Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pas un film de mafia, non, mais un film de fantômes, mélancolique, amer et bouleversant, qu’on pourrait facilement ranger à côté de ceux de Clint Eastwood.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On se plonge dans les méandres de la mémoire de Felice le temps de ce récit irrigué par la mélancolie, où on a l’impression qu’une menace plane en permanence sur un protagoniste rongé par le remords et la culpabilité, confronté au deuil et à des représailles qu’il n’avait pas anticipées.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Nostalgia, qui balade son romanesque dans la ville parthénopéenne, [...] est une nouvelle preuve de la créativité sans cesse renouvelée d’un des meilleurs cinéastes italiens en activité.
Télérama
par Louis Guichard
Un film envoûtant aux résonances mystiques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
POUR - Il y a quelque chose de passionnant et d’enivrant à se perdre dans les rues de Naples avec Felice, et, par extension, à habiter son paysage intérieur sous le regard ample et perspicace de Mario Martone.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Thibault Vicq
Martone ne fait ni un film de mafia ni un memory loss movie. Il place au contraire le curseur sur son personnage, comme un miroir des mutations de la ville. Naples est filmée dans ses matières, dans la couleur de ses murs, dans sa chaleur de vivre, dans sa débrouille et dans son entraide.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Mario Martone décode le genre du film de mafia et l’approche clanique, pour faire le portrait de Naples, ville de la violence et de la mélancolie, dans les pas d’un homme de retour de longues années d’exil, incarné par Pierfrancesco Favino.
Franceinfo Culture
par Anthony Jammot
Le réalisateur italien Mario Martone nous transporte une nouvelle fois dans sa ville natale, qui brille autant par sa beauté qu'elle inquiète par sa mafia, la camorra. Une déambulation contemplative et méditative, sur fond de quête de rédemption.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
De cette sourde menace, de ce désir de raconter naît un film unique, fragile et impalpable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
L’ombre de la Mafia plane sur ce drame inspiré des tragédies antiques et porté par la présence de son acteur principal, le formidable Pierfrancesco Favino.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
(...) un scénario sans faille, précis et lucide, magnifiquement tourné et habilement composé.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un film qui met en scène avec minutie le climat paranoïaque qui règne autour du trafic de drogue.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Un drame puissant à l’atmosphère dense et envoûtante, interprété par l’impérial Pierfrancesco Favino (qui jouait le premier rôle dans « le Traître » de Marco Bellocchio).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Soutenu par l'interprétation subtile de Pierfrancesco Favino, Mario Martone signe un sombre drame intimiste.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Mario Martone nous plonge dans un labyrinthe napolitain pour un film de mafia atypique. Une errance qui traîne parfois la patte mais parvient à imposer son climat hanté. Son film séduit par la relation intime qui lie le metteur en scène à sa ville natale.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Mario Martone filme avec une grâce certaine la nostalgie d’un revenant qu’une ville finira par rejeter. Comme peut un corps en rejeter un autre, étranger.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film envoûtant.
Première
par Thomas Baurez
La nostalgie dont parle le film, n’exprime pas tant des regrets liés aux fantasmes du souvenir que la façon dont le réel, bien que chargé d’histoires anciennes, ne parvient pas à montrer autre chose que sa laideur. Felice – heureux en italien – est perdu au milieu des décombres de ses racines. C’est un Napolitain qui a osé retirer son masque. Magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Jetant ses acteurs dans la population du cru, Martone filme les méandres de ce récit en les superposant à ceux, magnifiques et funèbres, du quartier, y puisant la géographie spirituelle de son héros.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Beau, souvent [...] ; pas mal poussif aussi, hélas [...] ; voire franchement balourd [...] ; Nostalgia réussit toutefois à taper terriblement juste lorsqu’il aborde son sujet central, qui est moins la nostalgie que le déracinement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par M.A.
De cette déambulation dans ses souvenirs qui peuplent les ruelles de la Sanità, enclave napolitaine loin de la mer et des rêves, émane une puissante mélancolie.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Ce récit du retour au pays d’un Napolitain vaut pour sa réflexion subtile sur les démons de l’Italie et l’interprétation nuancée de Pierfrancesco Favino. Mais on reste un peu sur sa faim.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Isabelle Danel
CONTRE - Malgré un début magique, des lourdeurs explicatives empèsent l'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
La connaissance est dans la poésie/Qui ne s’est pas perdu ne possède pas » : si les vers de Pasolini cités en exergue taillent large pour l’écriture sage de Martone, la dimension orphique de ce retour au mobile souterrain touche quand elle s’incarne dans des moments précis (...).
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
À force d’être allusif et d’amasser les madeleines de Proust, la mise en scène en devient lassante. Le portrait impressionniste de la ville et de l’enfance de Felice se cantonne à une élégante caresse qui reste en surface.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
La première demi-heure est intrigante [...]. Hélas, ses secrets sont vite divulguées et la structure du film devient très répétitive - une promenade, un souvenir, une confession.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Critikat.com
par Josué Morel
Sous le vernis d'un portrait complexe, le vide : Nostalgia est de ces films sur la nostalgie où les personnages marchent les mains dans les poches, la tête en l’air, en regardant les façades des immeubles avec un air à la fois grave et pensif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
Pas un film de mafia, non, mais un film de fantômes, mélancolique, amer et bouleversant, qu’on pourrait facilement ranger à côté de ceux de Clint Eastwood.
Le Journal du Dimanche
On se plonge dans les méandres de la mémoire de Felice le temps de ce récit irrigué par la mélancolie, où on a l’impression qu’une menace plane en permanence sur un protagoniste rongé par le remords et la culpabilité, confronté au deuil et à des représailles qu’il n’avait pas anticipées.
Positif
Nostalgia, qui balade son romanesque dans la ville parthénopéenne, [...] est une nouvelle preuve de la créativité sans cesse renouvelée d’un des meilleurs cinéastes italiens en activité.
Télérama
Un film envoûtant aux résonances mystiques.
Bande à part
POUR - Il y a quelque chose de passionnant et d’enivrant à se perdre dans les rues de Naples avec Felice, et, par extension, à habiter son paysage intérieur sous le regard ample et perspicace de Mario Martone.
Culturopoing.com
Martone ne fait ni un film de mafia ni un memory loss movie. Il place au contraire le curseur sur son personnage, comme un miroir des mutations de la ville. Naples est filmée dans ses matières, dans la couleur de ses murs, dans sa chaleur de vivre, dans sa débrouille et dans son entraide.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Mario Martone décode le genre du film de mafia et l’approche clanique, pour faire le portrait de Naples, ville de la violence et de la mélancolie, dans les pas d’un homme de retour de longues années d’exil, incarné par Pierfrancesco Favino.
Franceinfo Culture
Le réalisateur italien Mario Martone nous transporte une nouvelle fois dans sa ville natale, qui brille autant par sa beauté qu'elle inquiète par sa mafia, la camorra. Une déambulation contemplative et méditative, sur fond de quête de rédemption.
L'Obs
De cette sourde menace, de ce désir de raconter naît un film unique, fragile et impalpable.
La Croix
L’ombre de la Mafia plane sur ce drame inspiré des tragédies antiques et porté par la présence de son acteur principal, le formidable Pierfrancesco Favino.
Le Dauphiné Libéré
(...) un scénario sans faille, précis et lucide, magnifiquement tourné et habilement composé.
Le Figaro
Un film qui met en scène avec minutie le climat paranoïaque qui règne autour du trafic de drogue.
Le Parisien
Un drame puissant à l’atmosphère dense et envoûtante, interprété par l’impérial Pierfrancesco Favino (qui jouait le premier rôle dans « le Traître » de Marco Bellocchio).
Le Point
Soutenu par l'interprétation subtile de Pierfrancesco Favino, Mario Martone signe un sombre drame intimiste.
Les Echos
Mario Martone nous plonge dans un labyrinthe napolitain pour un film de mafia atypique. Une errance qui traîne parfois la patte mais parvient à imposer son climat hanté. Son film séduit par la relation intime qui lie le metteur en scène à sa ville natale.
Les Fiches du Cinéma
Mario Martone filme avec une grâce certaine la nostalgie d’un revenant qu’une ville finira par rejeter. Comme peut un corps en rejeter un autre, étranger.
Ouest France
Un film envoûtant.
Première
La nostalgie dont parle le film, n’exprime pas tant des regrets liés aux fantasmes du souvenir que la façon dont le réel, bien que chargé d’histoires anciennes, ne parvient pas à montrer autre chose que sa laideur. Felice – heureux en italien – est perdu au milieu des décombres de ses racines. C’est un Napolitain qui a osé retirer son masque. Magnifique.
Le Monde
Jetant ses acteurs dans la population du cru, Martone filme les méandres de ce récit en les superposant à ceux, magnifiques et funèbres, du quartier, y puisant la géographie spirituelle de son héros.
Libération
Beau, souvent [...] ; pas mal poussif aussi, hélas [...] ; voire franchement balourd [...] ; Nostalgia réussit toutefois à taper terriblement juste lorsqu’il aborde son sujet central, qui est moins la nostalgie que le déracinement.
Télé Loisirs
De cette déambulation dans ses souvenirs qui peuplent les ruelles de la Sanità, enclave napolitaine loin de la mer et des rêves, émane une puissante mélancolie.
aVoir-aLire.com
Ce récit du retour au pays d’un Napolitain vaut pour sa réflexion subtile sur les démons de l’Italie et l’interprétation nuancée de Pierfrancesco Favino. Mais on reste un peu sur sa faim.
Bande à part
CONTRE - Malgré un début magique, des lourdeurs explicatives empèsent l'ensemble.
Cahiers du Cinéma
La connaissance est dans la poésie/Qui ne s’est pas perdu ne possède pas » : si les vers de Pasolini cités en exergue taillent large pour l’écriture sage de Martone, la dimension orphique de ce retour au mobile souterrain touche quand elle s’incarne dans des moments précis (...).
Les Inrockuptibles
À force d’être allusif et d’amasser les madeleines de Proust, la mise en scène en devient lassante. Le portrait impressionniste de la ville et de l’enfance de Felice se cantonne à une élégante caresse qui reste en surface.
Paris Match
La première demi-heure est intrigante [...]. Hélas, ses secrets sont vite divulguées et la structure du film devient très répétitive - une promenade, un souvenir, une confession.
Critikat.com
Sous le vernis d'un portrait complexe, le vide : Nostalgia est de ces films sur la nostalgie où les personnages marchent les mains dans les poches, la tête en l’air, en regardant les façades des immeubles avec un air à la fois grave et pensif.