Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
Incarnant la condition paysanne confrontée à l’industrie, "Domingo et la brume" propose un cinéma climatique, où la forêt tropicale génère images et histoires, comme autant de résistances au désastre contemporain.
Ecran Large
par Mathieu Victor-Pujebet
Quelque part entre le thriller agricole, le drame fantastique et le western énervé, Domingo et la brume étonne, intrigue et passionne. Parfois un peu poseur, le film reste assez fin et tenu pour emporter son spectateur dans un voyage étrange et touchant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Présenté à Un certain regard, ce film nous plonge dans une fiction engagée où s’entremêlent réalisme social, poésie fantastique, étrangeté surréaliste et western nihiliste, dans une mise en scène qui subjugue et sublime le propos politique de l’auteur. Une pépite.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Mad Movies
par François Cau
Le film d'Ariel Escalante Meza prend un tour moins jubilatoire qu'attendu, mais cette embardée risquée lui donne tout son sel.
Télérama
par La Rédaction
Il est des films dont la beauté laisse sans voix. Expérience hypnotique, éclair dans la nuit d’un pays, le Costa Rica, où le cinéma se pratique peu, Domingo et la brume appartient à cette catégorie, entre rêverie fantastique et drame social.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un deuxième film du cinéaste Ariel Escalante Meza, qui déroule dans un conte mystique et fascinant la destruction annoncée des forêts du Costa Rica et, à travers elles, du monde entier.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
"Le minimalisme finement ouvragé, la plastique de la fumée et la richesse de l’ambiance sonore et musicale orchestrent une lente rhapsodie, scandée par la brume elle-même, à qui Escalante Meza n’hésite pas à prêter voix au détour des séquences. Sans toujours discerner où on l’emmène, le spectateur peut alors, comme Domingo, se laisser absorber."
Critikat.com
par Valentin Denis
Authentiquement fantastique dans son souci de ne jamais trancher, le récit envisage ses pistes narratives comme autant de mondes possibles ; à chacun correspond un certain mode de cohabitation horizontale entre les êtres et les choses.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
La teneur politique du film, simple et implacable, croise rapidement le surnaturel [...] La belle étrangeté du film tient à cette hybridation des genres, cette greffe réussie et atypique entre le surnaturel et le réalisme.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Ecran Fantastique
par Erwan Bargain
Voilà un film atypique, que certains pourront juger prétentieux, mais qui témoigne d’une réelle singularité.
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Ce n’est pas une comédie, mais cette élégie est d’une envoûtante puissance cinématographique.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film politique à la lisière du fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Une lente dérive vers le mysticisme qui parvient à capter toute la violence d’un monde en train de basculer.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
En dépit d’une narration au ralenti, on est séduit par la photographie de ce trip contemplatif.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J. Ma.
L’idée est, de fait, poétique, mais contribue à puissamment désincarner un film qui n’est pas loin de se réduire à cette idée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Sandra Onana
Occupé à donner les gages extérieurs d’un savoir-faire d’auteur, le cinéaste échoue à trouver la vérité de ses personnages et à faire entendre leurs voix intérieures.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Estelle Aubin
Il n’est pas aisé de passer après le sublime As Bestas, de Rodrigo Sorogoyen. (...) À ceci près que Domingo et la brume d’Ariel Escalante Meza, découvert à « Un certain regard » de Cannes, ose quelques touches oniriques dans les montagnes tropicales du Costa Rica. Pas suffisant pour s’emballer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
Incarnant la condition paysanne confrontée à l’industrie, "Domingo et la brume" propose un cinéma climatique, où la forêt tropicale génère images et histoires, comme autant de résistances au désastre contemporain.
Ecran Large
Quelque part entre le thriller agricole, le drame fantastique et le western énervé, Domingo et la brume étonne, intrigue et passionne. Parfois un peu poseur, le film reste assez fin et tenu pour emporter son spectateur dans un voyage étrange et touchant.
L'Obs
Présenté à Un certain regard, ce film nous plonge dans une fiction engagée où s’entremêlent réalisme social, poésie fantastique, étrangeté surréaliste et western nihiliste, dans une mise en scène qui subjugue et sublime le propos politique de l’auteur. Une pépite.
Mad Movies
Le film d'Ariel Escalante Meza prend un tour moins jubilatoire qu'attendu, mais cette embardée risquée lui donne tout son sel.
Télérama
Il est des films dont la beauté laisse sans voix. Expérience hypnotique, éclair dans la nuit d’un pays, le Costa Rica, où le cinéma se pratique peu, Domingo et la brume appartient à cette catégorie, entre rêverie fantastique et drame social.
aVoir-aLire.com
Un deuxième film du cinéaste Ariel Escalante Meza, qui déroule dans un conte mystique et fascinant la destruction annoncée des forêts du Costa Rica et, à travers elles, du monde entier.
Cahiers du Cinéma
"Le minimalisme finement ouvragé, la plastique de la fumée et la richesse de l’ambiance sonore et musicale orchestrent une lente rhapsodie, scandée par la brume elle-même, à qui Escalante Meza n’hésite pas à prêter voix au détour des séquences. Sans toujours discerner où on l’emmène, le spectateur peut alors, comme Domingo, se laisser absorber."
Critikat.com
Authentiquement fantastique dans son souci de ne jamais trancher, le récit envisage ses pistes narratives comme autant de mondes possibles ; à chacun correspond un certain mode de cohabitation horizontale entre les êtres et les choses.
Culturopoing.com
La teneur politique du film, simple et implacable, croise rapidement le surnaturel [...] La belle étrangeté du film tient à cette hybridation des genres, cette greffe réussie et atypique entre le surnaturel et le réalisme.
L'Ecran Fantastique
Voilà un film atypique, que certains pourront juger prétentieux, mais qui témoigne d’une réelle singularité.
La Septième Obsession
Ce n’est pas une comédie, mais cette élégie est d’une envoûtante puissance cinématographique.
Les Fiches du Cinéma
Un film politique à la lisière du fantastique.
Les Inrockuptibles
Une lente dérive vers le mysticisme qui parvient à capter toute la violence d’un monde en train de basculer.
Le Journal du Dimanche
En dépit d’une narration au ralenti, on est séduit par la photographie de ce trip contemplatif.
Le Monde
L’idée est, de fait, poétique, mais contribue à puissamment désincarner un film qui n’est pas loin de se réduire à cette idée.
Libération
Occupé à donner les gages extérieurs d’un savoir-faire d’auteur, le cinéaste échoue à trouver la vérité de ses personnages et à faire entendre leurs voix intérieures.
Première
Il n’est pas aisé de passer après le sublime As Bestas, de Rodrigo Sorogoyen. (...) À ceci près que Domingo et la brume d’Ariel Escalante Meza, découvert à « Un certain regard » de Cannes, ose quelques touches oniriques dans les montagnes tropicales du Costa Rica. Pas suffisant pour s’emballer.