Je me suis régalé Jonathan Cohen et Pio Marmai composent un duo de losers fabuleux surendettés et qui s’incrustent dans une bande d’écologistes qui veulent sauver la planète. Ça caricature à tout va ( écologie, surconsommation) et c’est jubilatoire, ça ne plaira pas ni aux ecolos ni à ceux qui considèrent qu’on se moque de personnes en difficulté mais c’est du cinéma ! La première scène sur la valse a mille temps chanté par Brel est dantesque bref seul bémol la crédibilité sodé certaines scènes et notamment l’incursion dans la banque de France mais on pardonne !
Un film inégal, qui si il n’atteint jamais les sommets se regarde par contre sans aucun déplaisir. Le duo pio marmai-jonathan cohen fonctionne plutôt bien, et même si le regard reste bienveillant, cela montre assez bien le côté ridicule et jusqu’au boutiste de certains militants écologistes. Pas transcendant mais pas mal.
Le film est agréable à regarder, un film utile car il dénonce quelque chose, j'ai surtout aimé la prestation de Jonathan Cohen, sinon le film est pas un lent et il n'est pas assez captivant mais cela se laisse regarder.
Le film tient par son trio de tête Pio Marmaï, Jonathan Cohen et Noémie Merlant. Indéniablement, il y a de bonnes lignes de dialogues et des scènes réjouissantes mais l’ensemble me laisse sur ma faim. Un petit quelque chose qui manque, d’inexplicable. Un manque de souffle ou plus précisément le film finit par s’essouffler parce que répétitif ou trop d’activisme en revue. L’aspect le plus intéressant selon moi c’est cet endettement pour lequel j’ai du mal à comprendre. C’est une question de mentalité, de faiblesse d’esprit. Les organismes de crédits, de micro crédits ne mettent pas de fusil sur la tempe des consommateurs. On ne les oblige à rien. Certes, ils devraient s’assurer de la solvabilité du consommateur plutôt que de l’attirer dans le piège de l’endettement. C’est un autre débat que j’aurais aimé voir plus développé dans le film. En tout cas, ces deux baltringues, Poussin et Bruno, m’auront bien amusé par leur naïveté et leur manque d’idéal.
J’ai apprécié le générique d’introduction où défilent à rebours les présidents de la République française, de François Hollande à Pompidou. Ça en fait des présidents qui nous annoncent une année difficile ; avec celle du générique de fin, Macron, une année difficile plus une année difficile, cela font des années difficiles que des générations, depuis 1973, endurent ! Ça fait des années que l’on nous demande de nous serrer la ceinture.
Je retiendrai pour finir une bonne playlist qui accompagne cette année difficile…
Je ne regarde jamais les critiques sur un film avant de le voir car les goûts et les couleurs… Perso.. j’ai trouvé ce film drôle et touchant, à vous de voir !… 😊
Sans conteste possible le film du duo le moins abouti. Rédigé à la va-vite et plein d'élipses qui semblent montrer un montage hasardeux ou poru ne pas dire raté. Jonathan Cohen sauve les meubles, l'étoile est pour lui. Le message véhiculé par le film : l'argent c'est bien quand on en a. Les enjeux climatiques réduits à l'endettement des classes moyennes par les crédits-conso et le Black Friday... Faut sortir les gars, vraiment. Il y a un mond dehors et vous êtes à côté. Que dire de la scène finale qui est vraiment très très malaisante... (SPOILER) Utiliser le confinement comme un ressort romantique pour pécho, franchement... Heureusement que je n'ai pas perdu de proche pendant la pandémie, j'aurai éclaté ma télé.
Pas vraiment pertinent, ni franchement amusant, ce parcours d'une participation faussement sincère à la cause écologiques pour disposer de snacking au cours d'apéros révolutionnaires, laisse l'impression d'une idée sans plan d'action très loin de satisfaire son auditoire, déjà très au fait de la situation économique et critique parallèlement décrite.
Une comédie sympathique avec Jonathan Cohen (que je n'apprécie pourtant pas particulièrement d'habitude), Pio Marmaï (que j'adore par contre) et Noémie Merlant (que je découvre avec intérêt) sur des sujets bien d'actualité (le réchauffement climatique, la surconsommation, le surendettement, l'addiction aux jeux...) souvent liés les uns aux autres. Ils sont ici traités avec autant de sérieux que de légèreté (car c'est souvent drôle) pour un résultat plus qu'honorable et avec une fin presque enthousiasmante spoiler: si elle ne faisait pas référence à la triste période de confinement du COVID 19 . Toledano et Nakache délivrent une oeuvre bienveillante et dirigent avec brio cette bande d'acteurs qui ont sûrement pris plaisir à jouer ensemble (du moins c'est ce qu'il en ressort). Et comme d'habitude avec eux, la musique est irréprochable avec un large panel qui touchera le plus grand nombre.
Film sans grand intérêt avec un propos qui paraît pas cohérent dans certaines actions accompagné d’une histoire d’amour qui elles n’ont plus n’a pas de cohérence ! Et la fin doit avoir un sens mais là non plus pas cohérent et pas très logique ! La seule logique que je crois et encore avec le Cern je comprend pas mais c’est que c’est pdt le Covid 😅 j’ai surtout mis le film pour Cohen 😂
A force de surfer sur la vague de la comédie sociale douce-amère, il fallait bien que le duo Éric Toledano et Olivier Nakache se casse la gueule. Avec « Une année difficile », sorti en 2023, c’est presque arrivé ! Sur la base d’un scénario dont on a du mal à comprendre les réelles intentions des réalisateurs (critique sous forme de grand écart du militantisme écologique extrémiste et du surendettement lié aux impulsions de consommation), on se retrouve face à une caricature grossière de notre société. Si Pio Marmaï et Noémie Merlant assurent une prestation convenable, il convient de reconnaitre que Jonathan Cohen vampirise l’écran tout en proposant son éternel humour particulier. Heureusement, la mise en scène de qualité et quelques situations comiques permettent au film de sortir la tête de l’eau. Bref, un divertissement basique bien en dessous des standards du célèbre tandem.
Intouchable était magique, Samba était faible, Le sens de la fête était la meilleure comédie française de ces 30 dernières années, mais les films du duo ne se ressemblent pas. Malgré des comédiens etonnamment bons, le film n'est ni une chronique sociale, ni une comédie, ni une parodie. Le scénario est bancal et le propos illisible. Certains passages sont presque gênants. Je n'ai pas compris le point de vue. Reste le portrait de deux pieds nickelés dans un monde de crise.
Même si on passe un bon moment, le film reste un peu en deçà des oeuvres précédentes du duo Taledano Nakache. On y retrouve ce côté optimiste feel good, des acteurs formidables, une bande son à la hauteur, des dialogues bien ciselés mais la mayonnaise à du mal à prendre et on tombe assez facilement dans le cliché et on n'est finalement pas très surpris ni très ému. Pourtant l'idée à la base du scénario est originale et avait un potentiel qu'ils ont eu du mal à exploiter. Reste un film plutôt sympathique et pas désagréable mais bien loin du "Sens de la Fête", d' "Intouchable" ou de "Hors Norme".
Je m’attendait à un film drôle.. C’est en fait une comédie dramatique. Les acteurs, en particulier Pio Marmaï, Jonathan Cohen, et Mathieu Amalric jouent très bien, mais il y a trop de longueurs, et on ne voit pas très bien l’objet du scénario. Décevant.