Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un coup d'essai magistral.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
(...) un film puissant qui s’impose comme la première excellente nouvelle de l’année sur le grand écran.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Jean-Philippe Domecq
(...) une remarquable direction d’acteurs qui, jusque dans les moindres rôles, est pour beaucoup dans le sentiment de vérité dérangeante, ambiguë et immersive que dégage le film.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Finement dialogué et interprété, le texte passe du paternalisme aux menaces et à la corruption du côté de la Securitate.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un film empli de perversité subtile.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
La première fiction d’un auteur à suivre, confirmation que le filon roumain ne se tarit pas.
Ouest France
par Thierry Chèze
Et par ses deux facettes antinomiques, ce portrait des années Ceaucescu (récompensé pour sa mise en scène à Un certain regard, à Cannes) se révèle d’une justesse admirable.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un premier film captivant et marquant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Frédéric Mercier
Impossible de ne pas songer à « La Colonie pénitentiaire » de Kafka avec ce film délicat et brutal comme un poison.
Télérama
par Guillemette Odicino
La mise en scène, déjà remarquable, et volontiers truffaldienne, dans la candeur et la sensualité d’un âge tendre des années 70, se fait ensuite asphyxiante, terrorisante : il faut balancer les copains pour s’en sortir, devenir un mouchard.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Radio Metronom est un grand film, urgent et nécessaire, qui résonne comme un avertissement face aux privations de liberté dans le monde et aux empêchements de création qui sont opposés encore à nombre d’artistes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Moins inventif que Leto, de Kiril Serebrennikov, ce premier long métrage de fiction d’Alexandru Belc dégage dans sa première partie un certain charme vintage, s’appuyant sur une reconstitution soignée des décors et des costumes de l’ère Ceausescu.
Critikat.com
par Clément Colliaux
On pourrait reprocher à la mise en scène de Radio Metronom d'être un peu sage, mais le film compense cette faiblesse dans sa manière de déplier les scènes pour mieux reconfigurer les situations et mettre en exergue leurs ambiguïtés.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Tourné caméra à l’épaule, le film est terrifiant, et, à travers une histoire d’amour fracassée, poignant. Il nous rappelle que la bête immonde ne fait que sommeiller au cœur de l’Europe.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Un film léché qui souffre un peu de sa raideur formelle.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Un film attachant, à la précision documentaire.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par La Rédaction
Chronique tantôt légère, le plus souvent austère, d’un terrible morceau de l’histoire roumaine, « Radio Metronom » a reçu le Prix de la Mise en scène dans la dernière sélection « Un Certain Regard » du Festival de Cannes. Une récompense qui ne salue pas tant une réalisation particulièrement ébouriffante qu’un gros travail sur la mise sous tension du récit et des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Comme chez Cristi Puiu, Cristian Mungiu ou Corneliu Porumboiu, le cadrage resserré sur les visages capture la révolte en train de naître à l’intérieur de ses personnages. Un héritage dont la mise en en scène peine quelque fois à s’affranchir. C’est pourtant dans la douceur du regard qu’il porte sur ces adolescent·es que le film parvient à tracer sa propre voie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par François Léger
Un coming of age movie sur la délation et la fin de l’innocence sous une dictature, qui ne touche à son but que dans quelques trop rares moments entre l’héroïne (Mara Bugarin, vraie découverte) et l’officier qui l’interroge (Vlad Ivanov, toujours impeccable).
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par M. Dl.
Présenté à Un certain regard, au dernier Festival de Cannes, ce premier long-métrage fort documenté d’Alexandru Belc, récompensé du Prix du meilleur réalisateur, souffre toutefois d’un excès de littéralité et se prive de la dimension romanesque des échappées belles des jeunes gens.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Luc Chessel
De son sujet intéressant, plein d’ambiguïté individuelle sur fond d’une histoire collective racontée en pointillé, Radio Metronom ne fait pas grand-chose d’autre que du pur style, si attentif à chaque seconde à cette «mise en scène» dont il a remporté l’année dernière le prix cannois d’Un certain regard.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Echos
Un coup d'essai magistral.
Marianne
(...) un film puissant qui s’impose comme la première excellente nouvelle de l’année sur le grand écran.
Positif
(...) une remarquable direction d’acteurs qui, jusque dans les moindres rôles, est pour beaucoup dans le sentiment de vérité dérangeante, ambiguë et immersive que dégage le film.
Franceinfo Culture
Finement dialogué et interprété, le texte passe du paternalisme aux menaces et à la corruption du côté de la Securitate.
Le Figaro
Un film empli de perversité subtile.
Les Fiches du Cinéma
La première fiction d’un auteur à suivre, confirmation que le filon roumain ne se tarit pas.
Ouest France
Et par ses deux facettes antinomiques, ce portrait des années Ceaucescu (récompensé pour sa mise en scène à Un certain regard, à Cannes) se révèle d’une justesse admirable.
Sud Ouest
Un premier film captivant et marquant.
Transfuge
Impossible de ne pas songer à « La Colonie pénitentiaire » de Kafka avec ce film délicat et brutal comme un poison.
Télérama
La mise en scène, déjà remarquable, et volontiers truffaldienne, dans la candeur et la sensualité d’un âge tendre des années 70, se fait ensuite asphyxiante, terrorisante : il faut balancer les copains pour s’en sortir, devenir un mouchard.
aVoir-aLire.com
Radio Metronom est un grand film, urgent et nécessaire, qui résonne comme un avertissement face aux privations de liberté dans le monde et aux empêchements de création qui sont opposés encore à nombre d’artistes.
Cahiers du Cinéma
Moins inventif que Leto, de Kiril Serebrennikov, ce premier long métrage de fiction d’Alexandru Belc dégage dans sa première partie un certain charme vintage, s’appuyant sur une reconstitution soignée des décors et des costumes de l’ère Ceausescu.
Critikat.com
On pourrait reprocher à la mise en scène de Radio Metronom d'être un peu sage, mais le film compense cette faiblesse dans sa manière de déplier les scènes pour mieux reconfigurer les situations et mettre en exergue leurs ambiguïtés.
L'Obs
Tourné caméra à l’épaule, le film est terrifiant, et, à travers une histoire d’amour fracassée, poignant. Il nous rappelle que la bête immonde ne fait que sommeiller au cœur de l’Europe.
La Croix
Un film léché qui souffre un peu de sa raideur formelle.
La Voix du Nord
Un film attachant, à la précision documentaire.
Le Parisien
Chronique tantôt légère, le plus souvent austère, d’un terrible morceau de l’histoire roumaine, « Radio Metronom » a reçu le Prix de la Mise en scène dans la dernière sélection « Un Certain Regard » du Festival de Cannes. Une récompense qui ne salue pas tant une réalisation particulièrement ébouriffante qu’un gros travail sur la mise sous tension du récit et des personnages.
Les Inrockuptibles
Comme chez Cristi Puiu, Cristian Mungiu ou Corneliu Porumboiu, le cadrage resserré sur les visages capture la révolte en train de naître à l’intérieur de ses personnages. Un héritage dont la mise en en scène peine quelque fois à s’affranchir. C’est pourtant dans la douceur du regard qu’il porte sur ces adolescent·es que le film parvient à tracer sa propre voie.
Première
Un coming of age movie sur la délation et la fin de l’innocence sous une dictature, qui ne touche à son but que dans quelques trop rares moments entre l’héroïne (Mara Bugarin, vraie découverte) et l’officier qui l’interroge (Vlad Ivanov, toujours impeccable).
Le Monde
Présenté à Un certain regard, au dernier Festival de Cannes, ce premier long-métrage fort documenté d’Alexandru Belc, récompensé du Prix du meilleur réalisateur, souffre toutefois d’un excès de littéralité et se prive de la dimension romanesque des échappées belles des jeunes gens.
Libération
De son sujet intéressant, plein d’ambiguïté individuelle sur fond d’une histoire collective racontée en pointillé, Radio Metronom ne fait pas grand-chose d’autre que du pur style, si attentif à chaque seconde à cette «mise en scène» dont il a remporté l’année dernière le prix cannois d’Un certain regard.