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shoubenel
2 abonnés
38 critiques
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2,5
Publiée le 9 septembre 2008
Film rarement captivant à part ou kim basinger nous montre ses atouts. L'intrigue?Il n'y en a pas mais alors kim elle s'est surpassée. C'est l'une des seules au cinéma à m'avoir émoustillé à ce point. Merci Mme Basinger.
vu pour combler un manque..film culte certes.... cependant malgré un jeu d'acteurs impeccable et toute la sympathie qu'on peut avoir pour les années 80 et la fraicheur de ces jeunes (à l'époque) acteurs..eh bien...je me suis presque endormi... c'est assez injuste de découvrir ce film en 2008, je ne doute pas de la force de son impact à l'époque...mais vraiment ça a mal vieilli...côté kitsch de la musique très 80's "synthé pourritos de base" (hormis les classiques de la BO comme Joe Cocker etc)... rien a rajouter sur l'histoire (oie blanche soumise + pervers au sourire en coin), tout le monde connait le sujet qui est plutôt bien traité ici....
Un couple ultra-sexy (la magnifique Kim Bassinger et le monstre de charisme Mickey Rourke), une BO légendaire ("You can leave on your hat on" de Joe Cocker) et des scènes "érotiques" d'anthologie (le strip-tease, la scène du glaçon, la scène du frigo...). Mais au final, même si "9 semaines 1/2" est devenu culte, il a aujourd'hui particulièrement vieilli. Et puis, à part les scènes chaudes, il se passe franchement pas grand-chose si ce n'est une pseudo-réflexion assez prétentieuse sur la sexualité sous toutes ses formes.
Un film assez hypnotisant qui m'avait marqué lorsque j'etais plus jeune. Assez inclassable, il oscille entre le drame passionnel et le film erotique torride. Cette histoire d'amour ne marque pas d'une pierre blanche l'histoire du cinéma,mais il faut reconnaitre qu'adrian lyne a su creer une atmosphere totalement inedite et indescriptible a travers son film. Les images sont tres belles et pour l'epoque, il faut reconnaitre que les fantsmes de mickey rourke et kim basinger vont assez loin. Au menu: scenes d'amour sous une pluie battante dans un escalier,strip-tease legendaire au son de la musique de joe cocker,orgie au miel et j'en passe. Kim basinger trouve ici le role de sa vie. Un etrange experience a vivre par curiosité
J'ai beau adorer Mickey Rourke, j'ai trouvé ce film mortellement ennuyeux et d'un conventionnel à faire pâlir et celle ballade érotique m'a tout, sauf convaincu.
Magnifique film qui, tourné superbement de façon à conserver continuellement notre attention malgré quelques scénes érotique très bien réaliser, maintient notre curiosité en haleine. Le duo d'acteur forme un beau couple et le jeu de séduction est très bien retrenscrit car jamais on a l'impression que le réalisateur passe par de vulgaire racourci. On monte progressivement mais habillement vers liens sensuel entre nos 2 personnages. A voir.
Jouissant d’une image finement travaillée, le récit de cette relation se présente sous la forme de courts épisodes d’environ trois minutes chacun (le temps d’une chanson) entrecoupés de scènes de dialogues le plus souvent silencieuses. Une forme clipesque pas toujours très judicieuse malgré un souci évident d’une parfaite communion entre le son et l’image. Comme ces quelques notes de piano suspendues qui semblent flotter dans le silence en défiant et l’espace et le temps. Rarement le sadisme et le masochisme n’avaient été abordés avec une telle subtilité. Marginal de par sa nature, John semble sans attaches, presque pas de meubles, un seul ensemble en plusieurs exemplaires, et un refus catégorique quand il s’agit de rencontrer les amis d’Elizabeth. Elle, un peu dans le même sens, est à une période charnière de sa vie, jeune divorcée facilement déboussolée par un inconnu dont elle ignore tout mais à qui elle ne peut rien refuser. A mesure qu’avance le récit, John va l’entraîner de plus en plus loin dans son monde à lui, révélant peu à peu certaines perversions dans un jeu de séduction résolument à sens unique.
Le rythme hypnotisant de 9 semaines 1/2 créé une bulle fantasmagorique qu'on ne parvient jamais à attraper ; une parenthèse dominatrice entre nos grises habitudes.
Magnifique film où l’esthétique pointilleuse des images sert un scénario passionnant. Dans « 9 semaines ½ » A. Lyne donne une dimension, joyeuse, festive aux débordements sensuels et sexuels d’Elisabeth (la belle Kim Bassinger) et John (magnifique Mickey Rourke), personnages bien intégrés dans la société new-yorkaise et, surtout, profondément seuls psychologiquement… (Pour preuves la scène du restaurant où John fait preuve d’un humour noir sidérant, et cette autre scène où, chez lui, il propose d’écouter « Stranges Fruits » de Billie Holliday comme gage de bienvenue à Elisabeth !) Ce côté sombre des deux personnages pourrait évoquer le « Dernier Tango à Paris » de Bertolucci… Mais A. Lyne ne dramatise jamais : il nous montre des gens heureux! D’ailleurs leur liaison est comme un feu d’artifice, vive, lumineuse, intense et promise à une fin aussi rapide que l’a été son embrasement initial. Les jeux érotiques que propose John et dont Elisabeth se fait la complice (par acceptation forcée d’abord puis par résignation passionnée) nous montrent une exploration sensorielle systématique. Le goût, quand Elisabeth les yeux bandés, doit avaler des fruits. Le toucher illustré évidemment par l’exploration tactile des corps (magnifiques images toutes en courbes et en contrastes de lumière) mais aussi lorsque John s’empare des glaçons… L’ouie et la vue lors de la scène cultissime où Kim Basinger réalise un superbe striptease accompagnée de la voix éraillée, hyper-sensuelle, de Joe Cocker… Mais dans ces jeux John est en permanence dominant et décideur… Elisabeth le lui fait souvent remarquer… N’est-ce pas pour cela qu’elle se déguisera en homme ? La retour vers la nature (toutes les autres scènes sont citadines) , la rencontre avec le peintre Fansworth, vieil homme rejetant toutes les futilités de notre monde agité marquera la vraie rupture d’Elisabeth avec John…
Très surpris par ce film. Tout d'abord parce-que vue l'époque je m'attendais à une "comédie romantique américaine" restant sur le "minodage", et où aucune émotion ne passe hormis la gentillesse et les bons sentiments baveux... Ici rien de tout cela! Certes l'histoire se résume en une ligne, mais quelle ligne! Une sorte de poésie sur le thème d'une liaison, illustrant ainsi de la passion, à l'intimité, jusqu'aux instants de doute, de solitude et d'attente, toutes les facettes y passent... Malheureusement c'est ce qu'on peut lui reprocher... Bien-qu'évitant la caricature de chaque émotion et sentiment y compris pour la fin, le film n'évitent pas en revanche quelques longueurs certainement dû à la volonté de montrer tous les aspects.
Du début à la fin j' ai trouvé ce film mauvais, à la réputation surfaite à l' époque de sa sortie uniquement à cause de scènes érotiques avec Kim Basinger qui n' ont rien de particulier artistiquement. Je me suis même un peu forcé à le regarder jusqu' au bout entre des scènes grotesques, les jeux pervers du personnage de Rourke et les réactions de gamine du personnage de Basinger. J' ai d' autant du mal à trouver quelque chose d' intéressant dans ce film qu' à aucun moment l' histoire de cette relation m' a paru émouvante.
Un peu peinée par le peu de critiques de spectateurs et par la note générale très moyenne accordées à ce film, j’ai envie de le "réhabiliter", bien au-delà de sa réputation sexy et frivole. Tout d’abord, il faut dire qu’Adrian Lyne sait créer de belles ambiances, parfois génialement envoûtantes et mystérieuses. Comment? Grâce à la photographie et à la B.O., très "eighties" donc particulièrement esthétiques. Il y a des scènes magnifiques comme celle de Liz seule devant une séance de diapos de splendides tableaux ou encore celles où le temps semble suspendu, notamment lors du cocktail d’expo et pendant la rencontre avec le peintre solitaire vivant à la campagne. D’ailleurs, que dire de Kim Basinger si ce n’est qu’elle joue magnifiquement bien, qu’elle apporte -en plus de sa beauté et de sa sensualité bien sûr- beaucoup de sensibilité et d’émotion à son personnage, au point de paraître tour à tour sincèrement émerveillée et triste...Quant à Mickey Rourke, il ne présente pas l’interprétation du siècle mais son jeu reste correct et il offre très bien sa belle gueule et son sadisme à la caméra, donc que demander de plus...Enfin, j’ajouterai que ce film n’a pas de "happy end", et que scènes "joviales" et scènes mélancoliques se succèdent sans fausse note pour donner une impression juste sur cette relation hors-normes...Ce qui donne une touche un brin plus profonde à l’ensemble...Un ensemble qui n’est pas qu’une aventure sexuelle "fun" et insolite, mais qui s’avère aussi être une histoire d’amour douloureuse. Donc, même s’il n’a rien d'intellectuel ou d’ultra profond non plus, "9 semaines et demi" est bien plus que "le film sexy avec le strip-tease culte de Kim Basinger", tout n’est pas à jeter (contrairement à ce que prétendent certains), et le travail du point de vue cinématographique est indéniable. Les esthètes et les fans des années 80 seront particulièrement ravis. A redécouvrir!
Un beau film, très agréable pour les yeux. L'ambiance est sympathique. On aurait voulu que les capacités érotiques de Kim soient plus exploitées. Cette fille a une sensualité phénoménale, qui aurait méritée un développement plus conséquent. 9 semaines 1/2 est cependant un film érotique culte, un film sex symbolique des regrettées années 80. Si Mickey Rourke avait été remplacé par Billy Idol ou Iggy Pop dans le role du pervers, le film aurait pu etre du domaine du géni !
Il y a de grands mysteres dans ce monde et la reputation de ce film me semble en faire partie! Il est assez simple a resumer, une nunuche un peu naive tombe sous le charme d'un homme qui cache un veritable pervers sous ses sourires. L'homme offre un cadeau tres cher, il demande ensuite a sa nunuche de realiser des actes insenses et ridicules ce qui mene a une scene erotique (enfin si l'on considere que manger divers aliments les yeux bandes est erotique!!!) avec a la fin une belle engueulade et la fuite de la nunuche. La chose etrange est que cette sequence d'evenements se repete inlassablement sans aucune evolution et seulement agrementes de dialogue particulierement creux et l'observation d'oeuvres d'art(???).
Ce film, plutôt hot pour l'époque a rendu célèbre Kim Basinger, tout en nuisant à sa vie privée...Que reste t il aujourd'hui? Simplement une belle blonde dénudée dans un très long vidéo clip ...