AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,4
29 titres de presse
-
Public
-
CNews
-
Cahiers du Cinéma
-
CinemaTeaser
-
Closer
-
Culturopoing.com
-
Elle
-
Femme Actuelle
-
Franceinfo Culture
-
La Croix
-
Le Journal du Dimanche
-
Le Parisien
-
Les Echos
-
Les Fiches du Cinéma
-
Télé 7 Jours
-
Télérama
-
Voici
-
Dernières Nouvelles d'Alsace
-
Ecran Large
-
Filmsactu
-
L'Obs
-
Le Dauphiné Libéré
-
Le Figaro
-
Télé Loisirs
-
aVoir-aLire.com
-
Le Monde
-
Les Inrockuptibles
-
Libération
-
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Public
To the Moon mêle habilement amour et humour sur fond de conquête spatiale. Tout simplement extra !
CNews
Le mélange entre le réalisme des décors avec le glamour des acteurs et l'humour des situations - ne pas s'attendre à une investigation sérieuse sur le faux alunissage - le tout bercé par une bande originale sixties pleine de soleil pour les coeurs font de «To the Moon» un parfait divertissement estival.
Cahiers du Cinéma
Si Cole et Kelly sont des stéréotypes (Tatum et Johansson jouant à nouveau volontiers avec leur image), et si les hangars de la Nasa font penser à ceux de Hollywood, le film défend sans cynisme l’idéal d’une image authentique au moment où l’intelligence artificielle génère tout et n’importe quoi.
CinemaTeaser
Un duo de choc pour un film ultra chic.
Closer
Cette romance à l'ère de la conquête spatiale mêle habilement archives d'époque inédites, décors grandioses, ressorts intimes et enjeux politiques.
Culturopoing.com
To the Moon, grosse banane politicosexy, à la reconstitution suffisamment réaliste pour être crédible et proprette, juste ce qu'il faut pour être un divertissement ultrabright — où d'ailleurs tout le monde est un peu surmaquillé —, coche toutes les cases attendues patriarcat relou, l'honnête société civile palliant les failles du gouvernement, victoire des cœurs brisés.
Elle
Un scénario bien tordu, mais tellement ingénieux !
Femme Actuelle
Un bonbon de qualité.
Franceinfo Culture
Portrait grinçant de l'Amérique, chronique de la naissance d'une société de l'image, To The Moon est aussi une satire du cinéma américain comme vecteur de propagande officielle.
La Croix
Avec humour, ce film se sert habilement de la théorie du complot sur la simulation de l’alunissage en juillet 1969 pour réinventer les coulisses de l’événement.
Le Journal du Dimanche
En dépit d'une exposition un peu longue, on est emballés par ce film à la mise en scène dynamique, qui repose sur son scénario passionnant et l'interprétation de Scarlett Johansson, épatante.
Le Parisien
Le film, vraiment drôle, bourré de charme, insiste sur la contradiction entre les épouvantables relations professionnelles liant Kelly et Cole — tous deux formidablement campés par Scarlett Johansson et Channing Tatum — et leur histoire d’amour naissante.
Les Echos
Comment la Lune est devenue sexy. Comédie romantique sixties au look de milk-shakes, « To The Moon » est un petit divertissement agréable et malin servi par le charme de ses deux comédiens.
Les Fiches du Cinéma
Cette comédie romantique réussit le pari de nous faire revivre le vol Apollo 11 en y ajoutant une bonne dose d’humour et de fantaisie sans dénaturer l’émotion bien réelle de l’événement.
Télé 7 Jours
De la romance, du style, une bonne rasade d'humour, un zeste de guerre froide et de réflexion : le cocktail tonique et rafraîchissant de l'été.
Télérama
Une comédie aussi astucieuse que romantique.
Voici
To the Moon redonne du peps à la comédie romantique.
Dernières Nouvelles d'Alsace
To the Moon utilise la course vers la lune pour faire conter fleurette à Scarlett Johansson et Channing Tatum dans une comédie romantique classique mais efficace.
Ecran Large
Malgré une écriture en dents de scie, To the Moon convainc par ses acteurs et sa dimension de comédie américaine old-school, tout en convoquant une modernité politique sur notre ère de la post-vérité et l’héritage de la conquête spatiale.
Filmsactu
To the Moon est une comédie agréable, menée par l’impeccable duo glamour que forment Scarlett Johansson et Channing Tatum. Toutefois, il est clair que nous n’avons pas affaire à un grand film : c’est une rom-com classique, dont la principale originalité réside dans sa toile de fond et son contexte historique.
L'Obs
Scarlett Johansson en femme affranchie est délicieusement primesautière. Face à elle, le flegme naturel et loufoque de Channing Tatum fait des étincelles.
Le Dauphiné Libéré
Le réalisateur Greg Berlanti offre avec To the Moon une comédie romantique qui ne révolutionne en rien les canons du film romantique. Mais cette absence de surprises n’empêche pas sa qualité.
Le Figaro
Kelly Jones est jouée par Scarlett Johansson avec une fantaisie sexy et irrésistible. Face à elle, Channing Tatum est parfait en Cole Davis, directeur de lancement psychorigide, ex-pilote de l'armée de l'air, vétéran de la guerre de Corée encore traumatisé par la mort des astronautes d'Apollo 9, brûlés vifs lors d'un exercice au sol.
Télé Loisirs
Cette romance plaisante joue avec l'histoire et le premier alunissage de façon originale sur le ton de la comédie.
aVoir-aLire.com
Une comédie subtile, techniquement soignée, avec une Scarlett Johansson impériale et des ruptures de ton appréciables.
Le Monde
Bien qu’amusé, le spectateur ne sait plus très bien ce qu’il est venu regarder, To the Moon n’étant jamais assez clair sur ce qui relève du fait réel ou de la pure fantaisie.
Les Inrockuptibles
Tout ou presque est faux, ce qui crée tout de même un drôle de sentiment de mascarade à cette rom-com dont l’ancrage historique imposait une certaine attente de véracité, même très romancée, et qui semble donc totalement caduque dès lors qu’on la sait montée de toutes pièces.
Libération
Greg Berlanti réalise un navet insipide sur les premiers pas de l’équipe d’Apollo 11, échouant sur tous les plans.
Première
C’est beaucoup pour un seul film, qui paraît du coup plein à craquer, déborde de partout (2h11 au compteur !), et ne fonctionne en réalité sous aucun angle, ni la romance (laborieuse, Tatum paraissant étrangement désynchronisé avec sa partenaire), ni l’épopée spatiale (déjà vue cent fois), et encore moins la fable loufoque.