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Adrian Lyne pousse avec maestria la passion destructrice du couple jusque dans ses moindres retranchements.
Film phare des années 80, lançant véritablement la carrière de Kim Basinger et celle de Mickey Rourke au passage, 9 Semaines 1/2 est un drame érotique à ne pas mettre entre toutes les mains. Interdit aux moins de 12 ans, il traite la sexualité de manière très provocante, brutale par moment. Tout comme Harcèlement, les thèmes de la sexualité sont ici un peu détournés, la domination psychologique prenant le pas dans ce métrage. Très convaincant dans son rôle, Mickey Rourke signe là l'une des meilleures prestations de sa carrière, largement au-dessus de ses rôles actuels. Avec une image traditionnelle des années 80, et une bande-sonore appréciable, Adrian Lyne lance un pavé dans la mare, à une époque où le sexe était encore beaucoup plus tabou que maintenant. C'est d'ailleurs très intéressant de suivre cette relation mouvementée qu'entretiennent John et Elizabeth.
Début du film : mon dieu je suis trop jeune pour cela ! Je ne fait pas partie de l'époque Kim Basinger avec les choucroutes sur la tête. J'avais un mauvais pressentiment, peur de quelques chose mielleux, consensuel. Une femme fatale qui travaille dans un musée d'art, un homme sombre et ténébreux qui passe... hum coup de foudre. Cliché. Puis finalement... L'érotisme prend place, le personnage de Mickey Rourke se fait un peu plus intéressant et ça passe très bien. Non le film ne se résume pas à une simple scène de striptease. Un film qui se laisse regarder, accessoirement avec quelqu'un du sexe opposé.
Honnêtement,ce drame urbain à l'érotisme soft ne mérite pas tout le fromage qu'on en a fait à l'époque.Adrian Lyne en fait une sorte de clip grandeur nature,où la sensualité,l'excitation ou la frustration sont les seules manières d'agir."9 semaines et demie"(1985)vaut surtout pour le couple d'amants troublants formés par le sadique Mickey Rourke et par la candide Kim Basinger.Leur relation démarre sur les chapeaux de roue.Sans se connaître,ils en viennent vite à des jeux érotiques de plus en plus sadomasochistes,mais à sens unique.Rourke va loin dans l'humiliation,alors que Basinger,comme hypnotisée,accepte tout.Mais une telle relation ne peut être qu'éphémère de par sa nature étouffante...Dommage que Lyne réduise ces instincts de manipulation consenties à une succession d'images à la lumière très travaillée,mais au goût douteux.Le strip-tease de Basinger n'est pas si hot que cela,mais charmant par la maladresse et la spontanéité de la Miss.A noter,les deux chansons inoubliables:"You can leave you heat on" de Joe Cocker,et "Slave to love" de Bryan Ferry.Un film qui fait sourire aujourd'hui...
Une histoire d'amour (si on peut appeler ça de l'amour) ambiguë ! Le couple Rourke/Basinger fonctionne grave ; ils sont très glamour et sexy.
Un film qui se démarque par son côté érotique très maitrisé et des scènes cultes (notamment la scène du frigo) mais qui souffre d'un piètre jeu d'acteur et d'un scénario bâteau.
Film d'un ennuie mortel, au scenario inexistant qui de plus à mal vieillit.
Le film nous fait réelement rentrer dans la tête de Elisabeth qui est partagé entre la passion et la peur que lui inspire John. Ensemble ils vivent donc des jeux sexuels, leur relation est ignoré des amies et de la famille, c'est un couple clendestins qui vit au jour le jour. Mais les caprice de John vont de plus en plus loin et Elisabeth finit par ne plus les accepter; c'est la séparation. Belle histoire qui est fortement du côté des mecs vu la sublimation de la femme par les gros plans sur ses formes.
attention ça vas cravacher dans les chaumières! kim basinger très bonne actrice c'est jouer a merveille la coincer jusqu’à la dépraver
L'érotisme filmé façon années 80. C'est à dire un long clip qui se veut chic, hot et branché. Personnellement je trouve Kim Basinger trés sexe, mais je ne peux pas en dire autant de son partenaire...
J'ai revu ce film hier soir avec plaisir et nostalgie. Très années 80 dans sa B.O. et ces scènes de New York, il a quand même pas mal vieilli. A l'époque les scènes érotiques (soft) avec Kim Basinger étaient ce que l'on pouvait voir de plus hot au cinéma hors X. Aujourd'hui elles nous font moins d'effet. Mais 9 semaines 1/2 reste un film culte d'une époque révolue.
sa c'est trop fort c'est bizard parceque le mec c'est un sexemane toute en oublian l'intimité de sa go c'est triste parcequ'il aimait vraiment mais elle a vu autrement
Ok c'est ennuiyant à mourir, mais le jeux d'acteur est tellement sublimissime qu'on les pardonnes du grand art!
Un film chaud avec une ambiance particulière . culte d'une génération . je n'ai pas adhéré
Un film tout à fait crédible . Loin d'être une histoire d'amour classique , 9 semaines et demi s'avance à une femme en manque d'amour (Kim Basinger ) qui tombe dès la première vue amoureux d'un homme , qui travaille dans la bourse. C'est ce qui est un coup de foudre . Seulement , loin des clichés vaseux des films romantiques , l'homme interprété par Mickey Rourke , qui grâce à ce film va se faire connaître dans le cinéma , va joué avec les sentiments de la femme . Dominée et dominant , c'est un peu l'histoire . Seulement , la femme s'attache à cette homme et participe sans problème à ses jeux plus ou moins originaux , mais surtout assez humiliants pour la fille . Au fur et à mesure , la femme se rend compte qu'elle tombe dans le piège de cet homme , et elle commence à y voir clair . Entre la sexy Kim Basinger et Mickey Rourke le couple est plus que crédible . Par contre, la fin est très décevante , ça manque d'originalité , mais c'est un film regardable et assez sobre , et sombre.
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