Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Il ne faut surtout pas manquer "Nuages épars".
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Naruse donne dans "Nuages flottants" le meilleur de lui-même. Et l'on reconnaît sans difficulté, en Nuages épars, son style, sa vision du monde et celle, critique, de la société et de la mentalité japonaises.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Nathalie Dray
Cette tenion affectant le détachement trouve un écho dans la merveilleuse direction d'acteurs, et une mise en scène limpide fondée sur la retenue et l'art dedéplacer l'attention dans une symbolique des éléments - l'eau en particulier, pluie battante, orage, lac, etc. C'est là toute la beauté frémissante de son style.
Le Figaro
par Nathalie Simon
"Nuages épars" témoigne du génie de Mikio Naruse.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Un grand film d’amour et de douleur, de déchirement et de désir, où les passions se déversent en courants torrentiels sous la sérénité imperturbable de la mise en scène.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Une plongée sublime et vertigineuse dans les profondeurs cruelles de l'âme humaine.
aVoir-aLire.com
par Daniel Burg
Le quatre-vingt-neuvième et dernier film de Mikio Naruse illustre à merveille son extraordinaire et subtile mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par La Rédaction
S’il cède parfois à certaines facilités (des flashbacks inutiles comme autant de souvenirs ressassés, des paroles répétées en off pour souligner l’emprise du passé), Naruse parvient souvent à l’épure quand il se concentre sur les regards, les postures et les gestes avortés, dans cette économie de style qui a fait sa renommée : légèreté des mouvements d’appareil, précision du cadre, maîtrise du hors-champ.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Souvent considéré commel’héritier d’Ozu, Naruse était un réalisateur froid, ne donnant jamais une instruction aux acteurs, ne manifestant jamais sa satisfaction ou son mécontentement. D’où des films vaguement impassibles, dans lesquels il faut se laisser aller. A cette condition, c’est sublime. Sinon, c’est totalement insupportable.
Cahiers du Cinéma
Il ne faut surtout pas manquer "Nuages épars".
Culturopoing.com
Naruse donne dans "Nuages flottants" le meilleur de lui-même. Et l'on reconnaît sans difficulté, en Nuages épars, son style, sa vision du monde et celle, critique, de la société et de la mentalité japonaises.
L'Humanité
Cette tenion affectant le détachement trouve un écho dans la merveilleuse direction d'acteurs, et une mise en scène limpide fondée sur la retenue et l'art dedéplacer l'attention dans une symbolique des éléments - l'eau en particulier, pluie battante, orage, lac, etc. C'est là toute la beauté frémissante de son style.
Le Figaro
"Nuages épars" témoigne du génie de Mikio Naruse.
Le Monde
Un grand film d’amour et de douleur, de déchirement et de désir, où les passions se déversent en courants torrentiels sous la sérénité imperturbable de la mise en scène.
Les Inrockuptibles
Une plongée sublime et vertigineuse dans les profondeurs cruelles de l'âme humaine.
aVoir-aLire.com
Le quatre-vingt-neuvième et dernier film de Mikio Naruse illustre à merveille son extraordinaire et subtile mise en scène.
Critikat.com
S’il cède parfois à certaines facilités (des flashbacks inutiles comme autant de souvenirs ressassés, des paroles répétées en off pour souligner l’emprise du passé), Naruse parvient souvent à l’épure quand il se concentre sur les regards, les postures et les gestes avortés, dans cette économie de style qui a fait sa renommée : légèreté des mouvements d’appareil, précision du cadre, maîtrise du hors-champ.
L'Obs
Souvent considéré commel’héritier d’Ozu, Naruse était un réalisateur froid, ne donnant jamais une instruction aux acteurs, ne manifestant jamais sa satisfaction ou son mécontentement. D’où des films vaguement impassibles, dans lesquels il faut se laisser aller. A cette condition, c’est sublime. Sinon, c’est totalement insupportable.
Studio Ciné Live
Larmes éparses à prévoir.