Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
(Le) golem de Maher [...] est l’énigme lumineuse et l’admirable vision poétique par lesquelles, d’étrange objet entre art, fiction et documentaire, Le Barrage se fait splendide et fulgurant chant révolutionnaire.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un œuvre métaphorique qui tient autant du geste politique que de l’expérience visuelle et envoute par son éloquente beauté un spectateur dérouté mais fasciné.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Maher s’échappe régulièrement de la fabrique pour construire, jour après jour, un monstre de glaise, qui lui parle dans ses cauchemars. La créature est un golem soudanais. Une métaphore sableuse des rapports entre le peuple et le pouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Film panthéiste, Le Barrage séduit par son regard onirique et un beau personnage qui entame un dialogue passionnant avec son environnement.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Bande à part
par Nadia Meflah
Premier long-métrage du vidéaste et plasticien libanais Ali Cherri, Le Barrage explore la condition d’un homme, Maher, soumis aux sourdes violences que la terre absorbe pour mieux les recracher. À la fois minéral et mutique, le film intrigue par tout ce qu’il propose comme possibilités de récits.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Sophie Grassin
Un poil théorique ? Peut-être, mais la magie opère.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Thomas Baurez
Les larmes qui pointent au bord des paupières semblent plus fortes que les eaux agitées du barrage. Troublant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Le tableau est certes un peu aride. Mais il mêle réalité sociale, mythologie et création, pour signifier de manière originale la peur, la colère et l’espoir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Luc Chessel
Le film, coulant ensemble (comme coulée d’eau, de boue, de béton) les matières historique, politique, mythique, documentaire, cimente sa fable en toute esthétique, en gardant bien sûr l’à-propos de ne pas non plus trop la clore.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
(Le) golem de Maher [...] est l’énigme lumineuse et l’admirable vision poétique par lesquelles, d’étrange objet entre art, fiction et documentaire, Le Barrage se fait splendide et fulgurant chant révolutionnaire.
Le Journal du Dimanche
Un œuvre métaphorique qui tient autant du geste politique que de l’expérience visuelle et envoute par son éloquente beauté un spectateur dérouté mais fasciné.
Le Monde
Maher s’échappe régulièrement de la fabrique pour construire, jour après jour, un monstre de glaise, qui lui parle dans ses cauchemars. La créature est un golem soudanais. Une métaphore sableuse des rapports entre le peuple et le pouvoir.
Les Fiches du Cinéma
Film panthéiste, Le Barrage séduit par son regard onirique et un beau personnage qui entame un dialogue passionnant avec son environnement.
Bande à part
Premier long-métrage du vidéaste et plasticien libanais Ali Cherri, Le Barrage explore la condition d’un homme, Maher, soumis aux sourdes violences que la terre absorbe pour mieux les recracher. À la fois minéral et mutique, le film intrigue par tout ce qu’il propose comme possibilités de récits.
L'Obs
Un poil théorique ? Peut-être, mais la magie opère.
Première
Les larmes qui pointent au bord des paupières semblent plus fortes que les eaux agitées du barrage. Troublant.
Télérama
Le tableau est certes un peu aride. Mais il mêle réalité sociale, mythologie et création, pour signifier de manière originale la peur, la colère et l’espoir.
Libération
Le film, coulant ensemble (comme coulée d’eau, de boue, de béton) les matières historique, politique, mythique, documentaire, cimente sa fable en toute esthétique, en gardant bien sûr l’à-propos de ne pas non plus trop la clore.