Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Libération
par Luc Chessel
Une admirable étude de personnages, admirablement interprétés par l’actrice et l’acteur qui les jouent, par l’écriture, par la caméra, par toutes les nuances de proximité et de distance qu’on arrive à établir avec eux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Valentina Maurel (…) s’avance dans le terrain éprouvé du tableau de famille à l’heure de la rupture parentale, du choix par les enfants d’un parti excluant l’autre et de leur propre basculement dans le camp adulte. Le portrait d’Eva, 15 ans, fait pourtant exception.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Pour son premier long-métrage, Valentina Maurel ausculte cette filiation avec une crudité et une lucidité impressionnantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Dominique Martinez
À la fois délicate, brutale et subtilement confuse, cette naissance d'une jeune fille est traversée par autant de lucidité que de poésie.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Beau sujet traité ici avec un mélange de fougue et de délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
La réalisatrice manie habilement l’ambiguïté, comme elle saisit avec acuité les émotions et sentiments bouillonnants qui les traversent.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Valentina Maurel décrit l’ambivalence d’une relation père/fille, louvoyant avec talent entre amour et brutalité, mais le point de vue manque parfois de clarté.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Ce premier long traduit avec une grande finesse toute l’ambivalence de la puberté, ces moments où plus que jamais les certitudes volent en éclat et permettent d’ouvrir une page blanche aussi excitante que flippante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
[Une] œuvre fragile, qu’une énergie vitale et un enthousiasme indéniables menacent sans cesse de leurs excès.
Le Monde
par Mathieu Macheret
La rugosité visée et une certaine propension à la nuance (le père affectionné et pourtant indéfendable), sont louables, mais n’empêchent pas pour autant la mise en scène de retomber dans les habitudes du genre, entre caméra à fleur de peau, montage à l’émincé et spontanéisme des interprètes. On n’évite pas le déjà-vu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Nicolas Didier
La réalisatrice parvient à prendre de la distance grâce à un humour délibérément grossier et à la poésie amateur que le paternel récite en soirée avec des amis — le titre signifie, littéralement, « j’ai des rêves électriques ». Subsiste, malgré tout, une fâcheuse tendance au pathos (les accidents urinaires de la petite sœur), jamais vraiment désamorcée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
Une admirable étude de personnages, admirablement interprétés par l’actrice et l’acteur qui les jouent, par l’écriture, par la caméra, par toutes les nuances de proximité et de distance qu’on arrive à établir avec eux.
Cahiers du Cinéma
Valentina Maurel (…) s’avance dans le terrain éprouvé du tableau de famille à l’heure de la rupture parentale, du choix par les enfants d’un parti excluant l’autre et de leur propre basculement dans le camp adulte. Le portrait d’Eva, 15 ans, fait pourtant exception.
Le Figaro
Pour son premier long-métrage, Valentina Maurel ausculte cette filiation avec une crudité et une lucidité impressionnantes.
Positif
À la fois délicate, brutale et subtilement confuse, cette naissance d'une jeune fille est traversée par autant de lucidité que de poésie.
L'Obs
Beau sujet traité ici avec un mélange de fougue et de délicatesse.
Le Journal du Dimanche
La réalisatrice manie habilement l’ambiguïté, comme elle saisit avec acuité les émotions et sentiments bouillonnants qui les traversent.
Les Fiches du Cinéma
Valentina Maurel décrit l’ambivalence d’une relation père/fille, louvoyant avec talent entre amour et brutalité, mais le point de vue manque parfois de clarté.
Première
Ce premier long traduit avec une grande finesse toute l’ambivalence de la puberté, ces moments où plus que jamais les certitudes volent en éclat et permettent d’ouvrir une page blanche aussi excitante que flippante.
Transfuge
[Une] œuvre fragile, qu’une énergie vitale et un enthousiasme indéniables menacent sans cesse de leurs excès.
Le Monde
La rugosité visée et une certaine propension à la nuance (le père affectionné et pourtant indéfendable), sont louables, mais n’empêchent pas pour autant la mise en scène de retomber dans les habitudes du genre, entre caméra à fleur de peau, montage à l’émincé et spontanéisme des interprètes. On n’évite pas le déjà-vu.
Télérama
La réalisatrice parvient à prendre de la distance grâce à un humour délibérément grossier et à la poésie amateur que le paternel récite en soirée avec des amis — le titre signifie, littéralement, « j’ai des rêves électriques ». Subsiste, malgré tout, une fâcheuse tendance au pathos (les accidents urinaires de la petite sœur), jamais vraiment désamorcée.