Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Avec son humour féroce qui n’épargne personne, "Sick of Myself" ne se révèle pas un film aimable mais c’est un beau moment de cinéma dérangeant dans ce qu’il montre d’une société où seul le paraître est considéré.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par J.B.
Aussi beau dans sa forme que répugnant dans ce qu'il montre de la société.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Sous ses airs de comédie très noire, le film de Kristoffer Borglit traduit superbement la solitude et l’affront fait au corps tendant à prouver au personnages qu’ils ne sont pas seulement de simples fantômes de chair. Il est juste bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Un miroir grossissant face auquel le spectateur va se prendre ses propres défauts en pleine figure, et va aimer ça tant le film est cruellement ironique, avec son body horror qui surgit là où on ne l'attend pas et son cynisme qui chatouille.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Sick of Myself est une comédie noire qui bascule dans le film d'horreur, épingle les travers de l'époque avec une réjouissante cruauté.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un film aussi drôle que caustique, mordant, parfois méchant, très politiquement incorrect…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Quelque part entre la satire et la comédie noire, Kristoffer Borgli signe les portraits acidulés du narcissisme 2.0 et des relations toxiques. Un premier film réussi.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Thierry Chèze
Un film qui suscite le malaise, proche du cinéma de Ruben Östlund, la prétention en moins, l'empathie envers les personnages en plus.
Télérama
par Guillemette Odicino
Une satire sidérante et réussie de notre époque égotique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une comédie grinçante qui vise douloureusement juste.
Femme Actuelle
par Pierre Fageolle
Selon l'humeur, on trouvera triste ou drôle le portrait de cette jeune femme perdue, car il est un peu les deux à la fois.
L'Obs
par François Forestier
C’est vache, acide, grinçant. Dans la lignée de « Sans filtre », cette ironie permanente peut agacer ou plaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Jouant sur les contrastes, la mise en scène est au diapason et, malgré quelques redondances, la satire séduit par son ton et son interprète inspirée.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le metteur en scène entraîne le spectateur dans un récit décapant qui dynamite les conventions de la comédie romantique et, en passant, épingle les tics et snobismes du milieu de l'art contemporain où l'on aime applaudir celles et ceux qui font de leur corps une (monstrueuse) oeuvre d'art. Un film qui mérite que l'on oublie ses redondances.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Une œuvre étrange qui passe avec brio de la comédie de mœurs au drame malaisant. Un auteur à suivre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Alice Leroy
[...] Borgli ne sait que faire de cette fable morale sur l'impossible assouvissement du désir de gloire et la réduit à une peinture d'époque, comme pour mieux enterrer les velléités séditieuses de son héroïne.
Le Monde
par Murielle Joudet
Vide intérieur, narcissisme atrophié, arrivisme, Borgli a la main lourde dès qu’il s’agit de charger son héroïne de toutes les tares possibles, jusqu’à en faire le porte-drapeau d’un individualisme malade – une mission qui s’avère trop lourde pour un seul personnage.
Libération
par Camille Nevers
Satire à gros sabots chic à base de body horror, le film va du point A au point B sans dévier ni surprise, à grands coups de panneaux clignotants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Avec son humour féroce qui n’épargne personne, "Sick of Myself" ne se révèle pas un film aimable mais c’est un beau moment de cinéma dérangeant dans ce qu’il montre d’une société où seul le paraître est considéré.
Closer
Aussi beau dans sa forme que répugnant dans ce qu'il montre de la société.
Culturopoing.com
Sous ses airs de comédie très noire, le film de Kristoffer Borglit traduit superbement la solitude et l’affront fait au corps tendant à prouver au personnages qu’ils ne sont pas seulement de simples fantômes de chair. Il est juste bouleversant.
Ecran Large
Un miroir grossissant face auquel le spectateur va se prendre ses propres défauts en pleine figure, et va aimer ça tant le film est cruellement ironique, avec son body horror qui surgit là où on ne l'attend pas et son cynisme qui chatouille.
Le Figaro
Sick of Myself est une comédie noire qui bascule dans le film d'horreur, épingle les travers de l'époque avec une réjouissante cruauté.
Le Parisien
Un film aussi drôle que caustique, mordant, parfois méchant, très politiquement incorrect…
Les Fiches du Cinéma
Quelque part entre la satire et la comédie noire, Kristoffer Borgli signe les portraits acidulés du narcissisme 2.0 et des relations toxiques. Un premier film réussi.
Ouest France
Un film qui suscite le malaise, proche du cinéma de Ruben Östlund, la prétention en moins, l'empathie envers les personnages en plus.
Télérama
Une satire sidérante et réussie de notre époque égotique.
Voici
Une comédie grinçante qui vise douloureusement juste.
Femme Actuelle
Selon l'humeur, on trouvera triste ou drôle le portrait de cette jeune femme perdue, car il est un peu les deux à la fois.
L'Obs
C’est vache, acide, grinçant. Dans la lignée de « Sans filtre », cette ironie permanente peut agacer ou plaire.
Le Journal du Dimanche
Jouant sur les contrastes, la mise en scène est au diapason et, malgré quelques redondances, la satire séduit par son ton et son interprète inspirée.
Les Echos
Le metteur en scène entraîne le spectateur dans un récit décapant qui dynamite les conventions de la comédie romantique et, en passant, épingle les tics et snobismes du milieu de l'art contemporain où l'on aime applaudir celles et ceux qui font de leur corps une (monstrueuse) oeuvre d'art. Un film qui mérite que l'on oublie ses redondances.
aVoir-aLire.com
Une œuvre étrange qui passe avec brio de la comédie de mœurs au drame malaisant. Un auteur à suivre.
Cahiers du Cinéma
[...] Borgli ne sait que faire de cette fable morale sur l'impossible assouvissement du désir de gloire et la réduit à une peinture d'époque, comme pour mieux enterrer les velléités séditieuses de son héroïne.
Le Monde
Vide intérieur, narcissisme atrophié, arrivisme, Borgli a la main lourde dès qu’il s’agit de charger son héroïne de toutes les tares possibles, jusqu’à en faire le porte-drapeau d’un individualisme malade – une mission qui s’avère trop lourde pour un seul personnage.
Libération
Satire à gros sabots chic à base de body horror, le film va du point A au point B sans dévier ni surprise, à grands coups de panneaux clignotants.