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Votre avis sur Une année difficile ?
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Le duo Éric Toledano et Olivier Nakache, bien connu pour son approche souvent légère et sincère des sujets sociaux, revient avec "Une année difficile", un film qui oscille entre satire sociale et commentaire écologique. Malheureusement, malgré des intentions louables et des moments de comédie efficaces, le film peine à trouver son rythme et à maintenir une cohérence dans son récit.
Le scénario, qui plonge dans le monde des activistes écologistes à travers les yeux d'Albert Laprade (Pio Marmaï), un homme embourbé dans les dettes, tente d'aborder les thématiques de l'activisme, du surendettement et de la rédemption personnelle. Cependant, le film souffre d'une structure narrative hésitante qui ne parvient pas à lier de manière convaincante ces éléments. Les enjeux de l'histoire semblent dilués par des tentatives d'humour qui tombent parfois à plat et par des transitions de ton maladroites.
Pio Marmaï, en homme désespéré à la recherche d'un nouveau départ, livre une performance solide, apportant à la fois humanité et légèreté à son rôle. À ses côtés, Jonathan Cohen, dans le rôle de Bruno Ambrosi, apporte un certain charme maladroit, mais son personnage manque de profondeur et de développement pour être vraiment mémorable. Noémie Merlant, en tant que leader charismatique des activistes, est sous-utilisée et mérite un scénario qui exploite mieux ses talents.
Visuellement, le film propose quelques séquences impressionnantes, notamment celles capturant l'énergie brute des manifestations et des confrontations. La bande originale de Grandbrothers, bien que plaisante, ne parvient pas à imprimer une empreinte distinctive qui pourrait soulever le film au-delà de sa platitude narrative.
"Une année difficile" montre des signes de lutte pour balancer son message écologique avec l'humour et le drame. La satire, bien qu'ayant ses moments de brillance, peine à laisser une impression durable, et les tentatives de poignance se perdent dans un récit qui manque de focus. Bien que le film touche à des sujets pertinents et d'actualité, il n'arrive pas à les exploiter de manière satisfaisante, résultant en une expérience cinématographique qui est, à l'image de son titre, assez laborieuse. "Une année difficile" est une comédie dramatique qui, malgré ses performances décentes et quelques scènes réussies, n'atteint pas tout à fait les ambitions de ses créateurs.
Le scénario, qui plonge dans le monde des activistes écologistes à travers les yeux d'Albert Laprade (Pio Marmaï), un homme embourbé dans les dettes, tente d'aborder les thématiques de l'activisme, du surendettement et de la rédemption personnelle. Cependant, le film souffre d'une structure narrative hésitante qui ne parvient pas à lier de manière convaincante ces éléments. Les enjeux de l'histoire semblent dilués par des tentatives d'humour qui tombent parfois à plat et par des transitions de ton maladroites.
Pio Marmaï, en homme désespéré à la recherche d'un nouveau départ, livre une performance solide, apportant à la fois humanité et légèreté à son rôle. À ses côtés, Jonathan Cohen, dans le rôle de Bruno Ambrosi, apporte un certain charme maladroit, mais son personnage manque de profondeur et de développement pour être vraiment mémorable. Noémie Merlant, en tant que leader charismatique des activistes, est sous-utilisée et mérite un scénario qui exploite mieux ses talents.
Visuellement, le film propose quelques séquences impressionnantes, notamment celles capturant l'énergie brute des manifestations et des confrontations. La bande originale de Grandbrothers, bien que plaisante, ne parvient pas à imprimer une empreinte distinctive qui pourrait soulever le film au-delà de sa platitude narrative.
"Une année difficile" montre des signes de lutte pour balancer son message écologique avec l'humour et le drame. La satire, bien qu'ayant ses moments de brillance, peine à laisser une impression durable, et les tentatives de poignance se perdent dans un récit qui manque de focus. Bien que le film touche à des sujets pertinents et d'actualité, il n'arrive pas à les exploiter de manière satisfaisante, résultant en une expérience cinématographique qui est, à l'image de son titre, assez laborieuse. "Une année difficile" est une comédie dramatique qui, malgré ses performances décentes et quelques scènes réussies, n'atteint pas tout à fait les ambitions de ses créateurs.
Bien sûr c’est une fiction, mais en résumé le combat du climat est un show animé par des gosses de riche en mal de sensations autour desquels s’agglutinent des pique-assiettes paumés. Bon, investissez le prix de l’entrée sur un autre film
Un peu convenu, pas de grosse surprise. Le casting est parfait, P Marmaï toujours un peu dans le même jeu, mais on en découvre d'autres qui nous font rire
Très bon moment. J'aime vraiment la touche des ces réalisateurs toujours justes et montrant différentes facettes d'une problématique.
Il y a d abord une grande qualité qui manque tellement dans le cinéma français actuellement c est l ecriture. Les dialogues sont parfaits et les comédiens tous épatants. Pour moi ce qui m a le plus intéressé c est l histoire d amitié de ces deux hommes pas forcément faits pour se rencontrer. La fin m a laissé plutôt dubitatif mais n enlève rien au plaisir qu on prend pendant la projection.
C'est très bien fait et on passe un bon moment mais une fois le film terminé on se dit qu'il n'y a rien qui tient dans cette histoire que les réalisateurs n'ont pas vraiment réussi à conclure d'ailleurs. Le duo principal marche bien et les seconds rôles sont super. Bémol sur le rôle féminin qui n'est pas très fin (comme souvent chez Nakache et Toledano). Bref, c'est moyen.
On s'attache aux films societaux de Toledano/Nakache, parceque les personnages, emmêlés dans cette vie compliquée, nous ressemblent.
Ici, on conjugue les thèmes de l'eco-anxiété et du surrendettement dans une petite comédie enlevée, sympathique, et finalement romantique.
Pio Marmai et Jonathan Cohen sont des loosers filous et attachants qui nous font rire du début à la fin.
Le scénario tout simple a tout de même une lecture plus profonde que ça en a l'air sur notre dépendance fatale à la société de consommation, même si on est remplis de bonnes résolutions.
La scène finale, la meilleure, est pleine de virtuosité et de leçons: spoiler: ingénieux, de profiter du contexte du confinement de mars 2020, pour faire croire au personnage de Cactus, que la vraie vie dont tout ecolo rêve peut exister: la nature qui reprend ses droits, un Paris sans transport, non pollué...après des mois de coma, semblant ignorer l'existence du covid 19, notre jeune activiste peut lâcher prise et tomber amoureuse
.
Ne vous levez pas avant la fin du générique ! Vous verrez que nos héros ont peut-être une solution cachée à leur problème, qui était devant leurs yeux.
Des personnages et une histoire ancrée dans notre vie moderne, des dialogues drôles...à voir avec plaisir !
Ici, on conjugue les thèmes de l'eco-anxiété et du surrendettement dans une petite comédie enlevée, sympathique, et finalement romantique.
Pio Marmai et Jonathan Cohen sont des loosers filous et attachants qui nous font rire du début à la fin.
Le scénario tout simple a tout de même une lecture plus profonde que ça en a l'air sur notre dépendance fatale à la société de consommation, même si on est remplis de bonnes résolutions.
La scène finale, la meilleure, est pleine de virtuosité et de leçons: spoiler: ingénieux, de profiter du contexte du confinement de mars 2020, pour faire croire au personnage de Cactus, que la vraie vie dont tout ecolo rêve peut exister: la nature qui reprend ses droits, un Paris sans transport, non pollué...après des mois de coma, semblant ignorer l'existence du covid 19, notre jeune activiste peut lâcher prise et tomber amoureuse
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Ne vous levez pas avant la fin du générique ! Vous verrez que nos héros ont peut-être une solution cachée à leur problème, qui était devant leurs yeux.
Des personnages et une histoire ancrée dans notre vie moderne, des dialogues drôles...à voir avec plaisir !
du niveau esthétique d'un mauvais épisode de série cheap, bref c'est moche!
les personnages ne sont pas crédible, on y croit pas et ce n'est pas drôle
les personnages ne sont pas crédible, on y croit pas et ce n'est pas drôle
Humour frelaté. Insincérité navrante de la démarche (on ne comprend pas vraiment si il y a, ou pas, une intention réelle de se moquer de l'activisme écolo, de ringardiser la frange de la population s'enfonçant chaque jour davantage dans le surendettement). Le scénario n'offre pas de ligne claire sur l'intention des realisateurs. Je ne sais quoi retenir de ces 2 heures que j'ai passées à me demander où voulaient bien m'emmener ceux qui ont notamment commis "Intouchables", "Le sens de la fête".
Un très très bon navet….
À éviter pour passer un bon moment
Le film n a pas de sens, pas d intérêt…
À éviter pour passer un bon moment
Le film n a pas de sens, pas d intérêt…
Albert,(Pio Marmaï) un quadragénaire paumé qui a une soif inextinguible pour les dépenses futiles vit difficilement à cause de dettes qu'il contracte à tout va.
C'est par hasard qu'il fait la rencontre de Bruno (Jonathan Cohen), atteint de la même addiction.
Se retrouvant de façon fortuite dans une réunion de militants anticapitalistes, le choc des cultures va provoquer des étincelles face à la mystérieuse "cactus" (Noémie Merlant).
Nos jours heureux, Intouchables, Le sens de la fête... Le duo de réalisateurs Toledano/Nakache n'a pas cessé de faire rire la France à travers des comédies qui portent un message souvent profond, qui met en lumière les déviances de la société.
On s'attend donc à ce que Une année difficile soit du même acabit.
Si le rire ne se fait pas attendre face à l'alchimie qui lie Pio Marmaï au désormais indispensable Jonathan Cohen ( on le retrouve dans pas moins de cinq films, en 2023 ! ), la thématique de surconsommation en plein dérèglement climatique n'est qu'à peine effleurée du doigt, peut être difficile à vendre dans un format comique, malgré le talent de Noémie Marlant, en figure de proue du mouvement écologique.
On apprécie donc le trio d'acteurs qui reste néanmoins limité par une écriture un poil cliché et peu ambitieuse, nous offrant un long métrage divertissant mais loin d'égaler les précédents films du duo de réalisateurs.
C'est par hasard qu'il fait la rencontre de Bruno (Jonathan Cohen), atteint de la même addiction.
Se retrouvant de façon fortuite dans une réunion de militants anticapitalistes, le choc des cultures va provoquer des étincelles face à la mystérieuse "cactus" (Noémie Merlant).
Nos jours heureux, Intouchables, Le sens de la fête... Le duo de réalisateurs Toledano/Nakache n'a pas cessé de faire rire la France à travers des comédies qui portent un message souvent profond, qui met en lumière les déviances de la société.
On s'attend donc à ce que Une année difficile soit du même acabit.
Si le rire ne se fait pas attendre face à l'alchimie qui lie Pio Marmaï au désormais indispensable Jonathan Cohen ( on le retrouve dans pas moins de cinq films, en 2023 ! ), la thématique de surconsommation en plein dérèglement climatique n'est qu'à peine effleurée du doigt, peut être difficile à vendre dans un format comique, malgré le talent de Noémie Marlant, en figure de proue du mouvement écologique.
On apprécie donc le trio d'acteurs qui reste néanmoins limité par une écriture un poil cliché et peu ambitieuse, nous offrant un long métrage divertissant mais loin d'égaler les précédents films du duo de réalisateurs.
Un beau film sociétal, avec tous les ingrédients de la vie, amitié, amour, philosophie, et une bonne dose d'humour. Les acteurs portent le scénar avec brio, les personnages sont attachants. Encore un film reussi Nakache Toledano qui trouvent encore un autre thème, sans cesse dans le renouvellement avec leur touche propre emplie d'humanisme et de sentiments, sans mélo ni guimauve.
Film sympa, qui doit une grande partie de son intérêt aux très belles prestations de Jonathan Cohen et de Pio Marmaï. Ce film n'est pas à la hauteur des derniers Toledano-Nakache mais il faut dire que la barre a été placée haute.
La rentrée cinéma s’annonce magnifique ‼️ il y en a pour tous les goûts.
Mais s’il y a un film à ne rater sous aucun prétexte, c’est bien le dernier du tandem Toledano - Nakache, qui est une pure pépite. Ça démarre très fort. Le ton est donné des les premières minutes avec ce black Friday filmé au ralenti sur la valse à mille temps de Jacques Brel. Une chorégraphie parfaite, furieuse et entraînante. Le cadre est posé : les surconsommateurs versus les militants écolos.
un sujet de société qui interroge. Mais ce n’est pas un film d’engagement. L’humour et la tendresse sont les fils conducteurs du récit. Le film porte un regard amusé sur 2 champions de l’endettement embarqués au côté de militants écolo dans des opérations chocs. Une mise en scène rapide et nerveuse, une BO entraînante, des fous rire en cascade. On est embarqué dans cette spirale où chacun des personnages cherche à donner un sens à sa vie. Un film qui ne prétend donner aucune leçon mais qui nous donne quand même à réfléchir sur notre drole d’époque. A ne pas rater. 😎😎🎥
Mais s’il y a un film à ne rater sous aucun prétexte, c’est bien le dernier du tandem Toledano - Nakache, qui est une pure pépite. Ça démarre très fort. Le ton est donné des les premières minutes avec ce black Friday filmé au ralenti sur la valse à mille temps de Jacques Brel. Une chorégraphie parfaite, furieuse et entraînante. Le cadre est posé : les surconsommateurs versus les militants écolos.
un sujet de société qui interroge. Mais ce n’est pas un film d’engagement. L’humour et la tendresse sont les fils conducteurs du récit. Le film porte un regard amusé sur 2 champions de l’endettement embarqués au côté de militants écolo dans des opérations chocs. Une mise en scène rapide et nerveuse, une BO entraînante, des fous rire en cascade. On est embarqué dans cette spirale où chacun des personnages cherche à donner un sens à sa vie. Un film qui ne prétend donner aucune leçon mais qui nous donne quand même à réfléchir sur notre drole d’époque. A ne pas rater. 😎😎🎥
Un super film avec des acteurs extraordinaires. L'histoire est intemporel puisque il y a 50 ans on parlait déjà d'écologie. Moi de réchauffement Nakache. Tous les Toledano sont extraordinaires comme réalisateur.
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