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GabrielleTK
2 abonnés
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5,0
Publiée le 1 septembre 2023
Vu en avant-première, avec la visite des réalisateurs. Merci à eux. Merci pour tous leurs films. Ce dernier est drôle et sérieux, et comme toujours, c’est du bon cinéma. L’argent, celui qui pourrit tout, celui qui manque souvent, le volé, le trop dépensé, l’anxiété écolo, la destruction de la planète, le militantisme, la politique, et j’en passe. Nous avons beaucoup ri dans la salle bondée, c’est vrai… Beaucoup ri des autres et peut-être aussi de nous-mêmes. Ne jamais se prendre au sérieux, même si c’est plus facile à dire qu’à faire. Un bon film qui nous permet de prendre quelques distances avec le quotidien et avec les maux de notre société. Ça va aller. Merci à mon cinéma. Merci au Cinéma.
Bon, fallait bien que ça m’arrive un jour : voilà le premier « Tolédano/Nakache » qui me déçoit. L’histoire ? Deux branl… surendettés (interprétés par Pio Marmaï et Jonathan Cohen) et ne faisant absolument rien pour s’en sortir, bien au contraire, croisent fortuitement un groupe d’activistes climatiques très « parigos-bobos ». Et alors ? Bin, pas grand chose. Les deux pieds nickelés cherchent à boire et à bouffer à l’œil tout en rendant de menus services aux activistes… mais juste pour se faire un peu de pognon en douce et tenter de trafiquer grossièrement leur dossier de surendettement à la Banque de France. Les activistes s’activent… et finissent souvent au commissariat. spoiler: L’un des deux compères tombe amoureux de « l’activiste en chef » (interprétée par Noémie Mérlant), l’autre accepte de jouer les gigolos avec une autre activistes (« vieille et moche »), moyennant le gîte et le couvert . Fin. Mais quel lièvre voulaient poursuivre les réalisateurs ? Dénoncer la « société de consommation » qui conduit au surendettement ? Bin c’est loupé, car les deux surendettés (voire les trois, avec le personnage interprété par Mathieu Amalric accro aux jeux d’argent) sont de vraies têtes à claques qu’on n’arrive pas à plaindre une seule seconde. Dénoncer le dérèglement climatique ? la société de surconsommation ? l’inaction gouvernementale ? Bof, la ficelle est un peu grosse. Ou l’on fait une comédie sociale, ou l’on fait une comédie burlesque, ou l’on fait une comédie sentimentale, ou l’on fait un film politique… mais les quatre en même temps, ça ne fonctionne pas, mais alors pas du tout. Le vrai problème de ce film, c’est que ces histoires parallèles (individuelles et politiques) ne s’imbriquent pas. On n’y croit pas. Il n’y a finalement aucun fil conducteur, aucune « morale » à tirer de cet « affrontement » entre ces deux personnages et le soi-disant message politique. La fin du film spoiler: (avec en fond sonore, la valse à mille temps de Brel) qui se veut être un moment de poésie (ou onirique ?) tombe comme un cheveu sur la soupe et donne l’impression de tirer sur la péloche. Oui, à force de vouloir courir après plusieurs lièvres à la fois, Tolédano /Nakache n’en n’ont attrapé aucun. Reste un quatuor de très bons interprètes (Cohen, Marmaï, Amalric et Mérlant), et aussi de très bons rôles secondaires (Grégoire Leprince-Ringuet, par exemple)… mais ça ne suffit hélas pas à désensabler, à sauver le film.
Eric Tolédano et Olivier Nakache excellent dans la comédie sociale. Ils savent raconter les vies, les passions, les engagements et les déceptions avec beaucoup d'humour et d'optimisme. Ce nouveau film ne déroge pas à la règle et c'est avec délectation que l'on suit les aventures et les saillies drôlatiques du duo Jonathan Cohen - Pio Marmai. Le film est très réussi, grâce à un scénario bien huilé, une parfaite maîtrise du rythme et de la mise-en-scène. Pour autant, on pourra reprocher une approche un peu caricaturale du sujet abordé. Confronter l'urgence de la fin du mois à celle de la fin du monde est une idée très pertinente ; c'est le noeud gordien dont les mouvements écologistes peinent à venir à bout. Mais de ce questionnement politique, il ne ressort finalement aucune ébauche réponse, juste le prétexte à une bonne comédie avec un Pio Marmaï, un Jonathan Cohen et surtout une Noémie Merlan caricaturaux dans leurs rôles respectifs de paniers percés et d'écoféministe. Soyons clair : le résultat est très agréable. C'est une excellente comédie, à la hauteur d'Intouchable... mais malheureusement moins subtile et moins militante que le génial "Hors norme".
Vu en Avant première avec la présence des réalisateurs pour le début du film. Le film est du grand Éric Toledano et Olivier Nakache (Aka mes reals français préférés) qui réussissent ENCORE à trouver un thème original et touchant : Le Surendettement. Pio Marmaï et Jonathan Cohen vivent surendettés et vont chercher de l'aide dans une association mené par un ancien rival de James Bond, Matthieu Amalric. La suite c'est dans le pitch.
Le film est très marrant avec l'humour habituel des deux réalisateurs ainsi que l'acting comique légendaire de Cohen. Il reste néanmoins touchant de part le ressenti de la situation de dette transmis mais aussi dans le dévouement des activistes du climat. Sujet des activistes écologique presque contreproductif au vus des vannes sur le sujet mais on peut en faire abstraction puisqu'elles sont presque vrais. Bref un film touchant, instructif, dénonciateur et désopilant. Une grande réussite qui le classe néanmoins dans le bas de mon classement Toledano Nakache à cause de son thème écologique qui ne m'intéresse guère et peu original ces derniers temps.
Pour avoir aveuglément cru en la qualité de la signature Toledano / Nakache, je me suis ennuyée deux heures non stop devant cette ridicule digression sur les élucubrations d'écolos bobos et de deux surendettés malhonnêtes et bêtes. Pas une once d'humour hormis l'intro ! Amère déception après "En thérapie", "Hors normes" et "Intouchables"...
un scénario, qui tient sur un papier cigarette, pendant une heure et demie, des dialogues sans intérêt, c'est un film militant absolument primaire, sans subtilité, ni émotion...J'ai pensé à autre chose pendant une heure et demie, un vrai gâchis de mon temps??? Allez y pour les dernières vingt minutes, vous ne raterez rien, les personnages n'ayant aucun intérêt, même leur histoire d'amour est ratée, seule la chanson des Doors " this is the end" donne l'impression d'un message, Bilan, c'es-t vraiment foutraque, passez votre chemin
Une année difficile est un bon film. Jonathan Cohen et Pio Marmai est un tandem qui fonctionne bien, leurs rôles restent assez semblables à eux-mêmes mais cela va bien avec l'histoire. Cependant leurs personnages manquent tout de même de profondeur pour pouvoir être plus appréciés. Noémie Merlant reste très convaincante. L'histoire reste un peu fouillis même si on s'y retrouve à la fin. On est tout de même emporté par le divertissement et la morale du film qui nous touche en plein cœur.
Au ras des pâquerettes ! Film lourdingue Humour niais. Ce film est mal écrit, poussif. Ne perdez pas votre temps : Faites autre chose de vos deux heures.
La seule chose bien : la musique de la bande originale.
Le film est nul je viens de quitter la salle avant la fin. Après des bons films comme samba, le sens de la fête, hors norme qu'est-il arrivé aux deux cinéastes ? Ne dépensez pas 13 euros pour aller voir un film insignifiant. Quelle déception. Le masque et la plume avait raison. Allez plutôt voir anatomie d'une chute ou un métier sérieux sans oublier Bernadette.
Désolant, loin de Hors normes et du Sens de la fête. On rit un peu au début et ça s'essouffle très vite devant un scénario trop prévisible, une bande son prétentieuse et inadaptée. La caricature des écolos bobos activistes ne fonctionne pas. La galère du surrendettement pourtant bien décrite tourne en rond. L'histoire d'amour est grotesque. Seul pour moi le personnage joué par Amalric surnage dans cet océan de clichés.
Une année difficile et un visionnage qui l’a été tout autant en ce qui nous concerne… C’est lourd et plat à la fois. Aucune émotion. Le message n’arrive pas à passer. Mais au fait, quel message? J’étais heureuse de voir arriver le générique de fin.
Après nous avoir déjà régalé avec certains films excellents comme "Intouchables" ou "Hors Normes" pour ne citer qu'eux, le duo Eric Toledano / Olivier Nakache nous propulse ici au coeur d'une bande d'activistes écolos, mais avec l'humour et la légèreté qu'ils savent subtilement manier. Certains passages sont vraiment brillants, voire jubilatoires (la scène du Black Friday au ralenti sur "La Valse à mille temps" de Jacques Brel est un bijou d'humour noir). La dernière demi-heure m'a moins subjugué, alternant le burlesque presque "too-much" (la séquence dans la Banque de France) et un final poético-optimiste un peu trop "Happy-End" attitude. Un bon divertissement, dans lequel Jonathan Cohen est délicieusement hilarant ! Site CINEMADOURG.free.fr
Le film est d'un comique très vivant, avec de bonne blague, sans parler du jeu des acteurs qui formidable, de plus le film parle de vrai problème écologique. Tout est réussi ici, bravo
« Une année difficile » est le dernier film du duo d’auteur réalisateur Nakache & Toledano. La formule est connue et éprouvée. Traiter d’un sujet de société par le biais du divertissement et avec le renfort de solides têtes d’affiches. Handicaps (tétraplégie, Autisme), précarité (extras de la restauration, travailleurs sans papier) et ici urgence climatique. Ce cocktail fonctionne parfois (« Inséparables », « le sens de la fête »), d’autre fois moins (« Samba » qui avait tapé à côté sous couvert de nous éveiller à la condition des sans papier avec d'énormes clichés).
Avec "une année difficile", je pense que le duo touche les limites de leur modèle de dramatainment.
Albert et Bruno (interprétés respectivement par les très bons Pio Marmai et Jonathan Cohen) sont surendettés et en bout de course, c’est dans le chemin associatif qu’ils empruntent ensemble qu’ils croisent des jeunes militants écolos. Plus attirés par la bière et les chips gratuites que par leurs arguments, ils vont peu à peu intégrer le mouvement sans conviction…
Le film se paye donc à moindre frais les échoués de la surconsommation mais fournit tout autant une peinture légèrement cynique des mouvements écolos actuels.
Les leaders sont souvent des petits bourgeois parisiens diplômés d’école de commerce et qui semblent obsédés par la communication avant l’action profonde. D’ailleurs aucun profil de militant sincère ne ressort de leur observation de ce milieu.
Albert et Bruno surconsommateurs assez cyniques et qui comptent tirer partie du mouvement pour s’enrichir sur son dos ne sont que très mollement tancés et même si à la fin du film une scène de 30 secondes règle son compte à l’un d’entre eux c’est mou, très mou. Le film n’aura fait changer aucun des deux ou si peu ( mais je ne peux pas tout révéler ).
C’est simple, on sort de ce film sans aucune indignation climatique et on se dit que « tout le monde il est con tout le monde il est gentil » dans une belle inversion des valeurs.
Je vous épargne tous les clichés enfilés comme des perles, de la vieille militante écolo moche poursuit de ses assiduités Bruno au chef des militants qui semble obsédés par la qualité des photos et des vidéos qu’il réalise lors des actions du groupe.
Conclusion : si vous pensez voir un film qui va vous faire réfléchir sur l’état actuel de la planète, passez votre chemin car il y a clairement mensonge sur la marchandise.
Restez sur l’idée que c’est une comédie gentillette qui se laisse regarder pour ses petits gags répartis assez régulièrement dans le récit
très très déçue par ce dernier film des réalisateurs que j'apprécie d'habitude beaucoup Je me suis ennuyée ferme, les dialogues sont pauvres, on dirait que le film a été baclé, et le mouvement de rébellion contre la sur consommation est tourné en ridicule.