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En dépit de ses incertaines réminiscences à "Bonnie and Clyde" (Arthur Penn, 1967) et "Cléo de 5 à 7" (Agnès Varda, 1962), le film se révèle une pure surface, confine au long clip esthétisant, tient, sur le plan de l’écriture comme de la mise en scène, à peine debout.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les taux de mièvrerie et de puérilité dépassent la norme bessonienne habituelle. Le tout est filmé comme une publicité pour céréales, c’est tout juste si on n’entend pas les corn flakes tomber dans le bol.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télé 7 Jours
Leur cavale, bien que parfois irritante à force de naïveté, séduit et émeut, par sa vitalité et son optimisme.
Le Point
[Un] "Bonnie & Clyde" hystérique, cheap et kitsch.
Le Monde
En dépit de ses incertaines réminiscences à "Bonnie and Clyde" (Arthur Penn, 1967) et "Cléo de 5 à 7" (Agnès Varda, 1962), le film se révèle une pure surface, confine au long clip esthétisant, tient, sur le plan de l’écriture comme de la mise en scène, à peine debout.
Télérama
Les taux de mièvrerie et de puérilité dépassent la norme bessonienne habituelle. Le tout est filmé comme une publicité pour céréales, c’est tout juste si on n’entend pas les corn flakes tomber dans le bol.