleur, dans War Pony, une réalité sociale qui cogne dur, mais jamais de plainte, de misérabilisme.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La mise en scène à la lisière du documentaire et les acteurs exclusivement non professionnels apportent une belle authenticité à ce récit d’apprentissage poignant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Point de misérabilisme ni de sensationnalisme : la caméra n’est jamais braquée sur le pire, mais s’y faufile en enveloppant ses personnages de son attention.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Les réalisatrices signent un premier film saisissant, où la violence est adoucie par la grâce d'un de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Maroussia Dubreuil
Voyage à la fois grave et utopique au pays d’une adolescence laissée à elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par P.L.
War Pony vibre grâce à ses excellents interprètes et à des visions surréalistes saisissantes.
Positif
par Yann Tobin
Le film est réalisé sans condescendance ni misérabilisme par deux réalisatrices au regard empathique, mais jamais complaisant.
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Un film saisissant.
Voici
par La Rédaction
Vibrant.
L'Obs
par François Forestier
Les deux réalisatrices captent avec acuité l’étincelle noire qui court dans ce monde mourant, où, autrefois, les bisons et les Oglalas se côtoyaient. Tout indique que la fin sera une tragédie. Las, c’est une farce. Rupture de ton voulue, certes, mais mal venue. Dommage, car le reste du film est intrigant, émouvant, aigu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Parfois naïf et maladroit dans sa réalisation, il n’en est que plus touchant et a valu à ses auteurs une Caméra d’Or – prix du meilleur premier film – au dernier Festival de Cannes et un prix du jury à Deauville.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par C.J.
Ce portrait croisé naturaliste, presque documentaire, teinté de réalisme magique et signes ésotériques, de galériens bien intentionnés en butte à des siècles de spoliation et de marginalisation, a révélé un duo de réalisatrices étonnant : la comédienne et petite-fille d'Elvis Presley Riley Keough et l'auteur de clips musicaux et publicitaires Gina Gammell.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Porté par de superbes acteurs débutants, le film de Riley Keough et Gina Gammell suit deux jeunes Lakotas marginaux aux prises avec une société qui ne leur offre aucune aide.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Si les aventures des deux jeunes séparés par une décennie ne sont pas d’une grande originalité, on est happé par la qualité de la mise en scène, loin de tout misérabilisme, qui les rend sympathiques et nous fait craindre pour eux. Les deux acteurs principaux, qui chacun leur tour remplissent l’écran, sont tout à fait remarquables.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Mais, alors que le film s'enfonce dans les péripéties morbides, il opère un tête-à-queue, artificiel mais salvateur, vers une fin plus positive, plus apaisée.
Le Parisien
par La Rédaction
Avec son scénario et ses images brouillonnes, le long-métrage est loin de se hisser au niveau, sur le même thème de la vie dans les réserves, de l’exceptionnel « les Chansons que mes frères m’ont apprises » de Chloé Zhao (2015) — qui était également un premier film —, ou même de la série « Reservation Dogs » sur Disney +.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Passé le moment de la découverte, le film peine à déployer un vrai point de vue et s’enfonce dans les ornières d’un esthétisme clipesque de mauvais aloi.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Frédéric Foubert
Ce portrait croisé d’un jeune homme de 23 ans et d’un gamin de 12 ans vibre grâce à ses excellents interprètes, mais se heurte aux clichés du récit initiatique « indé » – narration lâche, poésie naïve.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
War Pony a aussi le malheur d’arriver après les films de Chloé Zhao, Les chansons que mes frères m’ont apprises (2015) et The Rider (2017), tournés, eux aussi, dans la réserve de Pine Ridge, mais avec bien plus de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
"War Pony" est un beau grand (premier) film sur la résistance et la résilience.
20 Minutes
C’est sans doute de ce côté naturaliste puisant dans la vraie vie de héros courageux que vien la force de War Pony. Le spectateur aimerait pouvoir venir prêter main-forte à ces Natifs américains bafoués par l’histoire et malmenés par la société actuelle.
Cahiers du Cinéma
Le travail avec les acteurs non professionnels [...] tire le récit loin des figures toutes faites que l’on pourrait vouloir y plaquer. Cette sobriété, qui ne force pas l’émotion dans un sens ou dans un autre mais la cherche dans les reliefs, va de pair avec un art de faire coexister la beauté et l’horreur de ce lieu : non pas en soufflant le chaud et le froid, mais en tenant le pire et le meilleur comme les deux faces d’une même pièce.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un beau film ethnographique enragé, brut, débordant de tendresse pour des tribus à la vie dure.
Elle
Un film sensible et palpitant sur l'enfance et le passage à l'âge adulte.
Le Dauphiné Libéré
Il y a bien de la douleur, dans War Pony, une réalité sociale qui cogne dur, mais jamais de plainte, de misérabilisme.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène à la lisière du documentaire et les acteurs exclusivement non professionnels apportent une belle authenticité à ce récit d’apprentissage poignant.
Le Monde
Point de misérabilisme ni de sensationnalisme : la caméra n’est jamais braquée sur le pire, mais s’y faufile en enveloppant ses personnages de son attention.
Les Fiches du Cinéma
Les réalisatrices signent un premier film saisissant, où la violence est adoucie par la grâce d'un de ses personnages.
Marie Claire
Voyage à la fois grave et utopique au pays d’une adolescence laissée à elle-même.
Ouest France
War Pony vibre grâce à ses excellents interprètes et à des visions surréalistes saisissantes.
Positif
Le film est réalisé sans condescendance ni misérabilisme par deux réalisatrices au regard empathique, mais jamais complaisant.
Sud Ouest
Un film saisissant.
Voici
Vibrant.
L'Obs
Les deux réalisatrices captent avec acuité l’étincelle noire qui court dans ce monde mourant, où, autrefois, les bisons et les Oglalas se côtoyaient. Tout indique que la fin sera une tragédie. Las, c’est une farce. Rupture de ton voulue, certes, mais mal venue. Dommage, car le reste du film est intrigant, émouvant, aigu.
La Croix
Parfois naïf et maladroit dans sa réalisation, il n’en est que plus touchant et a valu à ses auteurs une Caméra d’Or – prix du meilleur premier film – au dernier Festival de Cannes et un prix du jury à Deauville.
Le Figaro
Ce portrait croisé naturaliste, presque documentaire, teinté de réalisme magique et signes ésotériques, de galériens bien intentionnés en butte à des siècles de spoliation et de marginalisation, a révélé un duo de réalisatrices étonnant : la comédienne et petite-fille d'Elvis Presley Riley Keough et l'auteur de clips musicaux et publicitaires Gina Gammell.
Libération
Porté par de superbes acteurs débutants, le film de Riley Keough et Gina Gammell suit deux jeunes Lakotas marginaux aux prises avec une société qui ne leur offre aucune aide.
aVoir-aLire.com
Si les aventures des deux jeunes séparés par une décennie ne sont pas d’une grande originalité, on est happé par la qualité de la mise en scène, loin de tout misérabilisme, qui les rend sympathiques et nous fait craindre pour eux. Les deux acteurs principaux, qui chacun leur tour remplissent l’écran, sont tout à fait remarquables.
CinemaTeaser
Mais, alors que le film s'enfonce dans les péripéties morbides, il opère un tête-à-queue, artificiel mais salvateur, vers une fin plus positive, plus apaisée.
Le Parisien
Avec son scénario et ses images brouillonnes, le long-métrage est loin de se hisser au niveau, sur le même thème de la vie dans les réserves, de l’exceptionnel « les Chansons que mes frères m’ont apprises » de Chloé Zhao (2015) — qui était également un premier film —, ou même de la série « Reservation Dogs » sur Disney +.
Les Inrockuptibles
Passé le moment de la découverte, le film peine à déployer un vrai point de vue et s’enfonce dans les ornières d’un esthétisme clipesque de mauvais aloi.
Première
Ce portrait croisé d’un jeune homme de 23 ans et d’un gamin de 12 ans vibre grâce à ses excellents interprètes, mais se heurte aux clichés du récit initiatique « indé » – narration lâche, poésie naïve.
Télérama
War Pony a aussi le malheur d’arriver après les films de Chloé Zhao, Les chansons que mes frères m’ont apprises (2015) et The Rider (2017), tournés, eux aussi, dans la réserve de Pine Ridge, mais avec bien plus de grâce.