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    9 semaines 1/2
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    93 critiques spectateurs

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    7eme critique
    7eme critique

    544 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mars 2017
    Entre désir sexuel et jeux sensuels (et gastronomiques), "9 semaines 1/2" pousse le vice de l'obsession et de l'emprise. Sous ce climat torride, Mickey Rourke & Kim Basinger viendront s'imposer comme le couple culte de la romance érotique. Avant le fameux "50 nuances de Grey" qui continue de ravir les jeunes pucelles d'aujourd'hui, il y avait "9 semaines 1/2", d'un cran bien au-dessus, s'épargnant, lui, toute niaiserie et autres enfantillages ou codes de la romance bienveillante.
    Roub E.
    Roub E.

    1 003 abonnés 5 025 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 juillet 2016
    Avant 50 nuances de Grey il y a eu neuf semaines et demi ou Hollywood qui fait du porno qui ne s'assume même pas. Le film a une esthétique très marqué pub des années 80 qui a du coup pas mal vieilli. Je trouve que Kim Basinger est absolument hideuse dans ce film a l inverse de Mickey Rourke qui semble au sommet de son sex appeal (tout comme le film lui aussi a très mal vieilli). Contrairement à 50 nuances de Grey que je citais 9 semaines et demie bénéficie de la mise en scène d Adrian Lynne qui le rend moins mauvais, reste aussi la géniale chanson de Joe Coker qui est devenue la chanson officielle du striptease. Même s'il aura mis plusieurs années ce film est devenu très ringard.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 215 abonnés 4 194 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juillet 2016
    Comme ses collègues Hugh Hudson, Alan Parker, Tony et Ridley Scott, Adrian Lyne fait partie des réalisateurs de publicité anglais qui ont émigré avec succès vers la Cité des Anges pour y réaliser des films à l'esthétique ultra soignée qui influenceront fortement la production hollywoodienne des années 80. Une influence qui leur sera souvent reprochée par la critique comme étant un amplificateur de la toujours dommageable prédominance de la forme sur le fond. Tropisme déjà très présent dans l'esprit des producteurs toujours ravis de ne jamais donner trop à réfléchir aux spectateurs. Adrian Lyne avec ses choix scénaristiques souvent accessoires est sans aucun doute celui qui à concentré sur sa personne le plus d'injures et de sarcasmes. "Flashdance" sorti en 1983 présentait de manière complètement fantasmée et souvent mièvre l'ascension jusqu'à l'admission dans une célèbre troupe de danseurs, d'Alex (Jennifer Beals), une jeune soudeuse de Pittsburgh arrondissant ses fins de mois dans un cabaret enfumé. Le tout, rythmé par la musique enfiévrée de Georgio Moroder pape du disco et ex-mentor de Donna Summer, fit un triomphe au box-office malgré une critique déchaînée. Inutile de préciser qu'Adrian Lyne était attendu au tournant pour son film suivant. Il en rajoute une couche en allant encore un peu plus loin dans le superficiel. Cette fois-ci quasiment pas de scénario, juste la rencontre d'une jeune et très belle galeriste new yorkaise en mal d'amour mais aussi d'assouvissement corporel avec son pygmalion sexuel. Comme si la sublime Kim Basinger pouvait manquer de soupirants. C'est Mickey Rourke jeune yuppie un brin désabusé mais aussi un peu pervers qui va opportunément offrir à la belle frustrée neuf semaines et demi de plaisir intense dans un New York devenu terrain de jeu érotique pour John et Elizabeth qui s'abandonnent à leurs sens dans tous les endroits qui les inspirent, des plus bourgeois au plus sordides (pas trop quand même !). Le tout est bien sûr magnifiquement filmé par Adrian Lyne qui connait parfaitement la musique. Une musique qu'il puise chez tous les chanteurs à voix du moment. Joe Cocker et son "You can leave your hat on" pour un striptease chaud bouillant comme on dit aujourd'hui ou encore Brian Ferry et son très suave "Slave to love" pour exposer la dépendance sexuelle de la belle Kim à son beau Mickey. Nommé pour le prix du pire scénario et de la pire actrice aux Razzie Awards de 1987, "Neuf semaines et demi" réussira quasi simultanément la prouesse de devenir un film culte et un échec financier aux Etats-Unis. Conséquence logique de ce paradoxe, les carrières de Kim Basinger et de Mickey Rourke seront définitivement lancées alors qu'Adrian Lyne sera finalement abattu par la critique dès son premier échec après "Liaison fatale" qui l'a vu être définitivement relégué au rang de paria par l'intelligentsia. Il n'a plus tourné depuis 1997 et "Lolita" le remake du film de Stanley Kubrick (1962),? Crime de lèse-majesté ultime d'un réalisateur somme toute assez courageux refusant de plier face à une critique en train de ruiner sa carrière . Trente ans après, "9 semaines 1/2" demeure certes un long clip complètement irréaliste et chichiteux à l'extrême mais il faut tout de même reconnaitre que la mise en image est sublime et que Kim Basinger était d'une beauté foudroyante qui pouvait peut-être à elle seule justifier l'envie d'un réalisateur de lui dédier entièrement un film certes dispensable mais qui a au moins le mérite de ne pas tromper sur ses intentions.
    Eselce
    Eselce

    1 436 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 juillet 2016
    Il ne faut pas chercher autre chose que de l'érotisme dans ce film, avec la fameuse scène de strip-tease de Kim Basinger. Pour le reste, il n'y a pas de réel scénario, pas de rythme spécial, 1 seul bon titre dans la BO et lors de la fameuse scène et quelques excentricités du personnage interprété par Mickey Rourke. Mais lorsqu'on a vu la scène en question, on peut presque zapper l'intégralité du film.
    Estonius
    Estonius

    3 552 abonnés 5 457 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mai 2016
    Curieux choix de titrer le film de telle façon qu'on sait quand tout cela va se terminer. Les surréalistes auraient sans doute aimé le film, car c'est bien d'amour fou qu'il s'agit, Kim étant complètement spoiler: dominée par Rourke : on reste à la limite de la contrainte, il ne l'oblige jamais vraiment, mais ne se dévoilera jamais complétement, ce qui fait qu'on se demande quelle sera la goutte d'eau qui provoquera la rupture
    . Mais ça se sera pour la fin, le film manque donc de tension mais offre quelques séquences d'une superbe beauté : spoiler: le jeu avec les aliments, le strip dans la cuisine, l'étreinte dans sous la pluie dans la ruelle glauque…
    . Tout cela avec une Kim Basinger qui crève l'écran. La réalisation est bonne, parfois maniérée, il y a une touche d'humour. Quant à la fin… on n'est jamais joyeux après une rupture quelles qu'en soient les conditions… mais on le savait depuis le titre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 mai 2015
    20 ou 25 ans après, je viens de revoir ce film pour la seconde fois, et je dois dire que je suis très agréablement surpris. Ce film a très bien vieillit, et est beaucoup plus subtil que bien des films sensés l'être.
    A coté du navet grisâtre des "nuances", il fait presque figure de chef d'oeuvre du genre...
    Hollywood-Biographer
    Hollywood-Biographer

    205 abonnés 1 486 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 avril 2015
    Le film d'Adrian LYNE collectionne les points négatifs. "9 semaines 1/2" dispose d'une histoire grotesque et d'une mise en scène hasardeuse. Le duo ROURKE-BASINGER n'apparaît pas crédible pour un sou. Il n'y aucune alchimie entre les deux acteurs. Et pour finir, les scènes érotiques ne parviennent pas à relever l'intérêt de ce thriller psychologique ennuyant et inintéressant.
    surfnblue
    surfnblue

    66 abonnés 1 591 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 janvier 2015
    Un film très moyen finalement et qui est sauvé par la beauté charnelle de Kim Bassinger qui reste, devant Charon Stone, comme une des plus belles actrices américaines des années 80.
    Quelques scènes sympathiques et sexy qui ont été souvent pastichées.
    Un Rourke plutôt moyen (mais il n'a été bon que dans The Wrestler).
    Un classique qu'il faut avoir vu pour cocher la case.
    dai72
    dai72

    155 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 janvier 2015
    Une belle purge ! Pas d'autre mot pour décrire ce film très populaire. Au bout d'une heure, j'attendais toujours l'intrigue, à la fin aussi. Autant vous dire qu'elle n'est jamais venue. Aucun scénario, aucune profondeur, aucune exploitation des personnages. On ne s'attache pas, on ne se passionne pas, on n'est pris par aucune émotion (à part l'ennui bien sûr) et on reste perplexe devant ce vide absolu. Une belle purge, oui !!
    Tabatah
    Tabatah

    4 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 décembre 2014
    Plaisant a suivre, le film vaut surtout pour la plastique des deux interprètes et à leur charme irresistible.
    Mickey Rourke etait très beau à cette époque...
    En filigrane, une critique du monde des traders et une defense du monde de l'art.
    Très bien.
    Redzing
    Redzing

    1 165 abonnés 4 505 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 décembre 2014
    Une divorcée rencontre un trader flamboyant, et va vivre une relation passionnée à ses côtés. Sauf que pour le spectateur, c'est l'ennui complet... En effet, "9 1/2 Weeks" ne comporte pas réellement d'intrigue, et se contente d'aligner des scénettes de jeux sensuels entre les deux protagonistes. Le problème est que l'ensemble demeure très soft (on est bien loin du registre érotique), et que la mise en scène est de mauvais goût. Entre les lumières artificielles, les contre-jour appuyés, l'image sombre, et la BO typiquement 80's, le film ressemble fortement à un clip ringard. On notera tout de même que Mickey Rourke et Kim Bassinger sont charismatiques, et à l'aise dans leurs rôles, mais c'est une bien maigre consolation. Inexplicablement, le film rencontra un succès à l'époque, hors USA (où il se planta royalement au box office), et popularisa les jeux sexuels autour de la nourriture, et la fameuse musique de Joe Cocker...
    Plume231
    Plume231

    3 959 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 septembre 2014
    Mise à part ce que j'ai envie d'appeler ironiquement un "accident de parcours" avec le très bon "L'Échelle de Jacob", Adrian Lyne n'a fait que cumuler les films les plus vides, les plus tape-à-l’œil, les plus inintéressants parmi le cinéma américain des années 80 et 90.
    Dans cette catégorie, je demande "9 semaines ½". Pour moi, ce film se résumait jusqu'ici à la séquence où Kim Basinger fait une espèce de strip-tease avec un téléphone devant un Mickey Rourke amusé sur la chanson de Joe Cocker "You Can Leave Your Hat On". J'ai voulu aller voir plus loin en regardant le film en entier. C'est dommage car c'est la seule scène vaguement intéressante d'un ensemble ben... vide, tape-à-l’œil et inintéressant.
    En fait, c'est juste une succession d'images pseudo-érotiques avec un esthétisme très marqué eighties, sans le moindre approfondissement sur le plan de l'intrigue ou sur celui des personnages.
    La seule chose qu'il y a de sulfureux dans ce film soi-disant sulfureux c'est l'ennui qu'il procure...
    chrischambers86
    chrischambers86

    14 101 abonnés 12 487 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 décembre 2018
    L'un des films cultes des 80's avec un couple d'acteurs lègendaire du cinèma amèricain! Le "Nine 1/2 Weeks" d'Adrian Lyne rèussit tout de même à être plus excitant que le "Fifty Shades of Grey" de Sam Taylor-Johnson, ce qui a vrai dire n'a rien de surprenant! L'ensemble, très soignè, joue la carte d'un rètro sophistiquè sur fond d'èrotisme soft (comme marcher à quatre pattes sur le parquet) et de sèduction aussi! Et ce n'est pas le moindre des mèrites de l'art de Lyne que de se mettre en retrait par rapport à son sujet! il nous l'avait dèjà prouvè de belle façon avec son second long-mètrage, "Flashdance", il nous le confirme au centuple avec "Nine 1/2 Weeks" même si son film suivant, "Fatal Attraction", restera son meilleur tour de force! La rencontre charnelle du couple Mickey Rourke-Kim Basinger tient haut la main ses promesses et les scènes de sexe arrivent souvent à crèer une ambiance vraiment torride! spoiler: Particulièrement celle où Elizabeth / Basinger goûte à plusieurs aliments concoctès par John / Rourke près d'un frigidaire ; celle où le couple fait l'amour sous la pluie dans une ruelle sordide ; et bien sûr quand Basinger fait un strip-tease à Rourke sur le tube planètaire de Joe Cocker, « You Can Leave Your Hat On » .
    On aurait d'ailleurs tort de ne pas citer le superbe « Slave to Love » de Bryan Ferry injustement èclipsè par la chanson de Cocker! Un essentiel...
    Danny Wilde
    Danny Wilde

    121 abonnés 502 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juillet 2014
    Adrian Lyne révèle l'originalité de son talent avec cette romance psychologique et passionnée, qui déroute autant qu'elle fascine, et qui sera souvent plagiée par d'autres réalisateurs moins inspirés. On peut regretter le côté factice et artificiel de John et Elizabeth, leurs personnalités ne sont pas assez creusées, et le réalisateur pallie ce défaut en se reposant trop sur les scènes érotiques. Mais Mickey Rourke est beau comme un dieu, et Kim joue de son corps sans complexe. Raffinement des images, esthétisme de vidéo-clip (c'était la mode en 1986), complexité des relations entre les 2 personnages, atmosphère fiévreuse, envoûtement de la musique, séquences d'anthologie (le fameux strip sur le "You can leave your hat on" de Joe Cocker, la scène de la cuisine), érotisme troublant... sont de beaux arguments qui contribuent à faire de cette oeuvre séduisante un film culte.
    Stephenballade
    Stephenballade

    406 abonnés 1 239 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 juin 2014
    On pourrait prendre ce film comme un de ces catalogues féminins qui proposent quelques trucs et astuces pour pimenter sa vie de couple ou la rebooster. En ce qui me concerne, il n'en est rien. D'ailleurs, on sent que le réalisateur veut d'emblée choquer avec son film, et les premières images le confirment avec un générique de début écrit en rouge vif ou carmin alors qu'on suit le personnage interprété par Kim Basinger déambuler dans les rues. Je tiens d'abord à féliciter les 2 acteurs, alors tous deux au début de leur carrière et forts de leur nouvelle célébrité. Oui les féliciter parce que tenir des rôles comme ça... peut s'avérer dangereux pour leur carrière. Mais ils s'en sont admirablement sortis. Entre un Mickey Rourke parfait en homme présentant bien sous tous rapports mais qui, en grand maniaque qu'il est, veut absolument tout maîtriser... et une Kim Basinger réellement pas très à l’aise lors du tournage, sentiment de gêne qui aura servi son personnage en le rendant naïf et lucide, dépendant et assoiffé de liberté... moi je dis chapeau ! La situation est claire et en même temps compliquée, et on a l'impression que le scénario n'avance pas, mais au contraire, il avance bel et bien avec la prise de conscience, lente et laborieuse, d'Elizabeth (alias Kim Basinger), personnage à travers lequel on ressent très bien l'admiration et fascination (à la limite de l'hypnotisation) qu'elle a pour son amant, mais aussi la peur qu'il lui provoque. Il en résulte film à la hauteur de sa réputation quand il est sorti, c’est-à-dire sulfureux. La copie est propre, la photo est sublime avec de jolis plans comme la scène où Elizabeth visionne des diapositives ou lorsque John (alias Mickey Rourke) sort son sourire le plus ravageur, et les 2 heures passent vite, savamment musicalisées par une bande originale qui ressemble davantage à un best of de l’année et qui aura sacralisé "You can leave your hat on" de Joe Cocker comme LA musique de tous les stripteases. Une belle histoire comme il en existe tant. 4,5 étoiles en ce qui me concerne.
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