Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jérémie Oro
Le délitement du récit fabuleux et le glissement de sa matière vers le féminin sont ce qui passionne en premier lieu dans Augure, œuvre foisonnante, insaisissable, sur le mystique comme mode de vie et de contrôle – du corps des femmes notamment.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un film d'une beauté absolue.
Bande à part
par Isabelle Danel
La force visuelle de ce premier film et les sensations prodiguées font d'Augure une expérience inédite. Unique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Julien Bouisset
Présenté à Cannes dans la sélection Un certain regard, ce premier long-métrage a remporté le prix mérité de la Nouvelle Voix. Et pour cela, il n’a eu besoin d’aucun sortilège.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Une plongée hallucinatoire, politique autant que furieusement féministe dans les contradictions culturelles et la beauté rageuse d’un pays si proche et cependant si loin de son auteur.
Le Figaro
par B.P.
Un premier long-métrage inégal mais prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
La famille, l'obscurantisme, la violence, les inégalités sociales : ces sujets sont abordés avec une approche baroque et lyrique qui fait la singularité de ce récit féministe assénant une claque esthétique.
Le Monde
par V. Cau.
Baroque et bouillonnant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Tout ça intrigue, réjouit, transporte – agace aussi, quand certaines séquences prennent les airs de clips aux compositions millimétrées. Mais "Augure" [...] finit toujours par l’emporter – à l’énergie, au rythme insensé auquel s’enchaînent les idées et à cette manière, aussi de lâcher progressivement la bride à son récit et de lui donner, très vite, la forme qui lui sied le mieux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Julien Rousset
Un film libre, singulier, qui bouscule sans cesse notre regard et notre perspective sur le monde.
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Vu l’évident rapport autobiographique entre le cinéaste et Koffi, émane de cette surcharge le même sentiment que dans certains albums musicaux : une urgence intime poussant à faire plusieurs gestes en un seul.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un premier film qui ne manque pas d’assure, notamment esthétique.
Franceinfo Culture
par Mohamed Berkani
Un film choral surréaliste et poétique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Parisien
par La Rédaction
Quête initiatique signée du rappeur et vidéaste belge d’origine congolaise Baloji, « Augure » constitue un pur bijou sur la forme (...). Sur le fond, en revanche, on a parfois du mal à suivre cette complexe histoire de sorcellerie qui nous perd en route par ses aspects mystiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Parfois confus et démonstratif, "Augure" repose sur ses scènes oniriques et sur la présence de ses personnages féminins.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Yohan Haddad
Mais plutôt que d’exploiter une fibre sociale, Baloji installe un climat délicieusement fantastique, nourrissant son cadre d’images abstraites et de figures traditionnels baroques, rites vétustes et masques traditionnels à l’appui.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
De ce kaléidoscope qui fascine et désoriente, surgit un fabuleux conte sur l’enfance, comme un rêve agité frôlant le cauchemar pour mieux montrer la voie d’un équilibre possible entre part blanche et part noire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Le film n’est pas inintéressant car il apporte la lumière neuve d’un cinéma africain. Pour autant, le réalisateur aura voulu en dire trop, négligeant ainsi les thèmes qu’il déroule.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
Le délitement du récit fabuleux et le glissement de sa matière vers le féminin sont ce qui passionne en premier lieu dans Augure, œuvre foisonnante, insaisissable, sur le mystique comme mode de vie et de contrôle – du corps des femmes notamment.
Ouest France
Un film d'une beauté absolue.
Bande à part
La force visuelle de ce premier film et les sensations prodiguées font d'Augure une expérience inédite. Unique.
L'Obs
Présenté à Cannes dans la sélection Un certain regard, ce premier long-métrage a remporté le prix mérité de la Nouvelle Voix. Et pour cela, il n’a eu besoin d’aucun sortilège.
La Septième Obsession
Une plongée hallucinatoire, politique autant que furieusement féministe dans les contradictions culturelles et la beauté rageuse d’un pays si proche et cependant si loin de son auteur.
Le Figaro
Un premier long-métrage inégal mais prometteur.
Le Journal du Dimanche
La famille, l'obscurantisme, la violence, les inégalités sociales : ces sujets sont abordés avec une approche baroque et lyrique qui fait la singularité de ce récit féministe assénant une claque esthétique.
Le Monde
Baroque et bouillonnant.
Libération
Tout ça intrigue, réjouit, transporte – agace aussi, quand certaines séquences prennent les airs de clips aux compositions millimétrées. Mais "Augure" [...] finit toujours par l’emporter – à l’énergie, au rythme insensé auquel s’enchaînent les idées et à cette manière, aussi de lâcher progressivement la bride à son récit et de lui donner, très vite, la forme qui lui sied le mieux.
Sud Ouest
Un film libre, singulier, qui bouscule sans cesse notre regard et notre perspective sur le monde.
Cahiers du Cinéma
Vu l’évident rapport autobiographique entre le cinéaste et Koffi, émane de cette surcharge le même sentiment que dans certains albums musicaux : une urgence intime poussant à faire plusieurs gestes en un seul.
CinemaTeaser
Un premier film qui ne manque pas d’assure, notamment esthétique.
Franceinfo Culture
Un film choral surréaliste et poétique.
Le Parisien
Quête initiatique signée du rappeur et vidéaste belge d’origine congolaise Baloji, « Augure » constitue un pur bijou sur la forme (...). Sur le fond, en revanche, on a parfois du mal à suivre cette complexe histoire de sorcellerie qui nous perd en route par ses aspects mystiques.
Les Fiches du Cinéma
Parfois confus et démonstratif, "Augure" repose sur ses scènes oniriques et sur la présence de ses personnages féminins.
Première
Mais plutôt que d’exploiter une fibre sociale, Baloji installe un climat délicieusement fantastique, nourrissant son cadre d’images abstraites et de figures traditionnels baroques, rites vétustes et masques traditionnels à l’appui.
Télérama
De ce kaléidoscope qui fascine et désoriente, surgit un fabuleux conte sur l’enfance, comme un rêve agité frôlant le cauchemar pour mieux montrer la voie d’un équilibre possible entre part blanche et part noire.
aVoir-aLire.com
Le film n’est pas inintéressant car il apporte la lumière neuve d’un cinéma africain. Pour autant, le réalisateur aura voulu en dire trop, négligeant ainsi les thèmes qu’il déroule.