Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette comédie prouve qu’Olivier Nakache et Eric Toledano ont conservé leur don pour amuser et questionner.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par J-P. G.
C'est drôle, tendre, avec, au passage, quelques coups de rapière aux travers de la société.
Elle
par Françoise Delbecq
Léger excès de bons sentiments ? Certes. Mais un film drôlement dans l'actualité.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un film drôle, parfois même très drôle, qui s’appuie sur de vrais sujets de société en les traitant avec une distance amusée.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Une année difficile" confirme la constance d’Eric Toledano et d’Olivier Nakache comme fins observateurs et metteurs en scène de leur temps.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le fou rire est au rendez-vous. Les auteurs ont pris des risques. Il va falloir tenir le rythme. La vérité oblige à dire qu'ils s'en sortent avec brio. Bienvenue, donc, en 2023. Les temps sont durs. Toledano et Nakache signent ici la comédie du surendettement.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Une comédie sociale qui sonne juste.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Même si leur nouveau film est loin d'atteindre les sommets du genre, Une année difficile nous réjouit avec son scénario efficace, ses dialogues vachards et ses acteurs impeccables.
Marie Claire
par Juliette Hochberg
Éric Toledano et Olivier Nakache ont définitivement la recette de la comédie sociale, celle qui nous fait rire, nous émeut, et nous questionne en même temps.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Nathalie Lecornu-Baert
Un film à la fois drôle et profond.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
On les savait pétris de talent mais on ne s’était pas encore rendu compte à quel point Olivier Nakache et Éric Toledano avaient le sens de la tragi-comédie et de la satire sociale.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 2 semaines
par Yoann Jenan
une fois encore, Olivier Nakache et Eric Toledano brillent par leur capacité à imaginer des personnages pleins de vie.
Télé Loisirs
par Yoann Jenan
Une belle réussite !
CNews
par La rédaction
Servie par une belle brochette d’acteurs, « Une année difficile » n’est en revanche pas exempt de défauts, avec quelques situations ubuesques et un scénario qui s’essouffle un peu. Mais le principal est ailleurs et en cette période morose, cette satire nous met du baume au cœur.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une année difficile s’emploie à faire tenir ensemble, dans un équilibre précaire mais résolument optimiste, fin du mois et fin du monde, soit la perspective d’une survie meilleure. La bataille est engagée.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Le début du film est trépidant, avec l’assaut d’une grande surface par des surconsommateurs déchaînés un jour de Black Friday, et la fin (...) belle comme un lever de soleil sur l’eau.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Éric Toledano et Olivier Nakache signent une satire sociale qui bouscule gentiment aussi bien la surconsommation que la décroissance. Mais leur comédie, bien calibrée, manque un peu de mordant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Ça ne plaira pas à tout le monde. Force est de reconnaître que le grand écart entre les deux problématiques est parfois acrobatique. L’humour met de l’huile quand les rouages se grippent. La force des réalisateurs, c’est de savoir émouvoir quand il le faut.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Pio Marmaï et Jonathan Cohen incarnent deux losers surendettés pris au piège du crédit facile, qui se greffent opportunément à un groupe d’activistes écologistes anticapitalistes, emmenés par Noémie Merlant, révoltée radicalisée sur la planète qui ne tourne pas rond. Le trait appuyé n’est pas loin de la caricature.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Une comédie foncièrement optimiste qui fait du bien.
Le Monde
par J. Ma.
La première de ces opportunités permet aux réalisateurs d’installer un choc comique entre les deux pieds nickelés irrécupérables (...). La seconde, d’un type de drôlerie plus retors, a pour essentielle vertu d’introduire le personnage d’Henri (Mathieu Amalric), animateur de séances de sevrage aux méthodes impeccables (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Si on ne sait pas vraiment sur quel pied danse cette comédie, elle n’en reste pas moins drôle, grâce à l’abattage de Pio Marmaï et Jonathan Cohen, parfaits en héros escrocs.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Philippe Rouyer
Les auteurs prennent pour héros des monstres, dans la grande tradition de la comédie italienne, et ont du mal à connecter le rire et l’émotion, le cynisme et l’utopie. Il s’agit là pourtant d’une comédie bien ouvragée [...].
Première
par Damien Leblanc
Bien que le film patisse ici et là de quelques défauts dans sa peinture politique comme dans son intrigue sentimentale, le duo Toledano-Nakache assure l’essentiel : faire de la comédie un stimulant poste d’observation contemporain qui appelle à la prise de conscience. Et à ce titre occupe vraiment une place à part dans le cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Stéphane C. Jonathan
(...) la huitième réalisation signée Toledano-Nakache passe un peu à côté de son sujet et trébuche sur la fin. Pour autant, elle ne manque pas de charmes.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Samuel Douhaire
POUR : L’évocation très documentée de la spirale du surendettement est réussie, grâce, notamment à Mathieu Amalric, vraiment drôle en militant associatif d’autant plus dévoué aux « junkies » des crédits à la consommation qu’il est, lui-même, accro au casino (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Divertissant, énergique et pétri d’humanité, le nouveau film de Toledano et Nakache pèche par un scénario à la limite de l’invraisemblance, au risque d’être cousu de fils blancs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Le film se désunit et expérimente différentes tonalités sans vraiment trouver la sienne propre, proposant finalement un portrait kaléidoscopique de la comédie française contemporaine.
Critikat.com
par Josué Morel
Si Une année difficile est le symptôme de quelque chose, au-delà de ce que recouvre le système Toledano-Nakache, c’est bien de l’impossibilité à imaginer aujourd’hui une société en mesure de relever les défis du réchauffement climatique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Sophie Joubert
Malgré quelques bonnes idées de mise en scène, les cinéastes ne parviennent pas à faire croire à un scénario hors-sol qui caricature autant la militante écologiste, propriétaire d’un 200 mètres carrés boulevard de Courcelles, que la France des pavillons et des fins de mois difficiles.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Le huitième film de Toledano et Nakache souffre de grosses faiblesses d’écriture, en partie compensées par le savoureux tandem Marmaï / Cohen.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Cette fois, malgré la qualité des interprètes, la greffe ne prend pas : il y a comme un parfum artificiel et les ficelles sont bien épaisses.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
À défaut d’avoir grand-chose à dire de la fin du mois et de la fin du monde, Toledano et Nakache s’embourbent dans des réflexes scénaristiques sentimentaux passablement dépassés, en décrétant que le personnage de Pio Marmaï tombe raide dingue de la jeune activiste, afin que tout le récit se reparamètre à l’aune d’un jeu de séduction prémâché.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
La comédie avec Pio Marmaï, Jonathan Cohen et Noémie Merlant suit un trio de militants écologistes aux aventures conformistes à l’extrême, sur fond de lutte des classes affadie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Louis Guichard
CONTRE : Même le plus potache des divertissements a un sens politique, serait-ce à l’insu de ses créateurs. Celui-ci véhicule un message pour le moins à côté de la plaque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Cette comédie prouve qu’Olivier Nakache et Eric Toledano ont conservé leur don pour amuser et questionner.
Closer
C'est drôle, tendre, avec, au passage, quelques coups de rapière aux travers de la société.
Elle
Léger excès de bons sentiments ? Certes. Mais un film drôlement dans l'actualité.
Femme Actuelle
Un film drôle, parfois même très drôle, qui s’appuie sur de vrais sujets de société en les traitant avec une distance amusée.
Franceinfo Culture
"Une année difficile" confirme la constance d’Eric Toledano et d’Olivier Nakache comme fins observateurs et metteurs en scène de leur temps.
Le Figaro
Le fou rire est au rendez-vous. Les auteurs ont pris des risques. Il va falloir tenir le rythme. La vérité oblige à dire qu'ils s'en sortent avec brio. Bienvenue, donc, en 2023. Les temps sont durs. Toledano et Nakache signent ici la comédie du surendettement.
Le Point
Une comédie sociale qui sonne juste.
Les Echos
Même si leur nouveau film est loin d'atteindre les sommets du genre, Une année difficile nous réjouit avec son scénario efficace, ses dialogues vachards et ses acteurs impeccables.
Marie Claire
Éric Toledano et Olivier Nakache ont définitivement la recette de la comédie sociale, celle qui nous fait rire, nous émeut, et nous questionne en même temps.
Ouest France
Un film à la fois drôle et profond.
Paris Match
On les savait pétris de talent mais on ne s’était pas encore rendu compte à quel point Olivier Nakache et Éric Toledano avaient le sens de la tragi-comédie et de la satire sociale.
Télé 2 semaines
une fois encore, Olivier Nakache et Eric Toledano brillent par leur capacité à imaginer des personnages pleins de vie.
Télé Loisirs
Une belle réussite !
CNews
Servie par une belle brochette d’acteurs, « Une année difficile » n’est en revanche pas exempt de défauts, avec quelques situations ubuesques et un scénario qui s’essouffle un peu. Mais le principal est ailleurs et en cette période morose, cette satire nous met du baume au cœur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une année difficile s’emploie à faire tenir ensemble, dans un équilibre précaire mais résolument optimiste, fin du mois et fin du monde, soit la perspective d’une survie meilleure. La bataille est engagée.
L'Obs
Le début du film est trépidant, avec l’assaut d’une grande surface par des surconsommateurs déchaînés un jour de Black Friday, et la fin (...) belle comme un lever de soleil sur l’eau.
La Croix
Éric Toledano et Olivier Nakache signent une satire sociale qui bouscule gentiment aussi bien la surconsommation que la décroissance. Mais leur comédie, bien calibrée, manque un peu de mordant.
La Voix du Nord
Ça ne plaira pas à tout le monde. Force est de reconnaître que le grand écart entre les deux problématiques est parfois acrobatique. L’humour met de l’huile quand les rouages se grippent. La force des réalisateurs, c’est de savoir émouvoir quand il le faut.
Le Dauphiné Libéré
Pio Marmaï et Jonathan Cohen incarnent deux losers surendettés pris au piège du crédit facile, qui se greffent opportunément à un groupe d’activistes écologistes anticapitalistes, emmenés par Noémie Merlant, révoltée radicalisée sur la planète qui ne tourne pas rond. Le trait appuyé n’est pas loin de la caricature.
Le Journal du Dimanche
Une comédie foncièrement optimiste qui fait du bien.
Le Monde
La première de ces opportunités permet aux réalisateurs d’installer un choc comique entre les deux pieds nickelés irrécupérables (...). La seconde, d’un type de drôlerie plus retors, a pour essentielle vertu d’introduire le personnage d’Henri (Mathieu Amalric), animateur de séances de sevrage aux méthodes impeccables (...).
Le Parisien
Si on ne sait pas vraiment sur quel pied danse cette comédie, elle n’en reste pas moins drôle, grâce à l’abattage de Pio Marmaï et Jonathan Cohen, parfaits en héros escrocs.
Positif
Les auteurs prennent pour héros des monstres, dans la grande tradition de la comédie italienne, et ont du mal à connecter le rire et l’émotion, le cynisme et l’utopie. Il s’agit là pourtant d’une comédie bien ouvragée [...].
Première
Bien que le film patisse ici et là de quelques défauts dans sa peinture politique comme dans son intrigue sentimentale, le duo Toledano-Nakache assure l’essentiel : faire de la comédie un stimulant poste d’observation contemporain qui appelle à la prise de conscience. Et à ce titre occupe vraiment une place à part dans le cinéma français.
Sud Ouest
(...) la huitième réalisation signée Toledano-Nakache passe un peu à côté de son sujet et trébuche sur la fin. Pour autant, elle ne manque pas de charmes.
Télérama
POUR : L’évocation très documentée de la spirale du surendettement est réussie, grâce, notamment à Mathieu Amalric, vraiment drôle en militant associatif d’autant plus dévoué aux « junkies » des crédits à la consommation qu’il est, lui-même, accro au casino (...).
aVoir-aLire.com
Divertissant, énergique et pétri d’humanité, le nouveau film de Toledano et Nakache pèche par un scénario à la limite de l’invraisemblance, au risque d’être cousu de fils blancs.
Cahiers du Cinéma
Le film se désunit et expérimente différentes tonalités sans vraiment trouver la sienne propre, proposant finalement un portrait kaléidoscopique de la comédie française contemporaine.
Critikat.com
Si Une année difficile est le symptôme de quelque chose, au-delà de ce que recouvre le système Toledano-Nakache, c’est bien de l’impossibilité à imaginer aujourd’hui une société en mesure de relever les défis du réchauffement climatique.
L'Humanité
Malgré quelques bonnes idées de mise en scène, les cinéastes ne parviennent pas à faire croire à un scénario hors-sol qui caricature autant la militante écologiste, propriétaire d’un 200 mètres carrés boulevard de Courcelles, que la France des pavillons et des fins de mois difficiles.
Les Fiches du Cinéma
Le huitième film de Toledano et Nakache souffre de grosses faiblesses d’écriture, en partie compensées par le savoureux tandem Marmaï / Cohen.
Télé 7 Jours
Cette fois, malgré la qualité des interprètes, la greffe ne prend pas : il y a comme un parfum artificiel et les ficelles sont bien épaisses.
Les Inrockuptibles
À défaut d’avoir grand-chose à dire de la fin du mois et de la fin du monde, Toledano et Nakache s’embourbent dans des réflexes scénaristiques sentimentaux passablement dépassés, en décrétant que le personnage de Pio Marmaï tombe raide dingue de la jeune activiste, afin que tout le récit se reparamètre à l’aune d’un jeu de séduction prémâché.
Libération
La comédie avec Pio Marmaï, Jonathan Cohen et Noémie Merlant suit un trio de militants écologistes aux aventures conformistes à l’extrême, sur fond de lutte des classes affadie.
Télérama
CONTRE : Même le plus potache des divertissements a un sens politique, serait-ce à l’insu de ses créateurs. Celui-ci véhicule un message pour le moins à côté de la plaque.