Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
Bande à part
par Jo Fishley
C'est l'une des plus pures et plus innocentes histoires d'amour jamais racontées au cinéma. Un âne sentimental dans les pas de Bresson, de Stevenson, de la comtesse de Ségur et de Gainsbourg. Un Skolimowski fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Bénédicte Prot
C’est à la fois vivifiant et perturbant de constater que le seul film en compétition cannoise 2022 qui fasse une proposition de cinéma vraiment nouvelle, forme et fond, est l’oeuvre d’un maestro de 84 ans. (...) Skolimowski suit un héros exploité de toutes parts, impuissant et avec lequel personne n’essaie plus de dialoguer – ce que son prénom onomatopéique suggère se retrouve dans la manière dont le tintamarre humain, hurlant et cognant, métallique, motorisé, bien rendu par un design sonore formidable, couvre le souffle de l’âne.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une expérience cinématographique sensible et essentielle à découvrir ce mercredi dans les salles.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Des images inédites habitent ce film OVNI, où la surprise et la beauté sont dans chaque plan, sur une bande-son et une musique magnifiques.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Adam Sanchez
À la fois odyssée exaltante aux dimensions homériques, poème visuel au spleen omniprésent et fable animiste, EO demeure surtout un objet de cinéma d'une beauté absolue, aux multiples niveaux de lecture et à la richesse insoupçonnée.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Une œuvre puissante et sensationnelle.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Superbe film que cette fable signée Jerzy Skolimowski, qui rend hommage au chef-d’œuvre de Robert Bresson, Au hasard Balthazar, tout en s’en éloignant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Victoria Gairin
Le grand cinéaste Jerzy Skolimowski – prix du Jury du Festival de Cannes – dresse le portrait de l’humanité à travers les yeux d’un âne. Somptueux.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
Fidèle à sa réputation dans nos civilisations occidentales, EO s’entête à vivre, choisit sans cesse sa liberté, saute toutes les clôtures, s’enfuit dans ses rêves dont le filtre rouge attise toutes les fantaisies.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Gilles Kerdreux
EO peut dérouter mais il faut vraiment tenter cette expérience cinématographique audacieuse.
Positif
par Baptiste Roux
Une fable d’une constante invention visuelle.
20 Minutes
par Caroline Vié
Un conte bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Hervé Aubron
Dans EO [...] Skolimowski reprend bien des figures de Balthazar, mais en les déplaçant. Si Eo apparaît, comme l’âne de Bresson, le plus souvent impassible pendant qu’on se l’approprie ou qu’on le brutalise, il n’est toutefois pas exclusivement un martyr, ne s’abandonne pas complètement à son destin – et cela vaut bien déjà un remake.
Critikat.com
par Corentin Lê
Si EO, film fou et stimulant, reprend le principe moteur d'Au Hasard Balthazar, il s’en écarte nettement par son penchant pour l’expérimentation et l’étrange plasticité de ses images.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par La rédaction
Porté par une musique jonglant entre le classique et le metal, EO livre alors un pamphlet troublant contre les violences animales, et dresse un portrait du monde alarmiste à la vision singulière, où l'espèce humaine est bel et bien la plus dangereuse du monde.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Vincent Ostria
Trop philosophique pour être honnête ? Peut-être, mais parfois prendre du recul, plonger dans l’inconnu et redistribuer les cartes de la fiction sont salutaires. Pour cela on peut compter sur l’infatigable Skolimowski, qui, à 84 ans, n’a rien perdu de sa foi de défricheur et d’empêcheur de tourner en rond.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Donc : beauté formelle, admiration esthétique, ovni cinématographique. Mais… Un âne ? On se pince.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Prix du jury au dernier Festival de Cannes, ce film signe le retour au cinéma de Jerzy Skolimowski avec un poème visuel et une méditation sur l’humanité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
À la philosophie humaniste et mélancolique de Bresson répond la rage amère et punk de Skolimowski. Multipliant les effets et les visuels (un écran virant au rouge, des points de vue de l’animal) il confronte la folie de l’homme à l’existence maltraitée des animaux.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
EO est un personnage de Dostoïevski. Skolimowski est un peintre. Les séquences constituent autant de tableaux. Certains coupent le souffle, tel ce plan d’un barrage crachant des flots. Sur un pont, EO stationne là, songeant à on ne sait quelle chimère.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film avance, bancal mais stupéfiant, tirant au passage le portrait au vitriol d’une société brutale. Ses ersatz d’humanité se reflètent dans l’œil du petit âne, venu contredire à lui seul l’anthropocentrisme du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Le vieux cinéaste chante la beauté à couper le souffle de la nature, des forêts, des arbres, d’un monde silencieux que l’homme défigure. Film très noir et tendre d’une beauté foudroyante, « Eo » nous conjure de respecter l’autre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Le grand cinéaste polonais Jerzy Skolimowski signe un road-movie hors du commun, filmé à hauteur d'âne. Drôle de récit picaresque où l'animal n'est pas un compagnon de voyage mais le sujet du film tout entier. Une expérience de cinéma ébouriffante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Un film d’une beauté inoubliable, signé par le génial Skolimowski.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Dans le film, plutôt que de la jouer bêtement anthropomorphique, il s’agit – pour manifester sans équivoque, dans les torsions des plans et le rythme de leurs enchaînements, les affects de l’âne Eo – de se chercher avec lui un terrain commun, une forme de communication simple, qui soit évidente au spectateur humain : où l’émotion agiterait les plans exactement comme elle agite son héros équidé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Une fable animiste et antispéciste.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Paris Match
par Fabrice Leclerc
POUR - Dans le formatage ambiant, voilà du cinéma libéré comme on n’en voit plus, donc chaudement recommandé.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Baurez
Assurément l’un des films les plus stimulant et passionnant de cette année 2022.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Pas besoin d’un exercice poussé d’anthropomorphisme pour voir dans la douceur de cette bête souvent maltraitée quelque chose d’humain. C’est comme si le réalisateur, revenu de la fréquentation des hommes et de leurs turpitudes, jugeait que désormais, seuls les ânes pouvaient prendre en charge notre humanité.
Télérama
par Louis Guichard
Le chemin de croix d’un âne devenu le jouet des hommes, par un sorcier des images à la misanthropie assumée : le grand Jerzy Skolimowski. Fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
La conclusion, redoutable, comme une lente mise à genoux du spectateur devant sa responsabilité dans le sort animal, a beau frapper en plein bide, « Eo » semble avoir visé légèrement à côté de ce que ses plus belles scènes pouvaient promettre.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Très peu de dialogues, mais une expérience sensitive vraiment surprenante confirmant que la vie est juste une question de point de vue.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Paris Match
par Yannick Vely
CONTRE - Eo s'affranchit de toute narration classique pour proposer un trip formel souvent impressionnant, un peu redondant aussi, avec cette volonté parfois trop appuyée de trouver une chute à chaque séquence.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Plus qu’improbable, ce road movie animalier à travers l’Europe laisse un curieux sentiment d’incompréhension.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
C'est l'une des plus pures et plus innocentes histoires d'amour jamais racontées au cinéma. Un âne sentimental dans les pas de Bresson, de Stevenson, de la comtesse de Ségur et de Gainsbourg. Un Skolimowski fantastique.
Culturopoing.com
C’est à la fois vivifiant et perturbant de constater que le seul film en compétition cannoise 2022 qui fasse une proposition de cinéma vraiment nouvelle, forme et fond, est l’oeuvre d’un maestro de 84 ans. (...) Skolimowski suit un héros exploité de toutes parts, impuissant et avec lequel personne n’essaie plus de dialoguer – ce que son prénom onomatopéique suggère se retrouve dans la manière dont le tintamarre humain, hurlant et cognant, métallique, motorisé, bien rendu par un design sonore formidable, couvre le souffle de l’âne.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une expérience cinématographique sensible et essentielle à découvrir ce mercredi dans les salles.
Franceinfo Culture
Des images inédites habitent ce film OVNI, où la surprise et la beauté sont dans chaque plan, sur une bande-son et une musique magnifiques.
GQ
À la fois odyssée exaltante aux dimensions homériques, poème visuel au spleen omniprésent et fable animiste, EO demeure surtout un objet de cinéma d'une beauté absolue, aux multiples niveaux de lecture et à la richesse insoupçonnée.
Le Dauphiné Libéré
Une œuvre puissante et sensationnelle.
Le Journal du Dimanche
Superbe film que cette fable signée Jerzy Skolimowski, qui rend hommage au chef-d’œuvre de Robert Bresson, Au hasard Balthazar, tout en s’en éloignant.
Le Point
Le grand cinéaste Jerzy Skolimowski – prix du Jury du Festival de Cannes – dresse le portrait de l’humanité à travers les yeux d’un âne. Somptueux.
Les Inrockuptibles
Fidèle à sa réputation dans nos civilisations occidentales, EO s’entête à vivre, choisit sans cesse sa liberté, saute toutes les clôtures, s’enfuit dans ses rêves dont le filtre rouge attise toutes les fantaisies.
Ouest France
EO peut dérouter mais il faut vraiment tenter cette expérience cinématographique audacieuse.
Positif
Une fable d’une constante invention visuelle.
20 Minutes
Un conte bouleversant.
Cahiers du Cinéma
Dans EO [...] Skolimowski reprend bien des figures de Balthazar, mais en les déplaçant. Si Eo apparaît, comme l’âne de Bresson, le plus souvent impassible pendant qu’on se l’approprie ou qu’on le brutalise, il n’est toutefois pas exclusivement un martyr, ne s’abandonne pas complètement à son destin – et cela vaut bien déjà un remake.
Critikat.com
Si EO, film fou et stimulant, reprend le principe moteur d'Au Hasard Balthazar, il s’en écarte nettement par son penchant pour l’expérimentation et l’étrange plasticité de ses images.
Ecran Large
Porté par une musique jonglant entre le classique et le metal, EO livre alors un pamphlet troublant contre les violences animales, et dresse un portrait du monde alarmiste à la vision singulière, où l'espèce humaine est bel et bien la plus dangereuse du monde.
L'Humanité
Trop philosophique pour être honnête ? Peut-être, mais parfois prendre du recul, plonger dans l’inconnu et redistribuer les cartes de la fiction sont salutaires. Pour cela on peut compter sur l’infatigable Skolimowski, qui, à 84 ans, n’a rien perdu de sa foi de défricheur et d’empêcheur de tourner en rond.
L'Obs
Donc : beauté formelle, admiration esthétique, ovni cinématographique. Mais… Un âne ? On se pince.
La Croix
Prix du jury au dernier Festival de Cannes, ce film signe le retour au cinéma de Jerzy Skolimowski avec un poème visuel et une méditation sur l’humanité.
La Septième Obsession
À la philosophie humaniste et mélancolique de Bresson répond la rage amère et punk de Skolimowski. Multipliant les effets et les visuels (un écran virant au rouge, des points de vue de l’animal) il confronte la folie de l’homme à l’existence maltraitée des animaux.
Le Figaro
EO est un personnage de Dostoïevski. Skolimowski est un peintre. Les séquences constituent autant de tableaux. Certains coupent le souffle, tel ce plan d’un barrage crachant des flots. Sur un pont, EO stationne là, songeant à on ne sait quelle chimère.
Le Monde
Le film avance, bancal mais stupéfiant, tirant au passage le portrait au vitriol d’une société brutale. Ses ersatz d’humanité se reflètent dans l’œil du petit âne, venu contredire à lui seul l’anthropocentrisme du cinéma.
Le Parisien
Le vieux cinéaste chante la beauté à couper le souffle de la nature, des forêts, des arbres, d’un monde silencieux que l’homme défigure. Film très noir et tendre d’une beauté foudroyante, « Eo » nous conjure de respecter l’autre.
Les Echos
Le grand cinéaste polonais Jerzy Skolimowski signe un road-movie hors du commun, filmé à hauteur d'âne. Drôle de récit picaresque où l'animal n'est pas un compagnon de voyage mais le sujet du film tout entier. Une expérience de cinéma ébouriffante.
Les Fiches du Cinéma
Un film d’une beauté inoubliable, signé par le génial Skolimowski.
Libération
Dans le film, plutôt que de la jouer bêtement anthropomorphique, il s’agit – pour manifester sans équivoque, dans les torsions des plans et le rythme de leurs enchaînements, les affects de l’âne Eo – de se chercher avec lui un terrain commun, une forme de communication simple, qui soit évidente au spectateur humain : où l’émotion agiterait les plans exactement comme elle agite son héros équidé.
Marie Claire
Une fable animiste et antispéciste.
Paris Match
POUR - Dans le formatage ambiant, voilà du cinéma libéré comme on n’en voit plus, donc chaudement recommandé.
Première
Assurément l’un des films les plus stimulant et passionnant de cette année 2022.
Sud Ouest
Pas besoin d’un exercice poussé d’anthropomorphisme pour voir dans la douceur de cette bête souvent maltraitée quelque chose d’humain. C’est comme si le réalisateur, revenu de la fréquentation des hommes et de leurs turpitudes, jugeait que désormais, seuls les ânes pouvaient prendre en charge notre humanité.
Télérama
Le chemin de croix d’un âne devenu le jouet des hommes, par un sorcier des images à la misanthropie assumée : le grand Jerzy Skolimowski. Fascinant.
CinemaTeaser
La conclusion, redoutable, comme une lente mise à genoux du spectateur devant sa responsabilité dans le sort animal, a beau frapper en plein bide, « Eo » semble avoir visé légèrement à côté de ce que ses plus belles scènes pouvaient promettre.
La Voix du Nord
Très peu de dialogues, mais une expérience sensitive vraiment surprenante confirmant que la vie est juste une question de point de vue.
Paris Match
CONTRE - Eo s'affranchit de toute narration classique pour proposer un trip formel souvent impressionnant, un peu redondant aussi, avec cette volonté parfois trop appuyée de trouver une chute à chaque séquence.
aVoir-aLire.com
Plus qu’improbable, ce road movie animalier à travers l’Europe laisse un curieux sentiment d’incompréhension.