Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
À la fois théâtre du conservatisme, de l’émancipation et de la domination sociale, Sous les figues révèle magnifiquement le subtil portrait d’une Tunisie perdue entre désir de liberté et respect des traditions.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Hugo Jordan
Ce geste créateur, délicat et nuancé, fait de ce premier film une jolie réussite et rappelle qu’un acte politique réside également dans sa capacité à remettre de la douceur dans une situation minée par la violence des rapports sociaux.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Pierre Barbancey
C’est un cinéma de et en liberté. Une ode à la vie et à ces travailleuses agricoles dans les vergers du nord-ouest de la Tunisie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Marie Verdier
Dans un verger aux airs de jardin d’Eden, auréolé d’un ciel bleu éclatant, ce film « instinctif » et doux-amer pénètre avec un naturel et une infinie empathie dans l’intimité des jeunes ouvrières agricoles (et ouvriers) pendant la récolte des figues. Leurs rudes conditions de vie, pas même esquissées, se devinent en arrière-plan.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par B.P.
À ses actrices, des non-professionnelles, la réalisatrice venue du documentaire Erige Sehiri a demandé de rester elles-mêmes. Leur portrait est chatoyant, sensible. Il lui manque un peu de souffle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Disert et rafraîchissant, ce huis-clos en plein air suggère les dominations autant que les abus, mais aussi la force, la joie, sans misérabilisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Dans un court laps de temps, Erige Sehiri raconte la Tunisie rurale, avec une subtilité et une sensibilité réjouissantes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
À cet éternel questionnement amoureux, marivaudage des temps présents, la cinéaste tunisienne greffe une note réaliste qui finit par transformer ce que l’on avait perçu comme un éden en représentation étroite et d’autant plus éloquente d’une société, d’une époque, avec en métaphore la pourriture, sous la joliesse de l’image, la maturité des fruits comme celle des âges.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Si le film [...] n’arrive pas toujours à saisir cette durée juste qui est le graal d’un naturalisme réussi, il trouve son chemin, modeste et gracieux, au fil des heures qui séparent le labeur du repos.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Baigné de lumière, dialogué comme un film d'Eric Rohmer, «Sous les figues» montre aussi que sous le caractère sucré des fruits et des flirts se cachent l'amertume des espoirs déçus et la lucidité des lendemains qui déchantent.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Nicolas Geneix
Agile, la caméra qui serre et suit de près les visages, figure bien le huis clos de ce microcosme d’arbres robustes et de fruits délicats autant que symboliques.
Télé Loisirs
par Camille Brun
Baigné d'une magnifique lumière et incarné par de superbes comédiens amateurs, un premier film sensuel, plein d'humanité et très réussi.
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Derrière la légèreté apparente se dessine alors le portrait plus sombre d’une société prisonnière de ses maux où la liberté n’est qu’un mirage.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
L’élégance tout en langueur solaire de sa mise en scène poétise ce film, où les bavardages sont faussement anodins. Sans toutefois échapper à un certain systématisme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Un huis clos à ciel ouvert qui donne des visages à la Tunisie d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Cl. F.
Sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes, le film séduit par son dispositif, économe et esthétique (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Estelle Aubin
Sous les figues dessine ici les rapports de genre et de classe asymétriques dans la Tunisie d’aujourd’hui. Tout un vaste système de domination, patriarcal et capitaliste qu’il faut fuir, avant que les feuilles ne finissent par se refermer sur les protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Cette peinture sensuelle sous le ciel de Tunisie vaut pour un portrait du pays et d’une société où les filles les plus émancipées se mêlent aux plus conservatrices et où le patriarcat a fabriqué autant d’interdits que de transgressions.
aVoir-aLire.com
À la fois théâtre du conservatisme, de l’émancipation et de la domination sociale, Sous les figues révèle magnifiquement le subtil portrait d’une Tunisie perdue entre désir de liberté et respect des traditions.
Culturopoing.com
Ce geste créateur, délicat et nuancé, fait de ce premier film une jolie réussite et rappelle qu’un acte politique réside également dans sa capacité à remettre de la douceur dans une situation minée par la violence des rapports sociaux.
L'Humanité
C’est un cinéma de et en liberté. Une ode à la vie et à ces travailleuses agricoles dans les vergers du nord-ouest de la Tunisie.
La Croix
Dans un verger aux airs de jardin d’Eden, auréolé d’un ciel bleu éclatant, ce film « instinctif » et doux-amer pénètre avec un naturel et une infinie empathie dans l’intimité des jeunes ouvrières agricoles (et ouvriers) pendant la récolte des figues. Leurs rudes conditions de vie, pas même esquissées, se devinent en arrière-plan.
Le Figaro
À ses actrices, des non-professionnelles, la réalisatrice venue du documentaire Erige Sehiri a demandé de rester elles-mêmes. Leur portrait est chatoyant, sensible. Il lui manque un peu de souffle.
Le Journal du Dimanche
Disert et rafraîchissant, ce huis-clos en plein air suggère les dominations autant que les abus, mais aussi la force, la joie, sans misérabilisme.
Les Fiches du Cinéma
Dans un court laps de temps, Erige Sehiri raconte la Tunisie rurale, avec une subtilité et une sensibilité réjouissantes.
Les Inrockuptibles
À cet éternel questionnement amoureux, marivaudage des temps présents, la cinéaste tunisienne greffe une note réaliste qui finit par transformer ce que l’on avait perçu comme un éden en représentation étroite et d’autant plus éloquente d’une société, d’une époque, avec en métaphore la pourriture, sous la joliesse de l’image, la maturité des fruits comme celle des âges.
Libération
Si le film [...] n’arrive pas toujours à saisir cette durée juste qui est le graal d’un naturalisme réussi, il trouve son chemin, modeste et gracieux, au fil des heures qui séparent le labeur du repos.
Paris Match
Baigné de lumière, dialogué comme un film d'Eric Rohmer, «Sous les figues» montre aussi que sous le caractère sucré des fruits et des flirts se cachent l'amertume des espoirs déçus et la lucidité des lendemains qui déchantent.
Positif
Agile, la caméra qui serre et suit de près les visages, figure bien le huis clos de ce microcosme d’arbres robustes et de fruits délicats autant que symboliques.
Télé Loisirs
Baigné d'une magnifique lumière et incarné par de superbes comédiens amateurs, un premier film sensuel, plein d'humanité et très réussi.
Cahiers du Cinéma
Derrière la légèreté apparente se dessine alors le portrait plus sombre d’une société prisonnière de ses maux où la liberté n’est qu’un mirage.
L'Obs
L’élégance tout en langueur solaire de sa mise en scène poétise ce film, où les bavardages sont faussement anodins. Sans toutefois échapper à un certain systématisme.
La Voix du Nord
Un huis clos à ciel ouvert qui donne des visages à la Tunisie d’aujourd’hui.
Le Monde
Sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes, le film séduit par son dispositif, économe et esthétique (...).
Première
Sous les figues dessine ici les rapports de genre et de classe asymétriques dans la Tunisie d’aujourd’hui. Tout un vaste système de domination, patriarcal et capitaliste qu’il faut fuir, avant que les feuilles ne finissent par se refermer sur les protagonistes.
Sud Ouest
Cette peinture sensuelle sous le ciel de Tunisie vaut pour un portrait du pays et d’une société où les filles les plus émancipées se mêlent aux plus conservatrices et où le patriarcat a fabriqué autant d’interdits que de transgressions.