Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Femme Actuelle
par Kalai Chan
Plus qu’un fait divers, André Téchiné aborde le sujet de la violence policière avec toutes les nuances qui s’imposent. Tout n’est pas noir, tout n’est pas blanc. Il pose le thème à travers le double prisme de la policière et du jeune activiste.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
L'Obs
par Sophie Grassin
Les acteurs jouent leur partition avec sobriété, Isabelle Huppert en tête, mais Hafsia Herzi et Nahuel Pérez Biscayart aussi, qui composent un couple auquel on croit dans ce film utopique et ouvert à une possible réconciliation des contraires.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Olivier Delcroix
À 80 ans, le cinéaste réussit un film sensible à fleur de peau, avec le formidable duo Isabelle Huppert et Hafsia Herzi.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Olivier De Bruyn
L'auteur de « Ma saison préférée » se renouvelle et met en scène Isabelle Huppert en policière aux prises avec un violent conflit de loyauté. Son film regarde la France dans le blanc des yeux.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Didier Péron
La réunion des actrices (comme dans le film de Patricia Mazuy qui sort bientôt), partageant l’une et l’autre deux styles bien particuliers de jeu neutre, comme détaché, remplit l’atmosphère sous vide du film d’une densité humaine anormalement séduisante, vu l’ingratitude de tout.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film atypique qui piétine les clichés.
Sud Ouest
par Julien Rousset
L’amitié fragile (impossible ?) entre une policière et ses voisins, activistes anti-flics : dans « Les Gens d’à côté », André Téchiné propose un aperçu saisissant de la France d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
André Téchiné arrive toujours à nous toucher en alliant narration fluide et mise en scène élégante, dans un récit fidèle à son univers, avec une Isabelle Huppert une fois de plus impériale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un lumineux film de consolation et de réconciliation.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Intéressant sur le fond, le film se perd un peu dans une mise en scène sans relief, une caméra qui bouge tout le temps sans qu'on comprenne pourquoi, et des procédés de narration un peu désuets, comme la voix off, omniprésente.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Par le biais de l’intime, André Téchiné traite des antagonismes autour des violences policières avec une intrigue parfois un peu simpliste.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le cinéaste des dilemmes et des déchirements creuse un conflit moral entre la raison et la passion, traité avec douceur, tendresse et délicatesse. Au point d’en être parfois trop atone, sans éclats.
Le Monde
par J. Ma.
Le sujet du film est ainsi clairement posé entre l’amitié naissante qui lie la policière à ce jeune couple, et les actes délictueux devant lesquels sa conscience professionnelle et sociale se cabre. A cet égard, on peut faire confiance à André Téchiné pour éviter le manichéisme et mettre de la complexité dans son sujet. Le programme romanesque ne convainc cependant qu’à moitié.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
« Les Gens d’à côté » raconte avec subtilité une histoire d’amitié contrariée par les opinions politiques des uns et des autres. La relation entre Lucie et Julia est touchante. Si le secret autour du métier de Lucie introduit du suspense, le film manque cependant un peu de nerf et d’enjeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
La veine sociale de Téchiné se double ici d'un hommage discret au cinéma de François Truffaut et notamment à La Femme d'à côté. Il s'agit en effet d'une véritable histoire d'amour passionnelle : Lucie s'éprend de cette famille tout entière jusqu'à se perdre. C'est dans cette vibration émotionnelle que le film, par ailleurs un peu trop académique, trouve ses meilleurs moments.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
Une espionne qui vire à l’agent double, secondée par le fantôme bienveillant de son amour suicidé. Comment désirer sa fatalité pour en faire en destin ? Ce souci philosophique est rehaussé par une autre question souveraine, car collective : celle du vivre-ensemble, y compris avec les mort·es, alors que tout concourt à nous claquemurer dans la ouate de nos certitudes narcissiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jacqueline Nacache
Ce film au propos politique suspendu nous laisse souvent au bord du malaise, mais il n'en est pas moins plein d'une troublante séduction.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Si le réalisateur échoue à rendre son récit crédible, il instaure néanmoins un bon suspense et réussit le portrait sensible d'une femme ébranlée dans ses certitudes.
Télérama
par Louis Guichard
Ici, la dramaturgie et les situations demeurent convaincantes pendant la plus grande partie du film, mais moins à l’approche du dénouement et dans un épilogue à la fabrication trop visible. Reste une démarche de cinéma pertinente et précise, consistant à convertir nos débats les plus actuels en un récit qui n’a rien de théorique, avec des sentiments qui nous touchent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean Marie Samocki
Plus généralement, pêche le lien entre individu et communauté, désir de survie et appartenance. Le trait sociologique sclérose l’énergie individuelle ; en retour, l’idéalisme de l’élan vital édulcore et simplifie la description politique.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pas de réel aboutissement dans ce récit parasité par quelques afféteries peu subtiles (une voix off inutile et redondante, la « présence » de l’ex-compagnon).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Téchiné court après la subtilité, mais ne parvient qu’à asséner laborieusement son message.
Ouest France
par Pascale Vergereau
La confrontation aurait pu être très intéressante, mais André Téchiné reste en surface, et Isabelle Huppert est plus froide que jamais (...).
Première
par Thomas Baurez
Dilemme moral et renversement possible des valeurs. Lucie cache d’abord sa profession et semble jouer ainsi avec le feu. Problème, ce « feu » ne prend jamais et les enjeux dramatiques se dénouent platement avant même d’être vraiment amorcées.
La critique complète est disponible sur le site Première
Femme Actuelle
Plus qu’un fait divers, André Téchiné aborde le sujet de la violence policière avec toutes les nuances qui s’imposent. Tout n’est pas noir, tout n’est pas blanc. Il pose le thème à travers le double prisme de la policière et du jeune activiste.
L'Obs
Les acteurs jouent leur partition avec sobriété, Isabelle Huppert en tête, mais Hafsia Herzi et Nahuel Pérez Biscayart aussi, qui composent un couple auquel on croit dans ce film utopique et ouvert à une possible réconciliation des contraires.
Le Figaro
À 80 ans, le cinéaste réussit un film sensible à fleur de peau, avec le formidable duo Isabelle Huppert et Hafsia Herzi.
Les Echos
L'auteur de « Ma saison préférée » se renouvelle et met en scène Isabelle Huppert en policière aux prises avec un violent conflit de loyauté. Son film regarde la France dans le blanc des yeux.
Libération
La réunion des actrices (comme dans le film de Patricia Mazuy qui sort bientôt), partageant l’une et l’autre deux styles bien particuliers de jeu neutre, comme détaché, remplit l’atmosphère sous vide du film d’une densité humaine anormalement séduisante, vu l’ingratitude de tout.
Marianne
Un film atypique qui piétine les clichés.
Sud Ouest
L’amitié fragile (impossible ?) entre une policière et ses voisins, activistes anti-flics : dans « Les Gens d’à côté », André Téchiné propose un aperçu saisissant de la France d’aujourd’hui.
aVoir-aLire.com
André Téchiné arrive toujours à nous toucher en alliant narration fluide et mise en scène élégante, dans un récit fidèle à son univers, avec une Isabelle Huppert une fois de plus impériale.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un lumineux film de consolation et de réconciliation.
Franceinfo Culture
Intéressant sur le fond, le film se perd un peu dans une mise en scène sans relief, une caméra qui bouge tout le temps sans qu'on comprenne pourquoi, et des procédés de narration un peu désuets, comme la voix off, omniprésente.
La Croix
Par le biais de l’intime, André Téchiné traite des antagonismes autour des violences policières avec une intrigue parfois un peu simpliste.
Le Dauphiné Libéré
Le cinéaste des dilemmes et des déchirements creuse un conflit moral entre la raison et la passion, traité avec douceur, tendresse et délicatesse. Au point d’en être parfois trop atone, sans éclats.
Le Monde
Le sujet du film est ainsi clairement posé entre l’amitié naissante qui lie la policière à ce jeune couple, et les actes délictueux devant lesquels sa conscience professionnelle et sociale se cabre. A cet égard, on peut faire confiance à André Téchiné pour éviter le manichéisme et mettre de la complexité dans son sujet. Le programme romanesque ne convainc cependant qu’à moitié.
Le Parisien
« Les Gens d’à côté » raconte avec subtilité une histoire d’amitié contrariée par les opinions politiques des uns et des autres. La relation entre Lucie et Julia est touchante. Si le secret autour du métier de Lucie introduit du suspense, le film manque cependant un peu de nerf et d’enjeux.
Le Point
La veine sociale de Téchiné se double ici d'un hommage discret au cinéma de François Truffaut et notamment à La Femme d'à côté. Il s'agit en effet d'une véritable histoire d'amour passionnelle : Lucie s'éprend de cette famille tout entière jusqu'à se perdre. C'est dans cette vibration émotionnelle que le film, par ailleurs un peu trop académique, trouve ses meilleurs moments.
Les Inrockuptibles
Une espionne qui vire à l’agent double, secondée par le fantôme bienveillant de son amour suicidé. Comment désirer sa fatalité pour en faire en destin ? Ce souci philosophique est rehaussé par une autre question souveraine, car collective : celle du vivre-ensemble, y compris avec les mort·es, alors que tout concourt à nous claquemurer dans la ouate de nos certitudes narcissiques.
Positif
Ce film au propos politique suspendu nous laisse souvent au bord du malaise, mais il n'en est pas moins plein d'une troublante séduction.
Télé 7 Jours
Si le réalisateur échoue à rendre son récit crédible, il instaure néanmoins un bon suspense et réussit le portrait sensible d'une femme ébranlée dans ses certitudes.
Télérama
Ici, la dramaturgie et les situations demeurent convaincantes pendant la plus grande partie du film, mais moins à l’approche du dénouement et dans un épilogue à la fabrication trop visible. Reste une démarche de cinéma pertinente et précise, consistant à convertir nos débats les plus actuels en un récit qui n’a rien de théorique, avec des sentiments qui nous touchent.
Cahiers du Cinéma
Plus généralement, pêche le lien entre individu et communauté, désir de survie et appartenance. Le trait sociologique sclérose l’énergie individuelle ; en retour, l’idéalisme de l’élan vital édulcore et simplifie la description politique.
La Voix du Nord
Pas de réel aboutissement dans ce récit parasité par quelques afféteries peu subtiles (une voix off inutile et redondante, la « présence » de l’ex-compagnon).
Les Fiches du Cinéma
Téchiné court après la subtilité, mais ne parvient qu’à asséner laborieusement son message.
Ouest France
La confrontation aurait pu être très intéressante, mais André Téchiné reste en surface, et Isabelle Huppert est plus froide que jamais (...).
Première
Dilemme moral et renversement possible des valeurs. Lucie cache d’abord sa profession et semble jouer ainsi avec le feu. Problème, ce « feu » ne prend jamais et les enjeux dramatiques se dénouent platement avant même d’être vraiment amorcées.