Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Culturopoing.com
par Pierig Leray
Par la mort, Avilés filme la vie, par la disparition, une humanité rayonnante, notre cœur enserré se libérant alors dans une profonde introspection sur le sens même à donner à cette mort, et par sa beauté, nous invectivant à la reconsidérer.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Une grande finesse d'écriture au service d'un bouleversant portrait de groupe.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
La Septième Obsession
par Jérôme d'Estais
Le rythme et la mise en scène au cordeau de la cinéaste finissent de donner au film sa belle fluidité, jamais artificielle, pendant que les ruptures de ton, du rire à une émotion, s’enchaînent de manière organique, faisant de TÓTEM une œuvre profonde et sensible dans laquelle la vie semble vouloir, le temps d’un moment partagé, prendre le dessus sur la mort. Tout en parvenant à éviter l’écueil de la joliesse de tant de films sur l’enfance, ou de la délicatesse surjouée par un réalisme si prisé actuellement.
Le Monde
par Cl. F.
Sélectionné en compétition à la Berlinale, en 2023, Totem est cru, vivant, jamais sinistre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film juste, sensible, doté d’une énergie vitale roborative.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Et si, comme ses personnages, au fond comme tout le monde, "Tótem" en fait des tonnes, c’est plutôt pour ne pas fondre trop vite en larmes que pour nous jeter sa poudre aux yeux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Un grand et beau film sur la sortie brutale de l'enfance (...).
Sud Ouest
par Julien Rousset
Plans rapprochés, dialogues vivaces, Lila Avilès saisit au plus près l’énergie de cette famille, et les émotions qui travaillent la petite Sol, son cheminement à travers les non-dits, c’est l’histoire même de l’enfance.
Télérama
par Caroline Besse
Au fil du drame, la metteuse en scène distille d’irrésistibles touches d’humour, à l’image de cette tante qui se muscle les fesses à l’aide d’électrodes… L’ensemble, vibrant, est aussi la chronique d’une fratrie aussi soudée que désarmée face à la mort (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Une œuvre touchante et délicate sur le thème du pressentiment de la mort vu par le regard d'une enfant, qui confirme le talent de la réalisatrice mexicaine Lila Avilés.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
L’expression du regard singulier [...] d’une cinéaste qui, à travers ce récit d’apprentissage, décrit délicatement la formation d’une personnalité autonome.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Les préparatifs d’une journée d’anniversaire observés par Sol, fillette de 7 ans. Pertinent et insolent point de vue pour raconter les fractures sourdes et les hypocrisies larvées d’une famille surjouant la carte de l’unité. Une révélation.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Sans jamais perdre de vue le regard curieux de Sol, sept ans, la cinéaste, qui signe ici son deuxième long métrage après "La Camarista" (2019), se fait petite souris, sa caméra circulant avec agilité dans la grande demeure entre les différents membres de cette famille élargie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Lucie Chiquer
Toute l’amertume de ce beau film à hauteur d’enfants réside en ce constat accablant : cette célébration sera le dernier souvenir que Sol aura de son père. Il est même possible d’entendre, au loin, le bruit d’un petit cœur qui se brise.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Par la mort, Avilés filme la vie, par la disparition, une humanité rayonnante, notre cœur enserré se libérant alors dans une profonde introspection sur le sens même à donner à cette mort, et par sa beauté, nous invectivant à la reconsidérer.
Abus de Ciné
Une grande finesse d'écriture au service d'un bouleversant portrait de groupe.
La Septième Obsession
Le rythme et la mise en scène au cordeau de la cinéaste finissent de donner au film sa belle fluidité, jamais artificielle, pendant que les ruptures de ton, du rire à une émotion, s’enchaînent de manière organique, faisant de TÓTEM une œuvre profonde et sensible dans laquelle la vie semble vouloir, le temps d’un moment partagé, prendre le dessus sur la mort. Tout en parvenant à éviter l’écueil de la joliesse de tant de films sur l’enfance, ou de la délicatesse surjouée par un réalisme si prisé actuellement.
Le Monde
Sélectionné en compétition à la Berlinale, en 2023, Totem est cru, vivant, jamais sinistre.
Les Fiches du Cinéma
Un film juste, sensible, doté d’une énergie vitale roborative.
Libération
Et si, comme ses personnages, au fond comme tout le monde, "Tótem" en fait des tonnes, c’est plutôt pour ne pas fondre trop vite en larmes que pour nous jeter sa poudre aux yeux.
Ouest France
Un grand et beau film sur la sortie brutale de l'enfance (...).
Sud Ouest
Plans rapprochés, dialogues vivaces, Lila Avilès saisit au plus près l’énergie de cette famille, et les émotions qui travaillent la petite Sol, son cheminement à travers les non-dits, c’est l’histoire même de l’enfance.
Télérama
Au fil du drame, la metteuse en scène distille d’irrésistibles touches d’humour, à l’image de cette tante qui se muscle les fesses à l’aide d’électrodes… L’ensemble, vibrant, est aussi la chronique d’une fratrie aussi soudée que désarmée face à la mort (...).
aVoir-aLire.com
Une œuvre touchante et délicate sur le thème du pressentiment de la mort vu par le regard d'une enfant, qui confirme le talent de la réalisatrice mexicaine Lila Avilés.
Cahiers du Cinéma
L’expression du regard singulier [...] d’une cinéaste qui, à travers ce récit d’apprentissage, décrit délicatement la formation d’une personnalité autonome.
L'Obs
Les préparatifs d’une journée d’anniversaire observés par Sol, fillette de 7 ans. Pertinent et insolent point de vue pour raconter les fractures sourdes et les hypocrisies larvées d’une famille surjouant la carte de l’unité. Une révélation.
Les Inrockuptibles
Sans jamais perdre de vue le regard curieux de Sol, sept ans, la cinéaste, qui signe ici son deuxième long métrage après "La Camarista" (2019), se fait petite souris, sa caméra circulant avec agilité dans la grande demeure entre les différents membres de cette famille élargie.
Première
Toute l’amertume de ce beau film à hauteur d’enfants réside en ce constat accablant : cette célébration sera le dernier souvenir que Sol aura de son père. Il est même possible d’entendre, au loin, le bruit d’un petit cœur qui se brise.