Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Humanité
par Pablo Patarin
Des histoires d’amour aux relations conflictuelles qui le traversent, Chevalier noir fait preuve d’une remarquable sobriété.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
La caméra alerte d’Emad Aleebrahim Dehkordi, plasticien originaire d’Iran et diplômé de l’école du Fresnoy, ne lâche pas d’un pouce son héros sous tension permanente et révèle dans sa foulée, et avec un tact saisissant, une kyrielle de personnages captivants.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Ce film noir révèle un cinéaste de talent.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Lelo Jimmy Batista
A la fois conte, thriller et tragédie, Chevalier noir fascine par sa fluidité et son sens du timing – des silences et hésitations minutieusement placés qui en disent plus que vingt lignes de dialogues, une capacité à surprendre quand tout semble terriblement évident – et un ultraréalisme proche du documentaire (caméra à l’épaule, vue subjective).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Ce film noir témoigne de certaines réalités douloureuses de l’Iran contemporain et révèle un metteur en scène qui maîtrise les codes du cinéma de genre. Une des plus belles découvertes de l’hiver.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télérama
par Frédéric Strauss
En Iran, les désillusions de deux frères inséparables. Entre polar et chronique familiale, une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Elie Raufaste
(Si) le fantastique revient par petites touches, c’est dans son réalisme que le film trouve un ton plus personnel, en racontant comment les deux frères, marqués par la disparition récente de leur mère et héritiers d’une parcelle de terre près de la ville, se retrouvent intimement « déplacés » par leurs relations avec d’anciens expatriés.
La Croix
par Céline Rouden
Grand prix du festival Premiers plans d’Angers, ce premier film d’un réalisateur iranien formé en France livre un portrait saisissant et très contemporain de la jeunesse de son pays, à travers le destin croisé de deux frères.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par É. S.
Ce premier film iranien n'a pas grand-chose à voir avec le Batman de Christopher Nolan. Il n'en dépeint pas moins une famille et un pays sous un jour très sombre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
L’ambition de Chevalier noir, entre lutte des classes, thriller contemporain et tragédie grecque, est à mettre au crédit de son auteur, et ce qu’il nous montre de l’Iran est, à maints égards, inédit.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Premier film prometteur, Chevalier noir se distingue grâce à son casting et à sa réalisation nerveuse, tout en restant inabouti et frustrant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
À la fois drame social sur fond de lutte de classes et sur les abus d’un capitalisme sauvage toujours en extension et tragédie moderne, Chevalier noir est conduit avec une efficacité et un professionnalisme imparable qui s’avère parfois trop prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Dans une atmosphère de film noir finement nappée de fantastique, Emad Aleebrahim Dehkordi raconte dans le même geste fluide et précis la spirale infernale conduisant ces deux frères au bord de l’abime que la réalité concrète de cette société iranienne où la violence arbitraire peut surgir à tout moment. Un cinéaste à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Avec Chevalier noir, le cinéma iranien fait la démonstration de sa très grande multiplicité et d’un souffle nouveau dans la production mondiale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
Des histoires d’amour aux relations conflictuelles qui le traversent, Chevalier noir fait preuve d’une remarquable sobriété.
Le Journal du Dimanche
La caméra alerte d’Emad Aleebrahim Dehkordi, plasticien originaire d’Iran et diplômé de l’école du Fresnoy, ne lâche pas d’un pouce son héros sous tension permanente et révèle dans sa foulée, et avec un tact saisissant, une kyrielle de personnages captivants.
Les Echos
Ce film noir révèle un cinéaste de talent.
Libération
A la fois conte, thriller et tragédie, Chevalier noir fascine par sa fluidité et son sens du timing – des silences et hésitations minutieusement placés qui en disent plus que vingt lignes de dialogues, une capacité à surprendre quand tout semble terriblement évident – et un ultraréalisme proche du documentaire (caméra à l’épaule, vue subjective).
Marianne
Ce film noir témoigne de certaines réalités douloureuses de l’Iran contemporain et révèle un metteur en scène qui maîtrise les codes du cinéma de genre. Une des plus belles découvertes de l’hiver.
Télérama
En Iran, les désillusions de deux frères inséparables. Entre polar et chronique familiale, une réussite.
Cahiers du Cinéma
(Si) le fantastique revient par petites touches, c’est dans son réalisme que le film trouve un ton plus personnel, en racontant comment les deux frères, marqués par la disparition récente de leur mère et héritiers d’une parcelle de terre près de la ville, se retrouvent intimement « déplacés » par leurs relations avec d’anciens expatriés.
La Croix
Grand prix du festival Premiers plans d’Angers, ce premier film d’un réalisateur iranien formé en France livre un portrait saisissant et très contemporain de la jeunesse de son pays, à travers le destin croisé de deux frères.
Le Figaro
Ce premier film iranien n'a pas grand-chose à voir avec le Batman de Christopher Nolan. Il n'en dépeint pas moins une famille et un pays sous un jour très sombre.
Le Monde
L’ambition de Chevalier noir, entre lutte des classes, thriller contemporain et tragédie grecque, est à mettre au crédit de son auteur, et ce qu’il nous montre de l’Iran est, à maints égards, inédit.
Les Fiches du Cinéma
Premier film prometteur, Chevalier noir se distingue grâce à son casting et à sa réalisation nerveuse, tout en restant inabouti et frustrant.
Les Inrockuptibles
À la fois drame social sur fond de lutte de classes et sur les abus d’un capitalisme sauvage toujours en extension et tragédie moderne, Chevalier noir est conduit avec une efficacité et un professionnalisme imparable qui s’avère parfois trop prévisible.
Première
Dans une atmosphère de film noir finement nappée de fantastique, Emad Aleebrahim Dehkordi raconte dans le même geste fluide et précis la spirale infernale conduisant ces deux frères au bord de l’abime que la réalité concrète de cette société iranienne où la violence arbitraire peut surgir à tout moment. Un cinéaste à suivre.
aVoir-aLire.com
Avec Chevalier noir, le cinéma iranien fait la démonstration de sa très grande multiplicité et d’un souffle nouveau dans la production mondiale.