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21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Joie, découragement mais aussi humour et tendresse emportent le cœur d’un spectateur qui se sent en empathie totale avec ces femmes et ces hommes généreux.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Benoit Basirico
Dans sa ville de Marseille meurtrie, Guédiguian tisse avec intelligence et sensibilité des histoires d'amour, de résilience et de politique, où engagement collectif et drame familial se mêlent à travers le parcours en miroir de deux femmes engagées.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Et la fête continue ! fait tenir ensemble le monde tel qui ne va pas, les mal-logés, les exilés, l’hôpital et l’école en crise, les guerres lointaines, les politiques défaillants. Tout en célébrant avec un optimisme haut et fort la solidarité, l’humanisme et l’amour. Une scène magnifique, en souvenir des morts de la rue d’Aubagne, invite à ne pas tourner le dos. Faisons face : car oui, le combat continue.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Film sur la transmission, "Et la fête continue !" concentre tout ce que le réalisateur marseillais défend depuis ses débuts : une certaine idée du cinéma, qui se confond chez lui avec la vie, avec la famille, avec l'engagement.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par S. G.
Le temps passe, les jeunes prennent le relais des vieux, Darroussin sourit. Que Guédiguian ne change surtout pas ! On a besoin de lui.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
À l’heure des bilans, le film est un concentré de tous les combats et toutes les obsessions du cinéaste : le communisme, l’Arménie, l’identité, la famille, la transmission, la solidarité. Et un manifeste sensible et émouvant contre toute forme de résignation.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le cœur conscient, c’est l’ardeur avec laquelle Robert Guédiguian éclaire l’émouvante solidarité des classes populaires, la force originelle du monde prolétarien et l’amour juste dans Et la fête continue !, appel à continuer le combat malgré la chute de toute illusion, le sentiment que l’histoire d’une certaine utopie communiste est finie.
Le Figaro
par Valérie Beck
Avec ce nouveau long-métrage, Robert Guédiguian signe une œuvre chorale attachante et mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Sans dépouiller son film des engagements politico-sociaux qui sont les siens, le cinéaste le pare des atours du conte avec sa lumière chaleureuse et ses pas de côté. S’en dégagent une douceur enveloppante et même une certaine candeur qui, dans le cynisme ambiant, fait du bien.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Plus chargé que d’ordinaire en émotions familiales ou amoureuses – un peu trop par moments – dans sa première partie, le film se conclut sur une belle dimension sociale caractéristique de l’œuvre du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le cinéaste de « Marius et Jeannette » pose une nouvelle fois sa caméra à Marseille. Moins sombre que dans ses films récents, il met en scène les combats et les espoirs de personnages émouvants qui n'abdiquent pas face à la violence du monde.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Peut-on encore produire un acte politique utile aujourd’hui ? Avec sincérité et élégance, Guédiguian accompagne son héroïne dans ce questionnement, en mettant dans deux colonnes tout ce qui plaide pour l’espoir et tout ce qui incite à la renonciation.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Dans ce film net, moral et solaire, Guédiguian navigue entre des intrigues amoureuses et familiales tramées de lutte sociale et des faits d’histoire récente qu’il s’attache moins à reconstituer avec fidélité qu’à dépeindre avec une noblesse de grand récit.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Entouré de sa famille d’acteurs (Ariane Ascaride, Gérard Meylan…), Guédiguian croit de nouveau à la lumière au bout du chemin et célèbre cette jeune génération qui reprend le combat, avec la même énergie et la même utopie que les anciens dont il fait partie. On en ressort gonflé à bloc et quelques larmes au coin des yeux.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Guédiguian prend quelques distances avec son engagement politique pour nous conduire vers des chemins de traverse pleins d’optimisme réconfortant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Il ne fait pas de ces éléments réels les sujets d’un film-dossier, mais les constitue plutôt en fond politico-social d’un film hanté par une question plus vaste [...] : comment faire en sorte que les fins puissent aussi être des recommencements, ou les morts des naissances ?
Le Monde
par Ma. Mt.
Ce papillonnement narratif donnerait presque à l’ensemble des airs de sitcom marseillaise. Et la fête continue ! n’en est pas encore là et compte de beaux moments de grâce. Toutefois, la chronique s’accommode mal du didactisme revendiqué du réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Marianne
par Olivier De Bruyn
Cette fiction aussi sincère que bancale confirme néanmoins, s’il en était besoin, combien Robert Guédiguian, avec son microcosme marseillais, reste un observateur précieux de notre époque et de ses (dés)illusions.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télérama
par Louis Guichard
De retour à Marseille, la petite troupe séduit encore, avec de la politique, des colères et de l’amour.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Didier Péron
Le problème du film, c’est la réduction de tous les enjeux qui concernent la deuxième plus grande ville de France à la peau de chagrin d’une telenovela étrangement déphasée, tant le cinéaste se contente de vues pittoresques sur la ville et se tient éloigné de toute complexité sociale ou politique au profit d’une sorte de conte réconfortant pour spectateurs en hypoglycémie de valeurs humanistes avec l’accent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par Sébastien Ors
De l'insalubrité criminelle des logements à l'utopie d'une gauche unie, de l'état de l'hôpital public au génocide arménien, le réalisateur de "Marius et Jeannette" embrasse tous les combats. Mais qui trop embrasse mal étreint.
20 Minutes
Joie, découragement mais aussi humour et tendresse emportent le cœur d’un spectateur qui se sent en empathie totale avec ces femmes et ces hommes généreux.
Bande à part
Dans sa ville de Marseille meurtrie, Guédiguian tisse avec intelligence et sensibilité des histoires d'amour, de résilience et de politique, où engagement collectif et drame familial se mêlent à travers le parcours en miroir de deux femmes engagées.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Et la fête continue ! fait tenir ensemble le monde tel qui ne va pas, les mal-logés, les exilés, l’hôpital et l’école en crise, les guerres lointaines, les politiques défaillants. Tout en célébrant avec un optimisme haut et fort la solidarité, l’humanisme et l’amour. Une scène magnifique, en souvenir des morts de la rue d’Aubagne, invite à ne pas tourner le dos. Faisons face : car oui, le combat continue.
Franceinfo Culture
Film sur la transmission, "Et la fête continue !" concentre tout ce que le réalisateur marseillais défend depuis ses débuts : une certaine idée du cinéma, qui se confond chez lui avec la vie, avec la famille, avec l'engagement.
L'Obs
Le temps passe, les jeunes prennent le relais des vieux, Darroussin sourit. Que Guédiguian ne change surtout pas ! On a besoin de lui.
La Croix
À l’heure des bilans, le film est un concentré de tous les combats et toutes les obsessions du cinéaste : le communisme, l’Arménie, l’identité, la famille, la transmission, la solidarité. Et un manifeste sensible et émouvant contre toute forme de résignation.
Le Dauphiné Libéré
Le cœur conscient, c’est l’ardeur avec laquelle Robert Guédiguian éclaire l’émouvante solidarité des classes populaires, la force originelle du monde prolétarien et l’amour juste dans Et la fête continue !, appel à continuer le combat malgré la chute de toute illusion, le sentiment que l’histoire d’une certaine utopie communiste est finie.
Le Figaro
Avec ce nouveau long-métrage, Robert Guédiguian signe une œuvre chorale attachante et mélancolique.
Le Journal du Dimanche
Sans dépouiller son film des engagements politico-sociaux qui sont les siens, le cinéaste le pare des atours du conte avec sa lumière chaleureuse et ses pas de côté. S’en dégagent une douceur enveloppante et même une certaine candeur qui, dans le cynisme ambiant, fait du bien.
Le Parisien
Plus chargé que d’ordinaire en émotions familiales ou amoureuses – un peu trop par moments – dans sa première partie, le film se conclut sur une belle dimension sociale caractéristique de l’œuvre du cinéaste.
Les Echos
Le cinéaste de « Marius et Jeannette » pose une nouvelle fois sa caméra à Marseille. Moins sombre que dans ses films récents, il met en scène les combats et les espoirs de personnages émouvants qui n'abdiquent pas face à la violence du monde.
Les Fiches du Cinéma
Peut-on encore produire un acte politique utile aujourd’hui ? Avec sincérité et élégance, Guédiguian accompagne son héroïne dans ce questionnement, en mettant dans deux colonnes tout ce qui plaide pour l’espoir et tout ce qui incite à la renonciation.
Les Inrockuptibles
Dans ce film net, moral et solaire, Guédiguian navigue entre des intrigues amoureuses et familiales tramées de lutte sociale et des faits d’histoire récente qu’il s’attache moins à reconstituer avec fidélité qu’à dépeindre avec une noblesse de grand récit.
Première
Entouré de sa famille d’acteurs (Ariane Ascaride, Gérard Meylan…), Guédiguian croit de nouveau à la lumière au bout du chemin et célèbre cette jeune génération qui reprend le combat, avec la même énergie et la même utopie que les anciens dont il fait partie. On en ressort gonflé à bloc et quelques larmes au coin des yeux.
aVoir-aLire.com
Guédiguian prend quelques distances avec son engagement politique pour nous conduire vers des chemins de traverse pleins d’optimisme réconfortant.
Cahiers du Cinéma
Il ne fait pas de ces éléments réels les sujets d’un film-dossier, mais les constitue plutôt en fond politico-social d’un film hanté par une question plus vaste [...] : comment faire en sorte que les fins puissent aussi être des recommencements, ou les morts des naissances ?
Le Monde
Ce papillonnement narratif donnerait presque à l’ensemble des airs de sitcom marseillaise. Et la fête continue ! n’en est pas encore là et compte de beaux moments de grâce. Toutefois, la chronique s’accommode mal du didactisme revendiqué du réalisateur.
Marianne
Cette fiction aussi sincère que bancale confirme néanmoins, s’il en était besoin, combien Robert Guédiguian, avec son microcosme marseillais, reste un observateur précieux de notre époque et de ses (dés)illusions.
Télérama
De retour à Marseille, la petite troupe séduit encore, avec de la politique, des colères et de l’amour.
Libération
Le problème du film, c’est la réduction de tous les enjeux qui concernent la deuxième plus grande ville de France à la peau de chagrin d’une telenovela étrangement déphasée, tant le cinéaste se contente de vues pittoresques sur la ville et se tient éloigné de toute complexité sociale ou politique au profit d’une sorte de conte réconfortant pour spectateurs en hypoglycémie de valeurs humanistes avec l’accent.
Télé Loisirs
De l'insalubrité criminelle des logements à l'utopie d'une gauche unie, de l'état de l'hôpital public au génocide arménien, le réalisateur de "Marius et Jeannette" embrasse tous les combats. Mais qui trop embrasse mal étreint.