Avis : Une année difficile - Page 5

J'adore ce duo de réalisateurs, j'ai toujours aimé tous leurs films et séries, ce sont les meilleurs dans leur genre en France...mais là, je ne sais pas ce qu'il s'est passé...scénario poussif et sans intérêt, interprétation caricaturale (Noemie Merlant est crispante et dessert la cause écologique, Jonathan Cohen fait du Jonathan Cohen , toujours ce personnage de mytho embrouilleur avec les mêmes mimiques et expressions comme dans tous ses rôles, Pio Marmai est très bien mais il a l'air de se demander ce qu'il fout là) les dialogues sont paresseux, mal écrits et pas drôles, on s'ennuie totalement malgré un talent de réalisation indéniable..on dirait que ce n'est pas Olivier Nakache et Eric Toledano qui ont écrit..ils nous ont habitués à tellement plus d'exigence..après Hors normes et En thérapie ou le sens de la fête, des chefs d'œuvre, on ne peut pas imaginer qu'ils ont pu écrire ça..ça m'embête d'écrire cela car c'est un duo tellement doué et sympathique mais là, le faux pas...

Une "comédie romantique" très prévisible et peu crédible qui n'a pas grand chose de comique ni de romantique. Les deux réalisateurs nous livrent leur vision bourgeoise de notre société, où l'on caricature ceux qui luttent contre la fin du monde et l'on se moque de ceux qui n'arrivent pas à finir le mois. Un film dangereux par son désengagement. Quelle déception pour un casting et des réalisateurs à la filmographie aussi exceptionnelle.

Catastrophique ! Quelle dégringolade pour ce duo de réalisateurs. Bref, à fuir !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Une année difficile, en l'occurrence c'était plutôt une séance difficile. Très grosse déception. Rien ne fonctionne dans ce film. On rit, un peu, mais aucune émotion au rendez-vous, plutôt une certaine gêne en ce qui me concerne. On est très loin Du sens de la fête et surtout de Hors normes. Mathieu Amalric et Jonathan Cohen tirent, un peu, leur épingle du jeu.

Hier sur les quais e Pauillac en Gironde, ce film a été programmé en avant première.
Il est excellent, les comédiens , l accompagnement musical, le thème, le casting, . Chaque scène est un moment de finesse et d humour.
Il mérite les cinq étoiles 🌟

Très déçu. Seul Jonathan Cohen arrive à nous faire décrocher un rire de temps en temps. Scénario bancal …problème de rythme… on se demande quel est le but de tout ça…

Une comédie sur deux thèmes sérieux interdépendants (le surendettement menaçant les individus et la surconsommation menaçant la planète). C’est un ton badin, ironique et gentiment moqueur qui a été choisi. Agrémenté, dans les dialogues et les situations, de quelques piques sarcastiques et caustiques sur les militant(e)s dits activistes. Quelques répliques « pince sans rire » (ironie à froid) resteront cultes. Ne vous levez pas avant la dernière image du générique de fin. Quelques scènes supplémentaires y sont incrustées. Et l'illustration musicale avec une interprétation jazz (pas eu le temps de noter de qui) de "Ne me quitte pas" pas désagréable du tout aux oreilles bien qu'a priori sans trop de rapport avec le scénario.

Pas le film le plus drôle ni le plus émouvant du duo mais peut-être le plus engagé. Un film qui prouve, s'il en était encore besoin, que Nakache et Toledano ont un vrai talent pour la comédie et la comédie sociale. Les dialogues sont malins, les situations cocasses, les personnages à la fois détestables et touchants, les acteurs convaincants. Une excellente comédie.

"Une année difficile" des réalisateurs Éric Toledano et Olivier Nakache (Intouchables) est une comédie sociale qui se regarde. En effet même si j'ai trouvé le film bien long (1h58), que parfois l'histoire se perd en cours de route et que le dénouement m'a laissé perplexe, le casting 5 étoiles du film (Noémie Merlant, Pio Marmaï, Mathieu Amalric, Jonathan Cohen) ainsi que les thématiques actuelles abordées (surendettement, surconsommation, écologie, militantisme) en font un film sympathique.

Ce nouveau long-métrage du duo Toledano-Nakache passe beaucoup plus inaperçu dans l’actualité cinématographique du moment. Il ne faut pourtant pas faire la fine bouche et constater, qu’une nouvelle fois, l’exceptionnel savoir-faire de ces réalisateurs ne se dément pas. La séquence introductive du film est là pour le rappeler. Ce petit moment Black Friday filmé en slow motion est un vrai délice visuel. Le scénario concocté autour de la thématique écologique est particulièrement malin. Les militants sont présentés avec tendresse, mais également sans complaisance. L’équilibre était difficile à trouver pour ne pas tomber dans la caricature, mais le long-métrage y parvient habilement. Avec un casting d’enfer, Jonathan Cohen et Pio Marmaï pour l’aspect pure comédie, Noémie Merlant pour l’aspect revendicatif, et Mathieu Amalric pour le pur second degré, on passe un moment délicieux avec ces interprètes de talent. Une petite intrigue financière accessoire vient ponctuer le scénario. Elle apporte quelques notes d’humour supplémentaires, mais le film aurait aussi pu s’en passer sans que cela change grand-chose à la finalité globale du récit. Mais c’est surtout un des tous premiers films à présenter cette génération de jeunes sensibles aux questions écologiques. Et, en cela, Toledano et Nakache font preuve d’une prise de risque et d’une audace qu’il faut saluer. Et d’autant plus qu’ils ne galvaudent pas leur style lumineux, leur humour, et qu’ils nous proposent donc un nouveau long-métrage très réussi.

Encore une comédie réussie pour le duo phare de la comédie à la française. Et pourtant il n’était pas simple de faire rire sur le thème du surendettement. D’ailleurs les premières scènes (le Black Friday) ne prêtent pas à rire. On se demande si on rentre dans un film social. Et puis la mécanique du rire arrive quand les 2 héros découvrent une association de militants écolos. Et là on comprend pourquoi Libe et Télérama n’ont pas aimé le film, car l’irruption de nos deux trublions dans ce groupe est l’occasion de scènes décalées et drôles. Le film égratigne ces jeunes activistes, qui répètent des éléments de langage tout préparés et dont les actions d’incivilité paraissent dérisoires. Cependant la satire n’est jamais méchante, on est proche de Klapisch. La fin du film est une trouvaille mais elle donne l’impression que l’héroïne sort d’un long tunnel de militantisme pour revenir dans la vie réelle, celle de l’amour et des belles choses. On peut le voir comme une critique du fanatisme écologique, mais c’est plutôt simplement une comédie dans l’air du temps. Tous les acteurs sont très bons, avec une mention spéciale pour Jonathan Cohen, hilarant et qu’on a envie de revoir vite. Pio Marmai et Noémie Merlant sont également excellents. Au final, malgré quelques longueurs, le film est comme les acteurs : attachant à voir.

Toledano et Nakache sont des malins. Ils savent trouver les thématiques du moment et en faire des comédies populaires.
Tout le monde en prend pour son grade dans cette histoire. Personne n'est tout à fait celui où celle qu'il prétend être. Et chacun essaie de se dépêtrer d'un quotidien dans lequel il est coincé.
Ce qui est une source bien connue de moments comiques
Le reste est une question d'habileté. Et la mise en scène, le casting et le scénario emportent le morceau.
Mention spécial à Mathieu Amalric dans un second rôle savoureux de conseiller en surendettement faussement repenti.
Une bonne comédie.

Un film vide comme une coquille de noix après la visite d'un écureuil !
Le duo NAKACHE-TOLEDANO a été bien peu inspiré avec ce film brouillon et mal filmé traduisant un pauvre scénario qui à part ridiculiser les pauvre écolos (ce qui n'est pas bien difficile ....) ne fait pas apparaitre grand chose d'émouvant!
Jonathan Cohen confirme qu'il est bien la plus grosse escroquerie du comique français (toujours le même perso navrant ....) et Pio Marmai ,ayant le vent en poupe en ce moment,nous est servi à toutes les sauces du cinéma français!
Un film sans but qui enfonce encore un peu plus le comique à la française .

j'ai adoré le film,
j'ai eu la chance de le voir en avant-première avec la présence des réalisateurs et de Jonathan Cohen
c'est un très beau film qui passe un beau message sur la surconssomation que nous fesons c'est un film avec des moment droles comme des moments touchant j'ai beaucoup aimé l'histoire et le message qu'il voulait passer a travers le film
c'est un film tout public je le recommande fortement!
vive le cinéma Français !!

Toledano Nakache nous avaient habitué à mieux. Dans une année difficile, nous suivons un groupe de militants écologistes qui mènent des actions afin de sensibiliser le monde face aux dégâts provoqués par le changement climatique. La partie sur leurs actions sont plutôt correctes hormis les surnoms grotesques dont ils s’attribuent. Mais le bat blessé lorsque l’on découvre les personnages principaux du film : Albert et Bruno, respectivement incarnés par Pio Marmai et Jonathan Cohen. Ces derniers enchaînent les galères d’argent et profitent des rendez vous militant pour manger et voler de l’argent, ou pour draguer. Leurs rôles décrédibilisent complètement le propos du film. On ne sait alors plus vraiment quel est le propos de ce long métrage. Autre incohérence de taille : la présence policière, très passive face aux actions… bien loin de la réalité. À l’image du reste.