Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
L’utopie a un prix. Celle de Laura consiste à tenter de préserver autour de ses deux sœurs cadettes, un semblant d’unité familiale, menacée depuis que leur mère a mis les voiles. En contrepartie de cela, Laura se voit privée de cette insouciance qui devrait être celle d’une jeune ado de son âge. Nul temps pour se préoccuper d’elle-même.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Poétique et lyrique par son écriture, la tendresse de Paradise Is Burning n’est en effet qu’une apparence. Le film scrute un quotidien où la joie et la liberté cohabitent avec une profonde solitude et révèlent la grande tristesse qui traverse ses personnages dans leur expérience du monde.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Voici
par D.B.
(...) la réalisatrice Mika Gustafson, dont c'est le premier film, déploie une grande énergie visuelle, à cheval entre un réalisme cru et une poésie enfantine rafraîchissante.
Le Monde
par J. Ma.
Le procédé manque à convaincre, devient rapidement irritant et finit par suggérer la relative vacuité de son propos. Sur un sujet identique, Isild Le Besco avait signé, en 2003, Demi-tarif, un film autrement convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film bourré de fraîcheur, de tendresse et de cruauté sur l’insouciance dans un monde sans adultes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Le premier long métrage de Mika Gustafson sur des sœurs orphelines pèche par son montage à l’emporte-pièce.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Mika Gustafson réussit ici à nous faire ressentir physiquement le vertige des sentiments contradictoires qui la balaient et manquent à tout moment de la renverser.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Loin de la chronique sociale doloriste redoutée au vu d’un sujet aussi grave, la réalisatrice signe un film de "bande de filles" étonnamment solaire. Un bel éloge de la sororité envers et contre tous.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Derrière les intentions très louables de ce film sur une fratrie livrée à elle-même, se posent de vraies questions de vraisemblance qui rend le tout assez bancal.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Septième Obsession
L’utopie a un prix. Celle de Laura consiste à tenter de préserver autour de ses deux sœurs cadettes, un semblant d’unité familiale, menacée depuis que leur mère a mis les voiles. En contrepartie de cela, Laura se voit privée de cette insouciance qui devrait être celle d’une jeune ado de son âge. Nul temps pour se préoccuper d’elle-même.
Les Inrockuptibles
Poétique et lyrique par son écriture, la tendresse de Paradise Is Burning n’est en effet qu’une apparence. Le film scrute un quotidien où la joie et la liberté cohabitent avec une profonde solitude et révèlent la grande tristesse qui traverse ses personnages dans leur expérience du monde.
Voici
(...) la réalisatrice Mika Gustafson, dont c'est le premier film, déploie une grande énergie visuelle, à cheval entre un réalisme cru et une poésie enfantine rafraîchissante.
Le Monde
Le procédé manque à convaincre, devient rapidement irritant et finit par suggérer la relative vacuité de son propos. Sur un sujet identique, Isild Le Besco avait signé, en 2003, Demi-tarif, un film autrement convaincant.
Les Fiches du Cinéma
Un film bourré de fraîcheur, de tendresse et de cruauté sur l’insouciance dans un monde sans adultes.
Libération
Le premier long métrage de Mika Gustafson sur des sœurs orphelines pèche par son montage à l’emporte-pièce.
Première
Mika Gustafson réussit ici à nous faire ressentir physiquement le vertige des sentiments contradictoires qui la balaient et manquent à tout moment de la renverser.
Télérama
Loin de la chronique sociale doloriste redoutée au vu d’un sujet aussi grave, la réalisatrice signe un film de "bande de filles" étonnamment solaire. Un bel éloge de la sororité envers et contre tous.
aVoir-aLire.com
Derrière les intentions très louables de ce film sur une fratrie livrée à elle-même, se posent de vraies questions de vraisemblance qui rend le tout assez bancal.