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Aucun suspence ni histoire . Tout simplement un jeune homme tombe amoureux d une femme vielle que luis et ila laissé sa copine sans avoir une vrais raison en plus le film a été filmé au maroc et c est pas la vrais image de beau maroc le payé dans ce film a resemble d afganistan ou pakistan
Ce film donne vraiment une très mauvaise idée sur le maroc surtout lorsqu’un mec vol le sac c’est le contraire le Maroc est un pays sécurisé comme tous les , il montre des voitures sales , des gens qui se disputent tout le temps mais c pas le cas , je suis marocaine et je suis fière de l’être et ce film est nul
"Lonely Planet," réalisé par Susannah Grant et sorti sur Netflix en octobre 2024, est un film romantique mettant en vedette Laura Dern et Liam Hemsworth. Bien que le cadre enchanteur du Maroc ait le potentiel de captiver, le film échoue à réellement exploiter cette beauté, ne faisant qu'une utilisation superficielle de son décor.
L'histoire suit Katherine Loewe, une romancière en quête d'inspiration dans une retraite littéraire, qui finit par être distraite par Owen, le petit ami d'une autre participante. Malgré des prémisses intéressantes, le film s'enlise dans des clichés de la romance, avec une alchimie entre les protagonistes qui laisse à désirer. Je souligne que le développement des personnages et les interactions sont souvent peu convaincants, ce qui m'a laissé sur ma faim.
En termes de performances, Laura Dern fait de son mieux avec un rôle qui aurait pu être plus riche, tandis que Liam Hemsworth semble limité par un personnage trop stéréotypé. Le film ne parvient pas à offrir une véritable exploration des thèmes de l'amour et du désir intergénérationnel, se contentant d'une approche superficielle que je ne conseille pas aux amateurs de romances profondes.
"Lonely Planet" pourrait séduire ceux en quête d'une histoire légère et prévisible, mais pour ceux qui espèrent une exploration plus nuancée de ses thèmes, ce film ne réussit pas à décoller, justifiant ainsi ma note de 2,5 sur 5.
L'histoire suit Katherine Loewe, une romancière en quête d'inspiration dans une retraite littéraire, qui finit par être distraite par Owen, le petit ami d'une autre participante. Malgré des prémisses intéressantes, le film s'enlise dans des clichés de la romance, avec une alchimie entre les protagonistes qui laisse à désirer. Je souligne que le développement des personnages et les interactions sont souvent peu convaincants, ce qui m'a laissé sur ma faim.
En termes de performances, Laura Dern fait de son mieux avec un rôle qui aurait pu être plus riche, tandis que Liam Hemsworth semble limité par un personnage trop stéréotypé. Le film ne parvient pas à offrir une véritable exploration des thèmes de l'amour et du désir intergénérationnel, se contentant d'une approche superficielle que je ne conseille pas aux amateurs de romances profondes.
"Lonely Planet" pourrait séduire ceux en quête d'une histoire légère et prévisible, mais pour ceux qui espèrent une exploration plus nuancée de ses thèmes, ce film ne réussit pas à décoller, justifiant ainsi ma note de 2,5 sur 5.
C’est un film très distrayant. Merci pour ce voyage au Maroc et ses magnifiques paysages très bien filmés. Impression d’être partie en vacances.
Enfin aussi des films sur de femmes qui plaisent à des hommes plus jeunes qu’elles.
Merci Netflix.
Enfin aussi des films sur de femmes qui plaisent à des hommes plus jeunes qu’elles.
Merci Netflix.
J'ai beaucoup apprecié ce petit film d'amour. On est dépaysé dans un Maroc version US, l'histoire est sympathique et les acteurs tous très mignons
Troisième romance de l’année à sortir sur une plateforme et à mettre en scène une histoire d’amour entre un homme jeune et une femme d’âge mur, c’est ce qui s’appelle une tendance! La première (et la plus réussie) était « L’idée d’être avec toi » qui nous narrait l’histoire d’amour entre une mère de famille artiste (Anne Hathaway) et le membre d’un groupe pop dont sa fille est fan (Nicholas Galitzine) puis il y a eu le sympathique mais vite oublié « Les Dessous de la famille » où un comédien célèbre et capricieux (Zac Efron) tombait amoureux de la mère de son assistante (Nicole Kidman). Ici, c’est Laura Dern en écrivaine qui craque pour un jeune financier venu accompagner sa petite amie à une retraite d’écrivains au Maroc. Toujours dans les milieux artistiques et toujours cette nouvelle mode de la différence d’âge avec une femme plus âgée. Et bientôt en salles, c’est (encore) Nicole Kidman qui va s’épanouir sexuellement avec un garçon encore plus jeune puisque le garçon en question est Harris Dickison (la Palme d’or « Sans filtre ») et que la différence d’âge est de près de trente ans (« Babygirl » qui sort en décembre.
Bizarrement, « Lonely Planet » ne traite pas de ladite différence d’âge comme les autres œuvres citées plus haut, préférant la normaliser et ne la citant qu’à une seule reprise vaguement. Choix assumé qui étonne mais peut être un tantinet frustrant. Mais l’attraction entre ces deux personnages est tout à fait crédible et bien amenée par les situations vécues par ces des deux personnages. Lui, qui a l’impression d’être une potiche pour sa copine d’écrivaine et elle en plein divorce et panne d’inspiration. « Lonely Planet » prend bien le temps de développer ce qui va les amener à se plaire par la grâce d’une écriture appliquée et juste. Le film prend d’ailleurs le revers de beaucoup de films romantiques puisque ce sont davantage les prémisses de l’histoire d’amour qui sont traitées ici, plutôt que l’histoire d’amour en elle-même, la rendant (un peu) plus originale. Les dialogues incarnant les échanges du duo sont pertinents et font ressortir certains problèmes de couple intelligemment même s’il ne faut pas s’attendre à de grandes dissertations psychologiques sur le sujet, le film restant plutôt léger.
On apprécie de retrouver Laura Dern qui fait un retour fracassant sur les écrans depuis son Oscar du meilleur second rôle pour « Marriage Story » de Noah Baumbach. Entre le cinéma commercial (« Jurassic World 3 »), une série de très haute volée (la délicieuse et très drôle « Palm Royale » qu’elle produit) ou encore le cinéma plus indépendant et prestigieux (le magnifique « The Son » de Florian Zeller), elle fait un come-back de grande qualité. On n’aurait pas pensé l’associer à Liam Hemsworth (frère de « Thor »), plus habitué aux séries B et aux films d’action, et pourtant leur osmose est indéniable et leur duo à l’écran est tout à fait intéressant et crédible. Si « Lonely Planet » n’est pas un film sentimental parfait, comme le prouve cette fin facile et classique et un Maroc de carte postale visuellement idéalisé, il s’avère tout à fait plaisant, bien écrit et divertissant.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Bizarrement, « Lonely Planet » ne traite pas de ladite différence d’âge comme les autres œuvres citées plus haut, préférant la normaliser et ne la citant qu’à une seule reprise vaguement. Choix assumé qui étonne mais peut être un tantinet frustrant. Mais l’attraction entre ces deux personnages est tout à fait crédible et bien amenée par les situations vécues par ces des deux personnages. Lui, qui a l’impression d’être une potiche pour sa copine d’écrivaine et elle en plein divorce et panne d’inspiration. « Lonely Planet » prend bien le temps de développer ce qui va les amener à se plaire par la grâce d’une écriture appliquée et juste. Le film prend d’ailleurs le revers de beaucoup de films romantiques puisque ce sont davantage les prémisses de l’histoire d’amour qui sont traitées ici, plutôt que l’histoire d’amour en elle-même, la rendant (un peu) plus originale. Les dialogues incarnant les échanges du duo sont pertinents et font ressortir certains problèmes de couple intelligemment même s’il ne faut pas s’attendre à de grandes dissertations psychologiques sur le sujet, le film restant plutôt léger.
On apprécie de retrouver Laura Dern qui fait un retour fracassant sur les écrans depuis son Oscar du meilleur second rôle pour « Marriage Story » de Noah Baumbach. Entre le cinéma commercial (« Jurassic World 3 »), une série de très haute volée (la délicieuse et très drôle « Palm Royale » qu’elle produit) ou encore le cinéma plus indépendant et prestigieux (le magnifique « The Son » de Florian Zeller), elle fait un come-back de grande qualité. On n’aurait pas pensé l’associer à Liam Hemsworth (frère de « Thor »), plus habitué aux séries B et aux films d’action, et pourtant leur osmose est indéniable et leur duo à l’écran est tout à fait intéressant et crédible. Si « Lonely Planet » n’est pas un film sentimental parfait, comme le prouve cette fin facile et classique et un Maroc de carte postale visuellement idéalisé, il s’avère tout à fait plaisant, bien écrit et divertissant.
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Lonely Planet commence mal avec un faux pas surprenant : Netflix utilise une musique malienne alors que l'histoire se déroule au Maroc, créant un décalage qui nuit à l'immersion. La romance centrale, censée être le cœur du film, est malheureusement très banale. Deux personnages que tout semble opposer se retrouvent à cause de leur solitude, mais même ce lien paraît forcé et sans profondeur. Le fait que l’homme soit déjà en couple, une complication potentielle, n’ajoute même pas de d'obstacles réels à l’histoire.
Les performances des acteurs sont décevantes, en particulier celle de Liam Hemsworth, qui peine à donner de la consistance à son personnage. On ne ressent pas d'alchimie réelle entre les deux protagonistes, et la romance ne parvient jamais à convaincre.
Les performances des acteurs sont décevantes, en particulier celle de Liam Hemsworth, qui peine à donner de la consistance à son personnage. On ne ressent pas d'alchimie réelle entre les deux protagonistes, et la romance ne parvient jamais à convaincre.
Nul comme film.
Dès la première minute image irréaliste et caricaturale sur le maroc .
Pas d’histoire et de créativité
Dès la première minute image irréaliste et caricaturale sur le maroc .
Pas d’histoire et de créativité
Autant j’ai été séduite par la série l’amour trompé avec Monica Guerritore parfaite dans le rôle de femme mûre avec un jeune homme très charmant, autant ce film m’a déçu, l’aichimie entre les 2 acteurs se fait mais l’histoire est terriblement banale. Reste les paysages et le soleil.
Soporifique et sans relief. Difficile de faire un film quand on n'a en fait rien à raconter. Que fait Laura Dern dans cette galère ?
Le constat du moment est le suivant : à 50 ans, les actrices n'ont plus de travail car on ne leur propose plus de rôle. Il semble que ce film "Lonely Planet "nous prouve le contraire, à moins que Laura Dern fasse partie de 9% des actrices qui obtienne un rôle. Cette fois, Laura Dern ne joue plus l'épouse de, la mère ou encore la fille de, mais bien une femme indépendante et assumant ses rides autant que ses désirs. Il y a donc un créneau à suivre pour les rôles principaux avec des femmes mûres. Au travail !
Je ne sais plus quoi dire. On est tellement dans la production de quantité, au détriment de la qualité. Lonely Planet en est l’exemple parfait. Tout semble formaté, sans âme, comme si le simple fait de sortir un film avec une belle image et des acteurs populaires suffisait. Mais où est passé le travail sur l’émotion, sur l’histoire qui nous prend aux tripes ? On regarde, on attend que quelque chose se passe, et au final, on reste sur notre faim. C’est comme si on nous offrait une façade parfaite, mais sans jamais creuser. On dirait que l’industrie mise tout sur le visuel en oubliant ce qui rend un film réellement marquant : la profondeur des personnages, des sentiments vrais. Lonely Planet est tout simplement l’exemple de ce qui ne fonctionne plus aujourd’hui.
Le film est lent, sans intrigue et a de la peine a s'investir dans l'histoire. Du début à la fin on essaie de comprendre à où en veut venir ce film tout ça pour comprendre à la fin qu'on a perdu 1h40 de notre vie.
Scénario sans créativité, histoire à l'eau de rose incohérente, les scènes sont bateaux , il n y a que les paysages qui valent le détour ! A moins de fantasmer sur le héro ou l'héroïne il n y a rien d'intéressant dans ce film, l'écriture est fadasse bref , passons...
Ce long métrage raconte la retraite littéraire d’une romancière, Katherine Lowe, dans une casba au Maroc avec d’autres romanciers. Katherine ne cherche qu’à s’isoler pour finir son livre, elle a alors faire la rencontre du petit ami d’une des autres romancières.
Ce film est réalisé comme un roman, c’est ce qui lui vaut sa grande qualité scénaristique. En effet au delà de la simple romance ou de l’angoisse de la page blanche, ce long métrage nous offre une réflexion sur la vie en général et plus spécifiquement sur la recherche du bonheur que ce soit professionnellement ou dans la vie amoureuse.
Plus complexe qu’il n’y paraît ce film est une véritable surprise, car de plus le jeu des deux acteurs principaux monte le film encore à un autre niveau. Alors il est vrai qu’il y’a quelquefois une ou deux longueurs mais cela n’entache pas sa qualité.
Une très belle surprise.
Ce film est réalisé comme un roman, c’est ce qui lui vaut sa grande qualité scénaristique. En effet au delà de la simple romance ou de l’angoisse de la page blanche, ce long métrage nous offre une réflexion sur la vie en général et plus spécifiquement sur la recherche du bonheur que ce soit professionnellement ou dans la vie amoureuse.
Plus complexe qu’il n’y paraît ce film est une véritable surprise, car de plus le jeu des deux acteurs principaux monte le film encore à un autre niveau. Alors il est vrai qu’il y’a quelquefois une ou deux longueurs mais cela n’entache pas sa qualité.
Une très belle surprise.
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