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Votre avis sur Premières Urgences ?
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Film très simple, sans artifice ni effet de style ou astuce scénaristique !
La vraie star ce ne sont pas nos 5 ou 6 internes (on ne sait déjà plus combien ils sont!)..;
Non ! la vraie star ici ce sont les coursives défraichies de cet hôpital, garnies de malades en tout genre et notamment toxes, schizophrènes et victimes d'arme à feu... le tout sous l'autorité d'un patron bougon (mais sûrement au grand coeur:)) proche du burn out!
On n'apprend pas grand chose sur nos internes dont l'évolution psychologique au fil des mois n'est même pas évoquée. Tout au plus nous livrent-ils quelques lieux communs à la cafet entre deux frites...
Le propos finalement se borne à l'essentiel : l'hôpital est pauvre et moche mais plein de bonne volonté... en cas de plomb dans la jambe, et si vous y arrivez, courez jusqu'à une clinique privée!
La vraie star ce ne sont pas nos 5 ou 6 internes (on ne sait déjà plus combien ils sont!)..;
Non ! la vraie star ici ce sont les coursives défraichies de cet hôpital, garnies de malades en tout genre et notamment toxes, schizophrènes et victimes d'arme à feu... le tout sous l'autorité d'un patron bougon (mais sûrement au grand coeur:)) proche du burn out!
On n'apprend pas grand chose sur nos internes dont l'évolution psychologique au fil des mois n'est même pas évoquée. Tout au plus nous livrent-ils quelques lieux communs à la cafet entre deux frites...
Le propos finalement se borne à l'essentiel : l'hôpital est pauvre et moche mais plein de bonne volonté... en cas de plomb dans la jambe, et si vous y arrivez, courez jusqu'à une clinique privée!
velocio
Face à la situation assez catastrophiques de l'hôpital public français, le documentariste Eric Guéret a décidé de consacrer un film au fonctionnement d’un service d’urgence d’un hôpital situé au centre d’un désert médical urbain. Spécialisé dans le cinéma de proximité, filmant en immersion totale, il filme depuis 30 ans des documentaires sur des sujets de société et d’environnement, souvent pour la télévision, parfois pour le cinéma. Il y a 7 ans, il s’était déjà intéressé au système de santé de notre pays et il a décidé d’en remettre une couche : motivé par « la beauté et la nécessité » de l’hôpital public, par « sa fragilité et son risque de faillite », il s’est donc lancé dans "Premières urgences". Mais qui filmer ? Que filmer ? Où filmer ? Souhaitant montrer en priorité l’engagement sans faille du personnel soignant, il a décidé de s’intéresser en priorité à de jeunes internes faisant leur premier stage et qui, à ce titre, vont devoir agir pour la première fois en tant que médecins. Dans l’esprit du réalisateur, L’hôpital dont il souhaitait investir le service des urgences se devait de ne pas être dans une situation extrême : un service arrivant à fonctionner à peu près correctement malgré le manque de moyens matériels et humains dont souffre l’hôpital public. Critique complète sur https://www.critique-film.fr/critique-express-premieres-urgences/
🎬 RENGER 📼
Ils viennent d’arriver aux urgences de l’hôpital Delafontaine de Saint-Denis et ont tous pour point commun d’être étudiants en médecine. Le réalisateur a suivi pendant 6 mois plusieurs étudiants pour leur tout premier stage en internat…
Ce n’est pas la première fois que le réalisateur s’intéresse au milieu médical, puisqu’il avait déjà filmé les urgences de l’hôpital Avicennes à Bobigny (La Santé en France : enquête sur les inégalités - 2015). C’est d’ailleurs sa deuxième incursion à l’hôpital Delafontaine, puisqu’il avait réalisé un précédent documentaire (Pronostic vital - 2022) au sein du service de réanimation.
Il retourne à Saint-Denis, cette fois-ci, au service des urgences, pour y filmer le quotidien des étudiants (Amin, Hélène, Evan, Lucie & Mélissa ont entre 22 et 25 ans) qui se retrouvent confrontés à la réalité du terrain. Terminé la théorie, place à la pratique. Réalisé entre novembre 2020 et mai 2021 (soit, en pleine pandémie de Covid19), le réalisateur vient nous rappeler la place primordiale du service public auprès de la population.
Très rapidement, les jeunes internes se retrouvent face à la dure réalité de ce qui sera leur quotidien, à savoir les dysfonctionnements du système de santé (le manque de lit, de médecin, de moyen, l’afflux de patients psychotiques qui devraient être internés dans des établissements spécialisés au lieu de finir aux urgences ou encore les déserts médicaux avec pour conséquence : l’engorgement des urgences).
Eric Guéret (Le Feu sacré - 2020) met en lumière la vocation des médecins et leurs internes, qui se battent quotidiennement pour pouvoir exercer malgré des conditions de travail déplorables et qui n’est pas sans rappeler Burning Out (Dans le ventre de l'hôpital) (2017) de Jérôme Le Maire.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Ce n’est pas la première fois que le réalisateur s’intéresse au milieu médical, puisqu’il avait déjà filmé les urgences de l’hôpital Avicennes à Bobigny (La Santé en France : enquête sur les inégalités - 2015). C’est d’ailleurs sa deuxième incursion à l’hôpital Delafontaine, puisqu’il avait réalisé un précédent documentaire (Pronostic vital - 2022) au sein du service de réanimation.
Il retourne à Saint-Denis, cette fois-ci, au service des urgences, pour y filmer le quotidien des étudiants (Amin, Hélène, Evan, Lucie & Mélissa ont entre 22 et 25 ans) qui se retrouvent confrontés à la réalité du terrain. Terminé la théorie, place à la pratique. Réalisé entre novembre 2020 et mai 2021 (soit, en pleine pandémie de Covid19), le réalisateur vient nous rappeler la place primordiale du service public auprès de la population.
Très rapidement, les jeunes internes se retrouvent face à la dure réalité de ce qui sera leur quotidien, à savoir les dysfonctionnements du système de santé (le manque de lit, de médecin, de moyen, l’afflux de patients psychotiques qui devraient être internés dans des établissements spécialisés au lieu de finir aux urgences ou encore les déserts médicaux avec pour conséquence : l’engorgement des urgences).
Eric Guéret (Le Feu sacré - 2020) met en lumière la vocation des médecins et leurs internes, qui se battent quotidiennement pour pouvoir exercer malgré des conditions de travail déplorables et qui n’est pas sans rappeler Burning Out (Dans le ventre de l'hôpital) (2017) de Jérôme Le Maire.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Les internes s'effacent dans le flux de patients de cet hôpital périphérique du 9-3 où le discours du personnel vient en balance de la population accueillie composée essentiellement de personnes en grande précarité. Un documentaire humaniste de facture classique
Film essentiel qui nous embarque avec beaucoup de subtilité dans un univers qui nous est inconnu. Les personnages sont tous très attachants. Allez tous voir ce film !!!
Magnifique documentaire ! Drôle, émouvant, fort, passionnant. On plonge dans les coulisses de l'hôpital à travers le regard de 5 internes. Vraiment formidable.
Réaliste et efficace. Le film montre bien toute la difficulté du travail aux urgences, les questionnements des internes par rapport à leurs pratiques professionnelles, la difficulté d instaurer un dialogue avec certains patients, le tps passé au téléphone pour trouver des lits...et en même tps il y a du dynamisme dans l'équipe des internes, ils se parlent entre eux, s'entraident dans les situations complexes à gérer, envisagent leur avenir aux urgences ou non après un semestre en immersion.
Film important, émouvant sans être déprimant. Essentiel à voir, superbe réalisation et musique. Tout le personnel soignant est très attachant.
Excellent tout simplement. Tout est vrai et sans fioriture ni pathos. L'énergie et l'empathie des internes sont frappantes et expliquent comment et pourquoi le système fonctionne encore. Allez le voir !
Une plongée réaliste et sans effet de style dans le monde des urgences. Nous avons bien besoin que l on nous rappelle grace au regard dépassionné et bienveillant d Eric Guéret, l’incroyable responsabilité Qui pèse au quotidien sur les soignants, des êtres humains tout à fait semblables à nous, qui embrassent avec courage, dévouement et vulnérabilité, la mission de santé publique. Une fenêtre sur l Humanité forte et fragile. Vital.
Très bon documentaire d’Eric Gueret
Il révèle les insuffisances affligeantes des moyens de l’hôpital
Internes mal formés pendant les études de médecine à la psychologie à l’humain
Pas assez de chambres, pas assez de personnel
Heureusement il reste beaucoup d’humanité et le film reste léger et parfois drôle malgré certaines situations cocasses.
Courez voir le film et évitez d’aller aux urgences
Il révèle les insuffisances affligeantes des moyens de l’hôpital
Internes mal formés pendant les études de médecine à la psychologie à l’humain
Pas assez de chambres, pas assez de personnel
Heureusement il reste beaucoup d’humanité et le film reste léger et parfois drôle malgré certaines situations cocasses.
Courez voir le film et évitez d’aller aux urgences
Excellent documentaire plein d’humanité qui nous révèle les premiers pas de jeunes étudiants en médecine dans un grand hôpital de Saint Dénis. Il nous montre leur quotidien dans cet hôpital en crise.
À voir absolument et bravo à ´Eric Guéret.
À voir absolument et bravo à ´Eric Guéret.
Très belle oeuvre mettant en exergue la réalité de l'hôpital tant dans les difficultés inhérentes à ses fonctions que de sa nécessité au sein de la société. Les personnes présentes dans ce film sont très humaines et attachantes. Je recommande vivement.
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