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Votre avis sur Une année difficile ?
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On ne s'ennuie pas mais ce n'est certainement pas le film de l'année. On sourit souvent mais peu d'éclats de rire dans la salle pour une comédie avec Jonathan Cohen. Quant à l'histoire, elle est plausible mais on a du mal à y croire. Et dommage que certains éléments de l'histoire restent sans réponse. On aurait certainement pu attendre qu'il passe un dimanche soir à la TV...
Enfin un film drôle qui fait du bien ! Plein de scènes et de dialogues qui donnent le sourire et font rire. Très bien joué par les acteurs principaux et second rôles ... un (très) bon moment ! Étonné que le film n'est qu'une note de 3,5, je ne me l'explique pas ...
(NO SPOILER)
Ce film m'as fait rire et pleurer, ce film a un très bon scénario.
Mais il n'as rien à voir avec intouchables.
Ce film m'as fait rire et pleurer, ce film a un très bon scénario.
Mais il n'as rien à voir avec intouchables.
Franchement c'est encore trop long et encore une fois, le scénario reste un chouia léger.. j'adore les acteurs principaux mais il y a une sorte de déséquilibre dans ce film, le sérieux de notre situation climatique et de la situation économique de certains semble avoir empêché les réalisateurs de vraiment faire une comédie ...On rit un peu ...et que dire de la fin téléphonée qui s'étire et qui manque tellement de 2nd dégré même si on sait bien qu'il y a encore une arnaque.. Pio Marmaï pourtant pratiquement rôle principal n'est pas à son meilleur dans ce rôle...
Brillant duo. Les personnages de Pio Marmaï et Jonathan Cohen sont travaillés, drôles, stupides, et à la fois vrais. Ils sont vraiment attachants. Histoire prenante sur ce mouvement de la surconsommation. C'est assez dynamique, on ne se perd pas dans des dialogues longs et infinis. {SPOILER} Une jolie fin utopique et jolie évolution des personnages. {SPOILER}. Sujet d'actualité + drôle + émouvant. Je recommande ce petit film qui nous fait réfléchir après le visionnage sur notre état d'esprit concernant la surconsommation.
Très bon film. Enfin un peu de légerté sur des 2 thématiques bien tristes: surendettement et l'eco-anxiété. Quelques scènes hilarantes. J'ai passé un très bon moment. Très bon film pour passer un bon moment sans prise de tête.
Je vous le conseil!!
Je vous le conseil!!
A la fois sujet sérieux melé à de l humour. J ai adoré surtout en ces temps moroses ça fait du bien.
Les acteurs sont vraiment géniaux.
Les acteurs sont vraiment géniaux.
Christoblog
Avec ce nouveau film, Eric Toledano et Olivier Nakache confirment qu'il sont bien le mètre étalon de la comédie sociétale française.
Certes, on n'explose pas de rire à la vision d'Une année difficile, mais on sourit pratiquement tout du long, tellement l'attention portée aux détails et aux personnages est grande.
Comme souvent, le duo parvient à explorer avec beaucoup d'acuité et de tendresse deux thématiques actuelles (le surendettement et l'éco-anxiété), tout en décrivant le parcours de personnages auxquels on s'attache instantanément.
Au crédit du film il faut porter l'alchimie du duo Pio Marmaï / Jonathan Cohen, incroyablement efficace, rehaussée par la présence magnétique de Noémie Merland.
Un très bon moment sans prétention, dont on sort ragaillardi et de bonne humeur (les séances du générique de fin sont de petites merveilles d'écriture optimiste).
Certes, on n'explose pas de rire à la vision d'Une année difficile, mais on sourit pratiquement tout du long, tellement l'attention portée aux détails et aux personnages est grande.
Comme souvent, le duo parvient à explorer avec beaucoup d'acuité et de tendresse deux thématiques actuelles (le surendettement et l'éco-anxiété), tout en décrivant le parcours de personnages auxquels on s'attache instantanément.
Au crédit du film il faut porter l'alchimie du duo Pio Marmaï / Jonathan Cohen, incroyablement efficace, rehaussée par la présence magnétique de Noémie Merland.
Un très bon moment sans prétention, dont on sort ragaillardi et de bonne humeur (les séances du générique de fin sont de petites merveilles d'écriture optimiste).
Tres décevant comparé à ce qu’on a l’habitude avec ces réalisateurs.
Le sujet ne permet pas d’attirer l’empathie du grand public.
Après Astérix et Obelix, encore une fois Johnathan Cohen sauve les meubles…
Le sujet ne permet pas d’attirer l’empathie du grand public.
Après Astérix et Obelix, encore une fois Johnathan Cohen sauve les meubles…
🎬 RENGER 📼
Albert & Bruno sont surendettés et font la connaissance de jeunes militants écolos avec qui ils vont se lier d’amitiés, plus pour les chips et la bière gratos que pour leur arguments écologiques…
Mêler le militantisme (et par conséquent, la crise climatique et la décroissance), la surconsommation et le surendettement, avec de tels sujets aussi anxiogènes, on aurait pu craindre le pire ou alors, une comédie dramatique bien plombante. Au lieu de cela, les réalisateurs Olivier Nakache & Eric Toledano (Le Sens de la fête - 2017) ont décidé d’en faire une comédie populaire, au sens noble du terme.
Une année difficile (2023) est aussi drôle qu’inattendue, c’est énergique et emplit d’humanité, alors certes, les ficelles sont parfois grosses (la caricature des écologistes type "Extinction Rebellion" qui sont affublés de surnoms ridicules et prônent la sobriété à l’extrême), mais on finit par oublier certains excès face à des personnages bien écrits tels que ceux incarnés par Jonathan Cohen & Mathieu Amalric. Bien entendu, le reste de la distribution est clairement au diapason, aussi bien Pio Marmaï, que la radieuse Noémie Merlant.
Une comédie feel-good qu’il faut prendre au second degré, cela va de soi, sans quoi, on pourrait ergoter sur bon nombre de sujets et la façon avec laquelle les cinéastes les ont traité, tels que le militantisme écologique, la culpabilité portée sur la classe moyenne pour leur surconsommation effrénée et débilitante (le black friday) ou encore le surendettement (un sujet survolé, tout comme la précarité qui en découle).
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Mêler le militantisme (et par conséquent, la crise climatique et la décroissance), la surconsommation et le surendettement, avec de tels sujets aussi anxiogènes, on aurait pu craindre le pire ou alors, une comédie dramatique bien plombante. Au lieu de cela, les réalisateurs Olivier Nakache & Eric Toledano (Le Sens de la fête - 2017) ont décidé d’en faire une comédie populaire, au sens noble du terme.
Une année difficile (2023) est aussi drôle qu’inattendue, c’est énergique et emplit d’humanité, alors certes, les ficelles sont parfois grosses (la caricature des écologistes type "Extinction Rebellion" qui sont affublés de surnoms ridicules et prônent la sobriété à l’extrême), mais on finit par oublier certains excès face à des personnages bien écrits tels que ceux incarnés par Jonathan Cohen & Mathieu Amalric. Bien entendu, le reste de la distribution est clairement au diapason, aussi bien Pio Marmaï, que la radieuse Noémie Merlant.
Une comédie feel-good qu’il faut prendre au second degré, cela va de soi, sans quoi, on pourrait ergoter sur bon nombre de sujets et la façon avec laquelle les cinéastes les ont traité, tels que le militantisme écologique, la culpabilité portée sur la classe moyenne pour leur surconsommation effrénée et débilitante (le black friday) ou encore le surendettement (un sujet survolé, tout comme la précarité qui en découle).
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Un fell good movie qui fait du bien, sur un sujet sérieux qui sur un fond social, générationnel et actuel fait passer un message de prise de conscience de l'importance du temps actuel et qu'il n'est jamais trop tard pour agir et que l'amour fait partie intégrante de l'équation.
Enfin un film vraiment divertissant, même drôle. Jonathan Cohen et Pio Marmai sont excellents et les activistes gentiment tournés en ridicule. On s'amuse bien et en même temps, le film pose des questions graves sur la question du climat face à la dure réalité économique que vivent les protagonistes, le tout avec une super BO : grandbrothers et Brel, top !
Une gentille comédie souffrant d'un scénario peu épais et qui nous présente un monde ressemblant à une publicité pour des yaourts allégés, grâce aux bons acteurs et à une très belle band-son, on passe un moment agréable.
Une année difficile est la dernière comédie du duo Eric Toledano & Olivier Nakache.
Albert (Pio Marmaï), manutentionnaire à l'aéroport de Roissy, survit grâce à des combines en tous genres. C'est lors de l'une d'elles qu'il fait la connaissance de Bruno (Jonathan Cohen) qui est au bout du rouleau. Ils vont se recroiser et intégrer un groupe de jeunes militants écologistes mené par Cactus (Noémie Merlant). Ils vont tout d'abord les rejoindre par opportunisme avant de s'engager pour de bon...
Après Samba, Le sens de la fête et Hors normes, Eric Toledano et Olivier Nakache signent une comédie de 2 heures qui leur ressemble : partant d'un sujet très actuel et sérieux (la surconsommation et l'éco-anxiété face au changement climatique) et traité avec un ton humoristique. C'est par exemple très drôle quand les activistes choisissent leurs surnoms (Poussin pour Albert et Lexo pour Bruno) et découvrent leurs noms de famille complets. C'est également le cas de la furie de la scène d'ouverture lors du Black Friday. La chanson La valse à mille temps de Jacques Brel qui l’accompagne augmente l'effet comique. L'air est également présent en clôture du film avec un tout autre sous-texte.
Le duo de réalisateurs avait déjà travaillé avec Pio Marmaï sur la série En thérapie. Dans ce registre plus léger, il est tout aussi convaincant. Sa maladresse face à Cactus est attendrissante.
Jonathan Cohen, d'abord déprimé, puis activiste motivé, apporte toute sa tendresse et sa drôlerie à son personnage via une mauvaise foi souvent communicative.
Leur complicité transparaît à l'écran, le duo fonctionne : ils dégagent tous deux une humanité touchante qui est amplifiée par leur faux pas.
Noémie Merland confirme que la comédie lui sied à ravir, après L'innocent de Louis Garrel qui lui avait valu un César.
Le personnage incarné par Mathieu Amalric travaille dans une association qui aide les particuliers en situation de surendettement. Son mantra avant d'acheter quelque chose est "Est-ce que j'en ai besoin ? Est-ce que j'en ai vraiment besoin ? Est-ce j'en ai vraiment besoin maintenant ?". On se rend compte par la suite qu'il a du mal à le suivre !
Grégoire Leprince-Ringuet incarne un activiste, bras droit de Cactus. Malgré sa filmographie étoffée, il restera toujours à mes yeux Erwan le jeune breton de la comédie musicale Les chansons d'amour.
Eric Toledano et Olivier Nakache signent un retour réussi avec une comédie enlevée et drôle sur un sujet actuel.
Lire mon avis complet dans mon blog :
https://popcornexposetcompagnie.blogspot.com/
Albert (Pio Marmaï), manutentionnaire à l'aéroport de Roissy, survit grâce à des combines en tous genres. C'est lors de l'une d'elles qu'il fait la connaissance de Bruno (Jonathan Cohen) qui est au bout du rouleau. Ils vont se recroiser et intégrer un groupe de jeunes militants écologistes mené par Cactus (Noémie Merlant). Ils vont tout d'abord les rejoindre par opportunisme avant de s'engager pour de bon...
Après Samba, Le sens de la fête et Hors normes, Eric Toledano et Olivier Nakache signent une comédie de 2 heures qui leur ressemble : partant d'un sujet très actuel et sérieux (la surconsommation et l'éco-anxiété face au changement climatique) et traité avec un ton humoristique. C'est par exemple très drôle quand les activistes choisissent leurs surnoms (Poussin pour Albert et Lexo pour Bruno) et découvrent leurs noms de famille complets. C'est également le cas de la furie de la scène d'ouverture lors du Black Friday. La chanson La valse à mille temps de Jacques Brel qui l’accompagne augmente l'effet comique. L'air est également présent en clôture du film avec un tout autre sous-texte.
Le duo de réalisateurs avait déjà travaillé avec Pio Marmaï sur la série En thérapie. Dans ce registre plus léger, il est tout aussi convaincant. Sa maladresse face à Cactus est attendrissante.
Jonathan Cohen, d'abord déprimé, puis activiste motivé, apporte toute sa tendresse et sa drôlerie à son personnage via une mauvaise foi souvent communicative.
Leur complicité transparaît à l'écran, le duo fonctionne : ils dégagent tous deux une humanité touchante qui est amplifiée par leur faux pas.
Noémie Merland confirme que la comédie lui sied à ravir, après L'innocent de Louis Garrel qui lui avait valu un César.
Le personnage incarné par Mathieu Amalric travaille dans une association qui aide les particuliers en situation de surendettement. Son mantra avant d'acheter quelque chose est "Est-ce que j'en ai besoin ? Est-ce que j'en ai vraiment besoin ? Est-ce j'en ai vraiment besoin maintenant ?". On se rend compte par la suite qu'il a du mal à le suivre !
Grégoire Leprince-Ringuet incarne un activiste, bras droit de Cactus. Malgré sa filmographie étoffée, il restera toujours à mes yeux Erwan le jeune breton de la comédie musicale Les chansons d'amour.
Eric Toledano et Olivier Nakache signent un retour réussi avec une comédie enlevée et drôle sur un sujet actuel.
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Même les meilleurs peuvent avoir leur moment de faiblesse... Le duo Nakache/Toledano nous avait habitué à l'excellence. Ici, c'est l'inverse: scenario bouffé aux mites, situations invraisemblables, péripéties à la limite du débile (la scène de la banque de France...!!!)... Bref, c'est largement raté.
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