Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Libération
par Olivier Lamm
Succomber à la fantasmagorie de ce beau film provoque non seulement une jouissance, mais une délivrance – ce bonheur de plus en plus rare qu’on trouve à rêver et flipper devant un film, différemment.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Au lieu de s’engouffrer dans un formalisme croyant davantage à lui-même qu’aux esprits, Enys Men refuse l’élévation pour amorcer d’emblée une descente vers le ras des pâquerettes. Compteur, téléphone, émetteur radio, carnet où la chercheuse note ses observations : tout ce qui se trouve posé sous ses yeux ou placardé à la hauteur de son visage compose un inventaire à la Prévert qui gouverne ce ballet de gestes simples et muets.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Brillant.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Avec son premier film, Mark Jenkin s’annonce d’emblée comme un cinéaste très prometteur du cinéma britannique contemporain, et attise la curiosité quant à la suite alléchante de sa filmographie.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une pépite discrète du fantastique minimaliste made in Britain.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Cl. F.
Un corps flottant sous le ciré jaune, une plaque de bateau échouée dans les rochers que l’héroïne récupère pour en faire sa déco. Bienvenue dans le joli cottage où viennent chanter, sous les fenêtres, sept jeunes silhouettes habillées de blanc. Comme des fleurs ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par G.E.
Voilà un sacré film, qui réussit le tour de force d'être ultra-radical et expérimental sans receler le moindre atome d'ennui.
Positif
par Nicolas Geneix
Ce second long métrage plus atmosphérique que narratif renoue avec un savoir-filmer tout droit venu des années 1970.
Voici
par La Rédaction
Une belle curiosité.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Quand l’abstraction, la répétition quasi obsessionnelle et la résurgence du passé se mêlent, cela donne ce drôle d’objet cinématographique, autant fascinant que terrifiant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Première
par Nicolas Moreno
Si les films de folk horror se reposent parfois uniquement sur une culture et des pratiques inconnues du personnage principal pour faire surgir le réel, Enys Men se distingue radicalement par son recours quasi exclusif à la nature, libérée de toute communauté.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Un voyage horrifique au climat captivant, par le réalisateur britannique Mark Jenkin.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Caroline Alonso
Loin d'insuffler au film une fièvre, la répétition de ces effets dissonants a plutôt tendance à neutraliser et à aseptiser les distorsions du montage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Avec ce récit d’une botaniste qui fait l’expérience du bourdonnement du monde sur une île, M. Jenkin aurait pu faire d’un lieu désolé une assemblée plénière, un petit monde fait de rien. Las, il préfère la main lourde de l’inversion temporelle horrifique.
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Visuellement hypnotique pour brouiller notre perception, le récit sibyllin et contemplatif suscite rapidement la lassitude, à mesure que l’héroïne en deuil en proie à des hallucinations sombre dans la folie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
Succomber à la fantasmagorie de ce beau film provoque non seulement une jouissance, mais une délivrance – ce bonheur de plus en plus rare qu’on trouve à rêver et flipper devant un film, différemment.
Cahiers du Cinéma
Au lieu de s’engouffrer dans un formalisme croyant davantage à lui-même qu’aux esprits, Enys Men refuse l’élévation pour amorcer d’emblée une descente vers le ras des pâquerettes. Compteur, téléphone, émetteur radio, carnet où la chercheuse note ses observations : tout ce qui se trouve posé sous ses yeux ou placardé à la hauteur de son visage compose un inventaire à la Prévert qui gouverne ce ballet de gestes simples et muets.
CinemaTeaser
Brillant.
Culturopoing.com
Avec son premier film, Mark Jenkin s’annonce d’emblée comme un cinéaste très prometteur du cinéma britannique contemporain, et attise la curiosité quant à la suite alléchante de sa filmographie.
L'Humanité
Une pépite discrète du fantastique minimaliste made in Britain.
Le Monde
Un corps flottant sous le ciré jaune, une plaque de bateau échouée dans les rochers que l’héroïne récupère pour en faire sa déco. Bienvenue dans le joli cottage où viennent chanter, sous les fenêtres, sept jeunes silhouettes habillées de blanc. Comme des fleurs ?
Mad Movies
Voilà un sacré film, qui réussit le tour de force d'être ultra-radical et expérimental sans receler le moindre atome d'ennui.
Positif
Ce second long métrage plus atmosphérique que narratif renoue avec un savoir-filmer tout droit venu des années 1970.
Voici
Une belle curiosité.
aVoir-aLire.com
Quand l’abstraction, la répétition quasi obsessionnelle et la résurgence du passé se mêlent, cela donne ce drôle d’objet cinématographique, autant fascinant que terrifiant.
Première
Si les films de folk horror se reposent parfois uniquement sur une culture et des pratiques inconnues du personnage principal pour faire surgir le réel, Enys Men se distingue radicalement par son recours quasi exclusif à la nature, libérée de toute communauté.
Télérama
Un voyage horrifique au climat captivant, par le réalisateur britannique Mark Jenkin.
Critikat.com
Loin d'insuffler au film une fièvre, la répétition de ces effets dissonants a plutôt tendance à neutraliser et à aseptiser les distorsions du montage.
Les Fiches du Cinéma
Avec ce récit d’une botaniste qui fait l’expérience du bourdonnement du monde sur une île, M. Jenkin aurait pu faire d’un lieu désolé une assemblée plénière, un petit monde fait de rien. Las, il préfère la main lourde de l’inversion temporelle horrifique.
Le Journal du Dimanche
Visuellement hypnotique pour brouiller notre perception, le récit sibyllin et contemplatif suscite rapidement la lassitude, à mesure que l’héroïne en deuil en proie à des hallucinations sombre dans la folie.