AlloCiné
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Votre avis sur Une année difficile ?
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Un très bon film sur l'impact de la société en matire de lutte sociale et écologique. Un film qui est très touchant grâce à des acteurs sensibles et drôles tels que Jonathan Cohen et Pio Marmaï. La première fois que j'ai vraiment de la peine pour ces acteurs qui sont souvent vus en tant que comiques. C'est très bien écrit et ça fait réfléchir, sans prise de tête. Bravo ! L'un des meilleurs du duo Toledano nackache
Quelle déception! Mélange des genres, film trop long....
Et on se demande si les réalisateurs appuient le mouvement pour sauver la planète ou s'ils se moquent de ses défenseurs...
Et on se demande si les réalisateurs appuient le mouvement pour sauver la planète ou s'ils se moquent de ses défenseurs...
Encore un film attractif du duo Toledano/Nakache même s'il n'est pas exempt de tout reproche. Deux losers au fond du trou se joignent à un mouvement écolo et voient l'occasion de boire et manger à l'oeil. Rapidement, ils vont adhérer aux actions coup de poing menées par la charismatique "Cactus" (Noémie Merlant) dans un but purement lucratif. Il n'est pas question ici de comédie pure (les meilleures vannes sont dans la bande annonce) mais plutôt de traiter avec légèreté l'éco-anxiété. C'est dans ce domaine que le duo de cinéastes se perd un petit peu avec des actions qui frôlent souvent l'invraisemblance. Cependant, il y a dans ce film de belles surprises comme un Jonathan Cohen attendrissant qui forme avec Pio MarmaÏ un beau duo de surendettés. L'ensemble est naïf mais demeure sympathique.
J’ai couru pour voir ce film persuadé de me faire plaisir une nouvelle fois. Déception. Le duo réalisateur est doué pour la comédie et moins pour la dénonciation . Seul Jonathan Cohen sort son épingle du jeu
Un peu gênant et assez long. Se moquer des écologistes ne suffit pas à faire un film. Une succession de manifestations entrecoupées des difficultés de surendettés avec quelques blagues. Vraiment pas de quoi s'extasier.
J'attendais ce film avec impatience mais je ressors déçue.
Il y a bien des moments drôles mais je me demande quel est le but des réalisateurs. Se moquer des activistes écolo ? (Je précise que je ne suis pas une activiste). Le personnage de Noémie Merlant est assez caricatural.
C'est un film sympa sans plus, et loin de la qualité des précédents films du duo Nakache Toledano
Il y a bien des moments drôles mais je me demande quel est le but des réalisateurs. Se moquer des activistes écolo ? (Je précise que je ne suis pas une activiste). Le personnage de Noémie Merlant est assez caricatural.
C'est un film sympa sans plus, et loin de la qualité des précédents films du duo Nakache Toledano
Encore une fois un tres bon film de la part de ces deux réalisateurs et un sujet dont on ne parle pas assez. Super casting, drole et efficace
Nakache Toledano se perdent dans des méandres où tout devient cliché, ponctué de niaiseries, et où de surcroît une romance à l'eau de rose invoquée vient finir d'abattre une lourdeur rare. Un flop.
très très déçue par ce dernier film des réalisateurs que j'apprécie d'habitude beaucoup
Je me suis ennuyée ferme, les dialogues sont pauvres, on dirait que le film a été baclé, et le mouvement de rébellion contre la sur consommation est tourné en ridicule.
Je me suis ennuyée ferme, les dialogues sont pauvres, on dirait que le film a été baclé, et le mouvement de rébellion contre la sur consommation est tourné en ridicule.
beaucoup d'humour, de poésie mai aussi qui parle de problèmes actuels le surendétement , l'addiction au jeu, et bien sur trouver des nouvelles formes d'action pour réveiller les consciences c'est vrai que la planète pour l'instant va droit dans le mur
si on continue notre petit train train habituel
si on continue notre petit train train habituel
un scénario, qui tient sur un papier cigarette, pendant une heure et demie, des dialogues sans intérêt, c'est un film militant absolument primaire, sans subtilité, ni émotion...J'ai pensé à autre chose pendant une heure et demie, un vrai gâchis de mon temps??? Allez y pour les dernières vingt minutes, vous ne raterez rien, les personnages n'ayant aucun intérêt, même leur histoire d'amour est ratée, seule la chanson des Doors " this is the end" donne l'impression d'un message, Bilan, c'es-t vraiment foutraque, passez votre chemin
super film
supers dialogues
supers acteurs
super musique
bravo aux réalisateurs et acteurs
ce film fait du bien
supers dialogues
supers acteurs
super musique
bravo aux réalisateurs et acteurs
ce film fait du bien
Il serait intéressant de connaître l'avis sur ce film des critiques qui ont qualifié, il y a peu, Bernadette de film bourgeois et d'un certain bord politique, car, si, au final, l'on se moque bien de la trace que Bernadette Chirac (iconisée ou non) laissera dans l'Histoire, décrédibiliser et ridiculiser à ce point celles et ceux qui cherchent à défendre notre planète aujourd'hui me semble autrement plus problématique.
Faire s'appeler ces militants les uns les autres Antilope, Pomme Pomme, Cactus ou Quinoa, les faire manger assis à même le sol des aliments périmés ou des légumes crus dans des cagettes, est-ce vraiment servir une cause ou sensibiliser à des questions qui devraient tous nous alerter ?
L'on répondra que tout ça n'a que vocation à faire rire. Le problème majeur du film se situe justement là, à générer sans cesse des dialogues et des situations qui cherchent le rire de manière trop ostentatoire ("Il reste l'armoire normande et le plan de travail en béton à descendre"). Des quiproquos trop téléphonés pour être drôle ("Tu veux t'engager, tu veux aller plus loin ?"), des scènes écrites dans le seul but de servir le comique de situation sans souci de cohérence ou de réalisme, comme celle du T-shirt ou celle avec la vieille dame qui ne trouve rien de mieux à offrir que son chien empaillé...
Je ne m'attarderai pas sur la façon dont la question du consentement est raillée dans deux scènes assez malaisantes.
On reproche à Ruben Ostlund son cynisme et sa misanthropie mais reconnaissons que, si Hors Normes réchauffait les cœurs et redonnait foi en l'humanité, les deux réalisateurs n'ont, ici, aucune pitié pour l'Homme, tour a tour demeuré, menteur, crédule, opportuniste, voleur, égoïste...
Le film est également très bruyant : la bande originale est trop présente et vient appuyer bien trop lourdement le propos. Et lorsque un sujet devient trop complexe à traiter, allez hop, une longue séquence musicale sur fond de travellings ou de ralentis où les images s'enchaînent comme dans un vidéo clip.
Une question s'impose : qu'est venue faire Noémie Merlant dans cette galère ?
Ma page ciné instagram : fenetre_sur_salle
Faire s'appeler ces militants les uns les autres Antilope, Pomme Pomme, Cactus ou Quinoa, les faire manger assis à même le sol des aliments périmés ou des légumes crus dans des cagettes, est-ce vraiment servir une cause ou sensibiliser à des questions qui devraient tous nous alerter ?
L'on répondra que tout ça n'a que vocation à faire rire. Le problème majeur du film se situe justement là, à générer sans cesse des dialogues et des situations qui cherchent le rire de manière trop ostentatoire ("Il reste l'armoire normande et le plan de travail en béton à descendre"). Des quiproquos trop téléphonés pour être drôle ("Tu veux t'engager, tu veux aller plus loin ?"), des scènes écrites dans le seul but de servir le comique de situation sans souci de cohérence ou de réalisme, comme celle du T-shirt ou celle avec la vieille dame qui ne trouve rien de mieux à offrir que son chien empaillé...
Je ne m'attarderai pas sur la façon dont la question du consentement est raillée dans deux scènes assez malaisantes.
On reproche à Ruben Ostlund son cynisme et sa misanthropie mais reconnaissons que, si Hors Normes réchauffait les cœurs et redonnait foi en l'humanité, les deux réalisateurs n'ont, ici, aucune pitié pour l'Homme, tour a tour demeuré, menteur, crédule, opportuniste, voleur, égoïste...
Le film est également très bruyant : la bande originale est trop présente et vient appuyer bien trop lourdement le propos. Et lorsque un sujet devient trop complexe à traiter, allez hop, une longue séquence musicale sur fond de travellings ou de ralentis où les images s'enchaînent comme dans un vidéo clip.
Une question s'impose : qu'est venue faire Noémie Merlant dans cette galère ?
Ma page ciné instagram : fenetre_sur_salle
Un film qui parle de sujets qui nous inquiètent et nous affectent avec beaucoup de légèreté, mais pas sans profondeur.
Les thématiques de la crise écologique, sociale et économique de notre société sont explorées à travers les chemins de vie de Lexo (Jonathan Cohen), Cactus (Noémie Merlant) et Poussin (Pio Marmai).
D'une part les victimes du système capitaliste, endettées, délaissées et sans aucune valeur autre que l'argent ou l'accumulation d'objets.
De l'autre, des écologistes engagés contre la logique du capitalisme : le plus t'es riche, le plus tu peux avoir du pouvoir d'agir dans le monde. Eux, au contraire, choisissent d'avoir un impact sur le réel avec leurs seuls corps et leurs actions collectives. Ainsi, ils arrivent à faire obstacle au Black friday ou à arrêter un avion de décoller.
On rigole beaucoup, on réfléchit, on s'émeut. On ne voit pas les deux heures passer.
Les thématiques de la crise écologique, sociale et économique de notre société sont explorées à travers les chemins de vie de Lexo (Jonathan Cohen), Cactus (Noémie Merlant) et Poussin (Pio Marmai).
D'une part les victimes du système capitaliste, endettées, délaissées et sans aucune valeur autre que l'argent ou l'accumulation d'objets.
De l'autre, des écologistes engagés contre la logique du capitalisme : le plus t'es riche, le plus tu peux avoir du pouvoir d'agir dans le monde. Eux, au contraire, choisissent d'avoir un impact sur le réel avec leurs seuls corps et leurs actions collectives. Ainsi, ils arrivent à faire obstacle au Black friday ou à arrêter un avion de décoller.
On rigole beaucoup, on réfléchit, on s'émeut. On ne voit pas les deux heures passer.
Une année difficile, en l'occurrence c'était plutôt une séance difficile. Très grosse déception. Rien ne fonctionne dans ce film. On rit, un peu, mais aucune émotion au rendez-vous, plutôt une certaine gêne en ce qui me concerne. On est très loin Du sens de la fête et surtout de Hors normes. Mathieu Amalric et Jonathan Cohen tirent, un peu, leur épingle du jeu.
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