Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Positif
par Nicolas Geneix
La créativité visuelle n'enchante pas la misère : elle outrepasse les limites du naturalisme. Énergie existentielle plus forte que tous les jeux, l'imagination se fait refuge et ressource [...].
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une œuvre noire, directe, dans les tréfonds du Nicaragua, où l’espoir de tout un pays s’invite à travers les yeux d’une petite fille merveilleuse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Sandra Onana
Sombre et surréaliste, le film de Laura Baumeister de Montis arpente les tragédies de la société nicaraguayenne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
De ce point de départ à vous briser le cœur, Laura Baumeister ne verse jamais dans le chantage lacrymal. Pas plus que son film ne se vit et ne se voit que comme la caisse- enregistreuse de la misère à l’œuvre dans ce coin du monde.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
La démarche, certes un peu appuyée, fait éclore un film singulier sur la lutte sociale au Nicaragua, pays ne produisant pas ou peu de cinéma — La hija de todas las rabias est le fruit d’une coproduction avec le Mexique, les Pays-Bas, l’Allemagne, la France et l’Espagne. Une découverte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par J. Ma.
Une proximité qui rappelle l’univers bunuélien du Mexicain Amat Escalante (Sangre, 2005) et irradie suffisamment la mémoire cinéphile pour rendre le film à la relative banalité d’une fable arty teintée d’onirisme et de féminisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
La créativité visuelle n'enchante pas la misère : elle outrepasse les limites du naturalisme. Énergie existentielle plus forte que tous les jeux, l'imagination se fait refuge et ressource [...].
aVoir-aLire.com
Une œuvre noire, directe, dans les tréfonds du Nicaragua, où l’espoir de tout un pays s’invite à travers les yeux d’une petite fille merveilleuse.
Libération
Sombre et surréaliste, le film de Laura Baumeister de Montis arpente les tragédies de la société nicaraguayenne.
Première
De ce point de départ à vous briser le cœur, Laura Baumeister ne verse jamais dans le chantage lacrymal. Pas plus que son film ne se vit et ne se voit que comme la caisse- enregistreuse de la misère à l’œuvre dans ce coin du monde.
Télérama
La démarche, certes un peu appuyée, fait éclore un film singulier sur la lutte sociale au Nicaragua, pays ne produisant pas ou peu de cinéma — La hija de todas las rabias est le fruit d’une coproduction avec le Mexique, les Pays-Bas, l’Allemagne, la France et l’Espagne. Une découverte.
Le Monde
Une proximité qui rappelle l’univers bunuélien du Mexicain Amat Escalante (Sangre, 2005) et irradie suffisamment la mémoire cinéphile pour rendre le film à la relative banalité d’une fable arty teintée d’onirisme et de féminisme.