La Dérive des continents (au sud) : Critique presse
La Dérive des continents (au sud)
Note moyenne
3,1
21 titres de presse
Elle
Franceinfo Culture
L'Humanité
La Septième Obsession
Marianne
Marie Claire
Positif
Télérama
aVoir-aLire.com
L'Obs
La Croix
La Voix du Nord
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Libération
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Le Monde
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Mais, avec son rythme de comédie à l'italienne, ce nouvel opus se révèle d'une causticité désopilante.
Franceinfo Culture
par Lola Scandella
Dans un mélange des genres osé mais désopilant, Lionel Baier fustige une Union européenne incapable de faire face aux tragédies maintenues sur son sol.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Sophie Joubert
À mesure que l’intrigue avance et se resserre sur la relation mère-fils, l’émotion et la tendresse affleurent, contrebalancées par l’étrangeté des situations (une chute de météorite) ou des paysages (...).
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Le nouveau film du cinéaste suisse Lionel Baier combine la comédie politique et le drame des sentiments égarés. Une fiction où le fiel se crispe, se teinte d’amertume, avant de repartir dans un éclat de rire salutaire.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Une comédie grinçante et convaincante.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Sur l'air d'une comédie alerte, Lionel Baier tricote un portrait de femme (Isabelle Carré, impériale) partagée entre ses désirs de liberté et son statut de mère.
Positif
par Ariane Allard
C'est là tout le talent de Lionel Baier que de savoir manier… en même temps… la moquerie (savoureuses punchlines contre les dérives de l’Europe) et la tendresse (jalonnée, comme il se doit, de chamailleries entre la mère et le fils).
Télérama
par Caroline Besse
Sur fond de drame humanitaire, une quête intime surprenante, qui mêle cruauté et drôlerie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une chronique quelquefois burlesque et toujours satirique qui se plaît à observer avec le même plaisir les dérives du continent européen et celles des sentiments humains.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Sophie Grassin
Lionel Baier, avec un sens aigu de la satire, de l’absurde et de la punchline, dénonce le cynisme de dirigeants qui refusent de voir la vérité en face, avant de bifurquer sur la résolution, plus confortable, du différend familial entre Nathalie et son fils, en pleine cambrousse. N’empêche, on sourit.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Absurde et réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Dès lors, la comédie satirique et grinçante, parfois maladroite et convenue, se double d’une chronique familiale assez savoureuse, au final profonde et surprenante.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le mélo familial prend un peu trop le pas sur la satire politique, mais le tout reste plaisant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si l’intime prend le pas sur la satire, cette comédie drôlement touchante et finement écrite séduit. Ses talentueux comédiens n’y sont pas pour rien.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Laura Tuillier
On sent un réalisateur un peu timoré qui, dans sa volonté de ne pas trop enfoncer la maison Europe, se retrouve à ménager des tournants émollients neutralisant la vigueur comique initiale.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Tout comme les émissaires de Bruxelles réarrangent la question politique, La Dérive des continents la fait disparaître dans une comédie de moeurs où le jeu de rôles européen se décline en oppositions affectives tracées à gros traits.
Critikat.com
par Valentin Denis
La Dérive des continents, trop captivé par l’air du temps, reste à la surface de l’époque.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par J. Ma.
Il s’ensuit un compte à régler auquel personne ne croit, pas davantage qu’à la charge contre les mœurs politiques, dont la facilité et la lourdeur embarrassent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
À force de jouer sur une naïveté d’apparence pour critiquer les absurdités administratives, politiques et sociales qui prévalent autour du problème des migrants en Méditerranée, « La Dérive des continents » multiplie les facilités dans son récit et, justement, les excès de naïveté.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Cristallisant la tension autour d’une difficile réconciliation mère / fils, Lionel Baier s’interroge sur l’engagement, qu’il soit politique ou personnel. Le résultat se veut joyeusement irrévérencieux, mais reste désespérément fade et inoffensif.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Maniant l’ironie et la causticité avec brio, Baier touche juste pour pointer… Les dérives absurdes et cyniques des politiques européennes. Il se révèle par contre moins convaincant dans le deuxième pilier de son récit (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Elle
Mais, avec son rythme de comédie à l'italienne, ce nouvel opus se révèle d'une causticité désopilante.
Franceinfo Culture
Dans un mélange des genres osé mais désopilant, Lionel Baier fustige une Union européenne incapable de faire face aux tragédies maintenues sur son sol.
L'Humanité
À mesure que l’intrigue avance et se resserre sur la relation mère-fils, l’émotion et la tendresse affleurent, contrebalancées par l’étrangeté des situations (une chute de météorite) ou des paysages (...).
La Septième Obsession
Le nouveau film du cinéaste suisse Lionel Baier combine la comédie politique et le drame des sentiments égarés. Une fiction où le fiel se crispe, se teinte d’amertume, avant de repartir dans un éclat de rire salutaire.
Marianne
Une comédie grinçante et convaincante.
Marie Claire
Sur l'air d'une comédie alerte, Lionel Baier tricote un portrait de femme (Isabelle Carré, impériale) partagée entre ses désirs de liberté et son statut de mère.
Positif
C'est là tout le talent de Lionel Baier que de savoir manier… en même temps… la moquerie (savoureuses punchlines contre les dérives de l’Europe) et la tendresse (jalonnée, comme il se doit, de chamailleries entre la mère et le fils).
Télérama
Sur fond de drame humanitaire, une quête intime surprenante, qui mêle cruauté et drôlerie.
aVoir-aLire.com
Une chronique quelquefois burlesque et toujours satirique qui se plaît à observer avec le même plaisir les dérives du continent européen et celles des sentiments humains.
L'Obs
Lionel Baier, avec un sens aigu de la satire, de l’absurde et de la punchline, dénonce le cynisme de dirigeants qui refusent de voir la vérité en face, avant de bifurquer sur la résolution, plus confortable, du différend familial entre Nathalie et son fils, en pleine cambrousse. N’empêche, on sourit.
La Croix
Absurde et réjouissant.
La Voix du Nord
Dès lors, la comédie satirique et grinçante, parfois maladroite et convenue, se double d’une chronique familiale assez savoureuse, au final profonde et surprenante.
Le Figaro
Le mélo familial prend un peu trop le pas sur la satire politique, mais le tout reste plaisant.
Le Journal du Dimanche
Si l’intime prend le pas sur la satire, cette comédie drôlement touchante et finement écrite séduit. Ses talentueux comédiens n’y sont pas pour rien.
Libération
On sent un réalisateur un peu timoré qui, dans sa volonté de ne pas trop enfoncer la maison Europe, se retrouve à ménager des tournants émollients neutralisant la vigueur comique initiale.
Cahiers du Cinéma
Tout comme les émissaires de Bruxelles réarrangent la question politique, La Dérive des continents la fait disparaître dans une comédie de moeurs où le jeu de rôles européen se décline en oppositions affectives tracées à gros traits.
Critikat.com
La Dérive des continents, trop captivé par l’air du temps, reste à la surface de l’époque.
Le Monde
Il s’ensuit un compte à régler auquel personne ne croit, pas davantage qu’à la charge contre les mœurs politiques, dont la facilité et la lourdeur embarrassent.
Le Parisien
À force de jouer sur une naïveté d’apparence pour critiquer les absurdités administratives, politiques et sociales qui prévalent autour du problème des migrants en Méditerranée, « La Dérive des continents » multiplie les facilités dans son récit et, justement, les excès de naïveté.
Les Fiches du Cinéma
Cristallisant la tension autour d’une difficile réconciliation mère / fils, Lionel Baier s’interroge sur l’engagement, qu’il soit politique ou personnel. Le résultat se veut joyeusement irrévérencieux, mais reste désespérément fade et inoffensif.
Première
Maniant l’ironie et la causticité avec brio, Baier touche juste pour pointer… Les dérives absurdes et cyniques des politiques européennes. Il se révèle par contre moins convaincant dans le deuxième pilier de son récit (...).