Mon compte
    La Dérive des continents (au sud)
    Note moyenne
    2,5
    311 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Dérive des continents (au sud) ?

    47 critiques spectateurs

    5
    2 critiques
    4
    7 critiques
    3
    16 critiques
    2
    10 critiques
    1
    9 critiques
    0
    3 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Sam Voelckel
    Sam Voelckel

    8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 août 2022
    Eh bien, vraiment très agréable. J'ai été agréablement surpris.e par ce film. Je pensais être parti.e pour aller voir quelque chose de sérieux et de diplomatique mais alors pas du tout. Au contraire, un très beau mélange de joie,de sérieux, d'action et d'humour. À aller voir!
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 387 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2022
    Dans “La dérive des continents (au sud)” Isabelle Carré travaille pour l’Union européenne et est chargée d’organiser une visite dans camp de réfugiés en Sicile au Président français et à la chancelière allemande. Durant la préparation du camp et des enjeux de communication, elle retrouve son fils qu’elle a abandonné neuf ans plus tôt. Ce dernier officie comme bénévole dans une ONG. Leur relation est difficile à rétablir, surtout que la mère a quitté le père pour une femme. Cette comédie dramatique met en scène des moments piquants mais n’ose jamais la satire pour dénoncer le n’importe quoi des rouages politiques. A trop vouloir être subtile, le réalisateur passe peut-être à côté du message principal qui devient une toile de fond aux rapports mère-fils.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    tupper
    tupper

    135 abonnés 1 386 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 août 2022
    Grâce à une écriture très précise et des interprètes de grande qualité, « la dérive des continents » arrive à être à la fois drôle, dénonciateur et touchant. Et c’est d’autant plus remarquable que les thèmes traités sont plutôt sensibles. Le ton est caustique sans jamais céder à la facilité et touchant par la réflexion qu’il suscite et non pas par les sentiments, ce qui est bien plus compliqué.
    Aubert T.
    Aubert T.

    126 abonnés 139 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 septembre 2022
    Sur des thèmes ultra vus et revus (conflit parental, crise des migrants), le film distille une fantaisie inattendue et gère avec brio le rythme assez enlevé des séquences.
    Une vraie bonne surprise.
    MATHILDE20485
    MATHILDE20485

    22 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 août 2022
    Ou encore un film qui montre qu'Isabelle Carré sait bien les choisir.
    Elle y est encore radieuse, drôle parfois aussi et émouvante.
    Pendant un (bon) moment du film, je savais que j'avais déjà vu Theodore Pellerin mais après vérification c'était dans Juste la fin du monde.
    Bilingue qui tombe à pic pour ce film. Il a aussi des répliques drôles et qui font mouche.
    Mais j'ai été aussi surprise par le rôle de Tom Villa . (Je n'aime pas quand on ne parle pas des seconds rôles lol). Très crédible dans ce rôle de pseudo conseiller. Et les meilleurs répliques ne sont pas que dans la bande annonce. Un joli comique de situation m'a fait bien rire. Très fort de se rappeler avec humour de quelque chose qui nous fut désagréable.
    Certaines prises d'image pour des scènes sont bien réussies.
    Yves G.
    Yves G.

    1 496 abonnés 3 513 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 août 2022
    Nathalie (Isabelle Carré) travaille pour la Commission européenne en Sicile à l’accueil des réfugiés provenant de la rive su de la Méditerranée. Dans le camp qu’elle dirige, elle prépare dans le plus grand secret la visite surprise que doivent y faire Emmanuel Macron et Angela Merkel, précédés par deux de leurs conseillers. Elle y retrouve par hasard son propre fils, Albert, qui s’était violemment éloigné d’elle après que Nathalie a divorcé avec son père et révélé son homosexualité.

    Lionel Baier poursuit un projet ambitieux : dresser en quatre films tournés aux quatre coins de l’Europe un portrait kaléidoscopique de notre continent dont son pays, la Suisse, occupe le centre. Il y eut d’abord "Comme des voleurs (à l’est)", réalisé en 2009 entre la Suisse et la Pologne, mais inédit en France. Puis le très réussi "Les Grandes Ondes (à l’ouest)" qui mettait en scène deux reporters de la Radio télévision suisse au Portugal à la veille de la révolution des œillets. Voici au sud de l’Italie "La Dérive des continents" en attendant "Keek (au nord)" qui sera filmé en Ecosse.

    "La Dérive des continents" a pour thème ou pour prétexte la crise migratoire en Méditerranée et l’accueil des réfugiés subsahariens en Italie, en butte au racisme ordinaire des habitants et à la montée de l’extrême droite et de son discours xénophobe. Le parti pris, passablement casse-gueule, est de le traiter par la comédie. Pourquoi pas ? On accepte volontiers de suivre les préparatifs d’une visite présidentielle dans ce camp de réfugiés en compagnie d’un énarque péremptoire (non ! ce n’est pas un pléonasme !) et d’une fonctionnaire allemande qui symbolise à elle seule la froide efficacité de l’administration fédérale. On rit de la morgue du premier et de la raideur de la seconde. On se demande si tout le film va pouvoir durer sur cette seule veine là. Et on a raison de s’en inquiéter. Car bien vite "La Dérive"… dérive.

    Adieu les promesses de la bande annonce d’une comédie primesautière dénonçant les apories de la politique migratoire européenne ! "La Dérive" prend la tangente vers un autre sujet annoncé par son affiche : la réconciliation d’une mère et d’un fils. Ce sujet est beaucoup plus convenu que le précédent. Isabelle Carré lui donne un tour mièvre qui achève de le plomber un peu plus malgré l’énergie rebelle de Théodore Pellerin (dont la filmographie m’apprend qu’il a joué dans les excellents "Never Rarely Sometimes Always" et "Boy Erased").
    islander29
    islander29

    876 abonnés 2 373 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 août 2022
    Isabelle Carré et Theodore Pellerin, se donnent la réplique dans ce film.....La mère et le fils règlent leurs comptes avec plus ou moins de réussite et d'esprit....C'est le noeud du film....Cela donne un jeu d'acteurs sur fond d'immigration dans les magnifiques paysages de Sicile (que d'envies de voyages) et de Catane en particulier dont la ville est filmée avec élégance, de magnifiques photos jalonnent le film...Bref ce film donne une envie de soleil, de dérive des continents ......C'est sympa, ensoleillé donc, et utopique je pense dur la politique de l'EUROPE en matière d'immigration...Le film touche une corde très sensible sur laquelle il ne faudra pas trop tirer.....On est en 2020, Merkel et Macron règnent....Le film est politiquement subtil et émotionnellement plus neutre...C'est agréable à voir et à suivre, il n'y a pas de longueurs, et avouez qu'onh a pas de bol, spoiler: quand une météorite s'abat sur votre voiture
    ...Je conseille sans insister, sauf si vous êtes fan d'Isabelle.....
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    779 abonnés 1 531 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 août 2022
    En Sicile, de nos jours, Nathalie (qui travaille pour l'UE) prépare une visite soi-disant impromptue du chef de l'Etat français et de la chancelière allemande dans un camp de réfugiés.
    Parallèlement, elle recroise la route de son fils (qui travaille pour une ONG) qu'elle avait abandonné à son sort 9 ans plus tôt.
    Isabelle Carré, dans son personnage volontaire et passionné, passe son temps dans ce film à jongler entre deux costumes : la femme humanitaire et la mère en disgrâce.
    C'est ce mélange des genres que j'ai trouvé inégal et parfois brouillon et ce, malgré une toile de fond pesante montrant toutes ces populations fuyant des pays en guerre pour échouer dans le chaos bureaucratique européen (quand elles n'ont pas trouvé la mort avant).
    Du coup, le thème des migrants n'est que partiellement traité, tout comme la reconstruction de sa relation mère-fils insuffisamment creusée.
    Le rendu final n'est pas très palpitant, voilà une oeuvre qu'on oubliera bien vite, en dépit de la présence rayonnante d'une Isabelle Carré toujours aussi exquise.
    Bof bof.
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Isabel I.
    Isabel I.

    40 abonnés 317 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 août 2022
    Plusieurs  thematiques s'entremêlent et donc  laquelle choisir ?  Il y a les petites histoires de l'intime et les grandes Histoires du social. C'est sans doute trop fourre-tout ;  alors que chaque sujet aurait pu se suffire à lui-même s'il avait été  approfondi et vraiment  réfléchi.
    Coming out vers la cinquantaine de cette femme, ses  choix de vie sentimentaux et professionnels oui mais encore ?
    Mère -fils relation conflictuelle remise en cause et happy end, un peu idyllique quand même !
    La bêtises des politiques leur opportunisme et cynisme... mais à peine abordé, juste en filigramme, dommage.
    La problématique des migrants : les morts des boat people,  fil conducteur ou juste toile de fond pour  donner bonne conscience au film?  le traitement est d'une telle  légèreté que ça en est gênant pour cette réalité dramatique.
    Des scènes trop insistantes, trop appuyées : se perdre dans un labyrinthe de ruine pour mieux se retrouver, la prise de parole symbolique et militante de la jeune femme africaine, les deux mains pour ouvrir la porte "ensemble on est plus fort",  les documents d'identité qui  s'envolent comme un  symbole de liberté ... des colombes de papier pour quelle paix  ? Etc...
    Peut-être est ce trop ... rien de vraiment fouillé le film est en définitif superficiel, pas d'argumentation réelle, sans parler du coté assez démago. : il y a ceux qui pensent comme il faut ... et les méchants. 
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    348 abonnés 663 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 août 2022
    Achevé en 2021, « La Dérive des continents (au sud) », tragi-comédie et satire grinçante de la politique migratoire de l’Union européenne mêlée à l’histoire intime des protagonistes aux destins chamboulés par les soubresauts de l’Histoire, prend aujourd’hui avec la guerre en Ukraine une dimension plus troublante.
    Après « Comme des voleurs (à l’Est) » en Pologne [2006] et « Les grandes ondes (à l’ouest) » au Portugal [2016], cette fiction documentée tournée en Sicile par le cinéaste suisse Lionel Baier constitue le 3ème volet d’une tétralogie dédiée à la construction européenne. Le réalisateur, ancien enseignant en cinéma et coscénariste ici avec Laurent Larivière, revendique un regard critique sur ‘la construction européenne, seul rempart [à ses yeux] contre la barbarie et le nationalisme’.
    Les critiques n'étaient pas très bonnes (encore le Monde décidément) mais j'ai vraiment apprécié ce film.
    Isabelle Carré est vraiment très bonne en fonctionnaire européenne psycho rigide écartelée entre son homosexualité compliquée à gérer et un fils militant alter mondialiste qui lui en veut de l'avoir "abandonné" à son père à l'âge de 12 ans...
    Le film est parfois un peu "théatralisé" et propose beaucoup d'intrigues parallèles. On peut aussi "décrocher" parfois sur des thématiques mystico-juives qui ne parlent pas à tout le monde.
    Sinon la photo et le montage sont au top !
    Michel Moatti
    Michel Moatti

    20 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 août 2022
    dans le cadre de la Sicile une fonctionnaire européenne doit organiser la visite de Macron et Merkel dans un camp de réfugiés. elle croise à cette occasion son fils dont elle s'est éloignée pour vivre
    elyseens mais on reste sur sa faim sur les relations mère fils.
    A P
    A P

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 août 2022
    film joli et sensible, drôle, mais rien à voir avec le problème migratoire, qui est pris comme prétexte pour parler de l'impossibilité à être une mère parfaite.
    Anne marie
    Anne marie

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 août 2022
    Les 10 premières minutes laissent entrevoir un film intelligent et drôle sur un problème impossible à gérer on le conçoit facilement . Ensuite c'est du n'importe quoi : les "héros" arrogants, suprêmement intelligents, avec des histoires "modernes " contrastent avec ces italiens mal fagotés , bêtes et rétrogrades, racistes bien évidemment ( ils n'ont pas idée de pousser la gerbe dans l'eau : heureusement intervient la représentante de l'UE ) On s'ennuie ferme avec les histoires fils mère amantes, personnages tout sauf attachants : aucune émotion ....
    mem94mem
    mem94mem

    118 abonnés 577 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 août 2022
    Isabelle Carré fait à nouveau mouche dans cette comédie, mini tragédie familiale. On prend un malin plaisir à voir s'organiser la Grande réception, tout comme le rabibochage familial. Les dialogues sont majoritairement savoureux. Le canadien Théodore Pellerin est parfait pour donner la réplique, parfait bilinguisme. J'avais déjà beaucoup aimé "Les grandes ondes".
    Brol le chat
    Brol le chat

    10 abonnés 151 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 août 2022
    Pour son retour derrière une caméra, après avoir dirigé ll'école de cinéma de Lausanne (Suisse) pendant plusieurs années, Baier aurait-il perdu la main (et l'oeil)? Il mêle, peut-être trop ambitieusement la question des migrants, une femme homosexuelle (Isabelle Carré, qui réussit à rester parfaite) retrouvant son fils après des années et essayant de restaurer leur lien tout en entretenant une relation avec une diplomate allemande, Ute (Ursina Lardi), tout ça sur fond de comédie, qui ne prend pas vraiment. Reste une satire des moeurs politiques via le storytelling de la visite, minutieusement préparée et une apparition de Baier en dragueur.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top