Je ne m'attendais à rien en allant voir ce film. Et quel surprise !!! J'ai passé un très bon moment, j'ai beaucoup rigolé, les blagues sont bien trouvés, les acteurs sont excellents, j'ai beaucoup aimé chacun des personnages du film, les décors sont magnifiques et la musique est superbe. Aucune longueur, aucun temps mort. Un film tellement captivant, surtout tellement drôle. Ça m'a fait un bien fou de vraiment trop me marrer devant ce long métrage. Bref, un très bon film, je vous conseille d'aller le voir au cinéma !!! Il vaut trop le coup !!!
Aimable comédie de boulevard sur grand écran. Quelques rires et pas mal de sourires malgré un manque de rythme en seconde partie. Film financé en partie par des marques automobiles, et cela s'entend et se voit beaucoup. Christian Clavier a du mal à s'extraire des rôles de grands bourgeois . Sylvie Testud plus surprenante. En bref, film paresseux mais pas désagréable prochainement sur TF1.
Un gros navet comme on a malheureusement trop eu l’habitude d’en voir. Le film ne décolle pas après la série des premières vannes lancée. On est bien loin du succès passé des acteurs
Petite comédie où l'on sourit souvent mais ou l'on rit peu également. Le politiquement correct gâche les effets comiques et les effets de surprise des comédiens. Clavier surjoue dans L'exagération. Bourdon fait ce qu'il peut, certaines situations cocasses tombent dans l'ennui ou tournent au ridicule. Dommage on reste sur sa faim avec un film quelconque.
Ce film est pas mal. Il est franchouillard, lourd mais globalement j'ai bien rigolé. Et la salle aussi rigolait bien. Clavier incarne parfaitement ce français bon vivant, à la limite raciste, misogyne mais assez attachant à la fin. Le duo avec Bourdon est donc efficace puisque lui aussi incarne bien ce français rétrograde. Après le film est vraiment trop lourd par moment, ne tiens que grâce aux duo Bourdon/Clavier, n'est pas bien équilibré en termes de rythme. Mais bon j'ai passé un bon moment devant.
Excellente comédie jouée par des acteurs parfaits.Le duo Bourdon-Clavier est hilarant,le rythme est soutenu,on se régale à chaque réplique,nous avons passé un moment délicieux,nous avons bcp ri!Ce film est une thérapie à la morosité,courez-y!
Force est de constater qu'une petit dose de politiquement incorrect permet de rehausser significativement le pouvoir comique d'une comédie. Certes on est encore loin des sketches légendaires des Inconnus mais Didier Bourdon conserve toujours sa capacité à susciter l'hilarité. Epaulé par un Christian Clavier égal à lui même mais plutôt en forme, les dialogues font mouche et malgré un dernier tiers plutôt en retrait, Cocorico aura peu de concurrent pour mériter le titre de comédie de l'année.
Nous avons été voir se film en couple et on a passé un bon moment. J'adore les échanges de jeu de mots entre Christian Clavier et Didier Bourdon. Je suis une grande amatrice des comédie française et je n'est pas était déçue. spoiler: Je reste un peu sur ma fin et aimerait savoir c'est quoi l'erreur dans les origines de Christian, peut être y aura t'il une suite, ce que je doute
Nous avons besoin de films comme Cocorico parce que ce sont eux qui font vivre le cinéma, assurent une fréquentation nécessaire au maintien des salles et au financement des œuvres véritables en offrant aux spectateurs un divertissement calibré sur leurs attentes d’une part et sur leur besoin de s’identifier d’autre part. En effet, il y a quelque chose de cathartique dans le long métrage, mais d’une catharsis vidée de ses considérations morales et esthétiques : la représentation de protagonistes définis par leurs préjugés xénophobes conforte le public dans ses mêmes préjugés, et son enthousiasme exclamatif exprime une adhésion idéologique qui est celle d’un racisme ordinaire des gens moyens souhaitant payer pour voir un film qui leur ressemble. Donner au peuple ce qu’il demande, tel n’est pas le propre de l’art, mais qu’importe puisque l’art n’est pas le propre de Cocorico : absence de mise en scène, restriction du comique aux dialogues qui, à leur tour, se réduisent à un concours de vacheries limitées à l’énumération mécanique de stéréotypes poussiéreux et pourtant, par la réactualisation opérée, revivifiés. L’énergie des comédiens assure un semblant de spectacle, c’est-à-dire qu’elle occupe l’œil et suffit à porter le récit, les retournements et la clausule. La nullité formelle, c’est le temps béni du popcorn et du téléphone portable, que l’on peut consommer sans modération sans perdre ne serait-ce qu’une miette de ce pseudo-art dépourvu de nécessité, mais fort utile pourtant.