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Par respect pour les équipes je ne rédigerai pas une critique monstrueuse.
Mais là... on est au stade du documentaire raté
Mais là... on est au stade du documentaire raté
Malgré une critique médiatiques affligeante, un vrai film historique.
Cela faisait bien longtemps que le cinéma français ne c'était si bien exprimé.
Malgré un petit budget il est maintenant prouver qu'il est possible de faire de la qualité.
Un jeu d'acteur irréprochable des décors réaliste un scénario et hop un bon film.
Bravos a canal + pour sa clairvoyance.
Cela faisait bien longtemps que le cinéma français ne c'était si bien exprimé.
Malgré un petit budget il est maintenant prouver qu'il est possible de faire de la qualité.
Un jeu d'acteur irréprochable des décors réaliste un scénario et hop un bon film.
Bravos a canal + pour sa clairvoyance.
Cela vaut-il la peine d’en parler ?
Vu, ce jour ce film de propagande dont les ficelles rhétoriques sont à peine dignes des séries télévisées de notre enfance (Thierry la Fronde, Ivanohé ou Thibaud ou les Croisades) à cette différence près cependant qu’on y joue plus mal encore.
La caution des historiens auxquels sont arrachés quelques mots en guise de prologue ne saurait suffire à lui donner une quelconque valeur de vérité. Certes, quelques faits sont donnés pour repères au service d’une hagiographie imbécile, ce qui n’en fait pas des vérités : qui est mieux placé d’ailleurs pour en juger qu’un catholique qu’on croit vouloir séduire ici, et qui mieux que quiconque doit savoir qu’« un petit peu de vérité », comme eût dit Claudel, n’est jamais qu’une hérésie, que la vérité est une et entière ou n’est point du tout. Mais, il est vrai, on a tellement dit au chrétien qu’il est étranger à la science qu’il a pu finir par le croire.
Passons cependant sur ce détail, et allons droit à l’essentiel.
Un film de propagande, disions-nous ? C’est ce qui a été dit par la presse, à juste titre, n’en doutons pas, presse à laquelle l’indigence de ceux qui ont participé à cette misérable production semble avoir voulu prêter le flanc, faute de la joue droite. Mais cette même presse, il faut bien l’avouer, n’est pas bien futée. Car la propagande incriminée est si mal faite qu’elle dessert ce que l’on croit ou souhaite faire croire qu’elle voudrait défendre. La royauté ? Il faut donc penser les royalistes tombés si bas que rien ne saurait leur parler sinon une triste caricature du talent, de l’unique talent d’ailleurs, de nos cousins d’outre-atlantique. Il est vrai que le discours monarchiste, depuis Maurras s’est considérablement appauvri, jusqu’à ne faire la différence avec du Rousseau — considérablement plus fin, en dépit du peu de sympathie que lui voue votre ci-présent serviteur —, nonobstant l’évocation ci et là du roi et du Créateur : on est à des lieues d’un Joseph de Maistre, d’un Châteaubriand, ou encore des admirables pages consacrées par Mgr Pie Évêque de Poitiers au grand saint Louis.
Voulait-on servir la religion ? Cela n’est pas avéré : elle y a peu de place, au point qu’on se demande où la presse a cru trouver dans ce sous-navet le moindre prosélytisme religieux. Certes, le sort fait aux prêtres réfractaires fut l’un des principaux motifs des guerres de Vendée, la cause est entendue, il était difficile aux réalisateurs de faire l’impasse sur ce fait, et ça s’arrête là. Quant à la spiritualité, ce n’est pas l’enflure des dialogues qui enchaînent les formules pompeuses dont toute la profondeur tient dans le vide de sens qui ne saurait faire illusion qu’aux bambins que nous fument lorsque nous nous délections devant « Les Dix Commandements ».
En conclusion, la cause des guerres de Vendée, première manifestation du totalitarisme moderne — est une chose trop sérieuse pour être à ce point maltraitée et en faire ainsi l’objet de risée de quelques journaleux sans culture et d’un public ignorant.
Vu, ce jour ce film de propagande dont les ficelles rhétoriques sont à peine dignes des séries télévisées de notre enfance (Thierry la Fronde, Ivanohé ou Thibaud ou les Croisades) à cette différence près cependant qu’on y joue plus mal encore.
La caution des historiens auxquels sont arrachés quelques mots en guise de prologue ne saurait suffire à lui donner une quelconque valeur de vérité. Certes, quelques faits sont donnés pour repères au service d’une hagiographie imbécile, ce qui n’en fait pas des vérités : qui est mieux placé d’ailleurs pour en juger qu’un catholique qu’on croit vouloir séduire ici, et qui mieux que quiconque doit savoir qu’« un petit peu de vérité », comme eût dit Claudel, n’est jamais qu’une hérésie, que la vérité est une et entière ou n’est point du tout. Mais, il est vrai, on a tellement dit au chrétien qu’il est étranger à la science qu’il a pu finir par le croire.
Passons cependant sur ce détail, et allons droit à l’essentiel.
Un film de propagande, disions-nous ? C’est ce qui a été dit par la presse, à juste titre, n’en doutons pas, presse à laquelle l’indigence de ceux qui ont participé à cette misérable production semble avoir voulu prêter le flanc, faute de la joue droite. Mais cette même presse, il faut bien l’avouer, n’est pas bien futée. Car la propagande incriminée est si mal faite qu’elle dessert ce que l’on croit ou souhaite faire croire qu’elle voudrait défendre. La royauté ? Il faut donc penser les royalistes tombés si bas que rien ne saurait leur parler sinon une triste caricature du talent, de l’unique talent d’ailleurs, de nos cousins d’outre-atlantique. Il est vrai que le discours monarchiste, depuis Maurras s’est considérablement appauvri, jusqu’à ne faire la différence avec du Rousseau — considérablement plus fin, en dépit du peu de sympathie que lui voue votre ci-présent serviteur —, nonobstant l’évocation ci et là du roi et du Créateur : on est à des lieues d’un Joseph de Maistre, d’un Châteaubriand, ou encore des admirables pages consacrées par Mgr Pie Évêque de Poitiers au grand saint Louis.
Voulait-on servir la religion ? Cela n’est pas avéré : elle y a peu de place, au point qu’on se demande où la presse a cru trouver dans ce sous-navet le moindre prosélytisme religieux. Certes, le sort fait aux prêtres réfractaires fut l’un des principaux motifs des guerres de Vendée, la cause est entendue, il était difficile aux réalisateurs de faire l’impasse sur ce fait, et ça s’arrête là. Quant à la spiritualité, ce n’est pas l’enflure des dialogues qui enchaînent les formules pompeuses dont toute la profondeur tient dans le vide de sens qui ne saurait faire illusion qu’aux bambins que nous fument lorsque nous nous délections devant « Les Dix Commandements ».
En conclusion, la cause des guerres de Vendée, première manifestation du totalitarisme moderne — est une chose trop sérieuse pour être à ce point maltraitée et en faire ainsi l’objet de risée de quelques journaleux sans culture et d’un public ignorant.
Ce film est hommage à la vérité, à l'histoire et au courage. Mille fois bravo. Il fallait un film comme celui ci pour l'honneur et la mémoire du génocide vendéen.
Super film ! Je recommande à tous !! Super émouvant... super jeu ! Des décors et des costumes géniaux ! Que le cinéma encourage ce genre de pépite ! Merci
Très bon film historique qui retrace à merveille les événements trop peu connus des guerres de Vendée. Le jeu des acteurs est tout aussi excellent. A recommander sans hésitation
tixou0
Une bonne introduction à la matière historique toujours vive et douloureuse des "Guerres de l'Ouest"
spoiler:
(sur la rive droite de la Loire, ce fut la Chouannerie, sur la rive gauche, la " Vendée militaire", qui comprenait le sud de la Loire-Inférieure, l'Anjou, le Poitou et le nord de la Vendée-même), entre 1793 et 1796 (plus quelques "répliques" en 1799, et même beaucoup plus tard, en 1815 et 1832 !). La guerre est une horreur, mais que dire quand elle est civile... et qu'elle évolue en atrocités systématiques sur des innocents... La Convention a bien diligenté les "Colonnes infernales", aux fins d'éradiquer les "brigands" vendéens, et toute leur "race" maudite - bien au-delà des héroïques combattants de l'improbable "Armée catholique et royale" dont on nous narre ici une (toute petite) partie des heurs et malheurs. Il s'agissait de massacrer une population entière, enfants, vieillards et femmes compris, non pour ce qu'elle faisait, mais pour ce qu'elle était : c'est la définition-même de ce que l'on appelle aujourd'hui un génocide (un "populicide", pour reprendre la dénomination babouviste - si l'on récuse le terme précédent, comme anachronique). La République est née et a prospéré en France sur le sang français : voilà qui est factuel. Les concepteurs du Puy du Fou entendent rendre hommage aux "Vendéens", avec ce premier film consacré à Charette (avec un seul "r") de la Contrie, l'une des plus remarquables figures de ces temps héroïques. Espérons qu'ils continueront leur oeuvre salutaire (palliant ainsi les "lacunes" de la non-Éduc' nat') de vulgarisation documentaire sur la Vendée militaire - avec, par exemple, un deuxième film sur "Monsieur Henri", le glorieux généralissime, comte du Vergier de la Rochejaquelein, mort au combat à 21 ans à peine, en janvier 1794 ("l'Archange de la Vendée" - celui du célèbre : "Si j'avance, suivez-moi, si je recule, tuez-moi, si je meurs, vengez-moi")... La critique pro, quasi unanime (comme c'est étonnant...), a descendu ce "Vaincre ou mourir" en flèche. Au-delà de son a priori idéologique, elle dénonce le quasi-navet, sur le simple plan cinématographique : avec une mauvaise foi majuscule ! La ligne scénaristique est certes simple, presque didactique - mais il s'agit d'éclairer le spectateur qui aborde ce pan de notre Histoire en total novice, le plus clair du temps (voir le rappel supra du peu d'empressement de l'école républicaine à enseigner honnêtement et complètement le sujet...) ! Le film n'est pas une fiction, mais une leçon d'Histoire, brossée avec réalisme, mais sans surcharge, et même avec un souci d'épargner les sensibilités (pas de "scène à faire" - qui aurait été insoutenable - du massacre des Lucs-sur-Boulogne, par exemple). Son architecture s'ordonne autour du personnage de Charette, dont on sait d'emblée (la courte introduction par historiens, dont l'incontournable Secher, passée) qu'il va mourir. Il repense, la veille de son exécution à Nantes, au déroulé des trois dernières années de sa (courte) vie. La voix "off", c'est donc la sienne, épisode après épisode : quoi de plus justifié (quand, souvent lu sous la plume "alerte" des détracteurs du film non-pros, "gênant", et autres fadaises). Hugo Becker fait, déjà au physique, un Charette convaincant (voir les portraits de ce dernier). Il sait aussi lui donner du souffle. Romanesque. L'ensemble de la distribution mérite l'approbation, d'ailleurs. Quant à la reconstitution des "scènes d'action", dont les batailles comme les embuscades (terreur des Bleus), elle mérite tous les éloges - suite logique de bons faiseurs en scénographie, celle du Puy du Fou.
Au bilan, si les débutants Paul Mignot et Vincent Mottez (ce dernier étant un habitué des "Secrets d'Histoire" du petit écran) n'ont pas (co)réalisé pour le grand écran une sorte de "Guerre et Paix" vendéen, ils n'ont pas démérité - à voir ! Quatre étoiles, d'encouragement.
Au bilan, si les débutants Paul Mignot et Vincent Mottez (ce dernier étant un habitué des "Secrets d'Histoire" du petit écran) n'ont pas (co)réalisé pour le grand écran une sorte de "Guerre et Paix" vendéen, ils n'ont pas démérité - à voir ! Quatre étoiles, d'encouragement.
Ce film est une pure merveille, avec un aussi petit budget un exploit à été réalisé.
La caméra est maîtrisée, les costumes d’époque, les décors ainsi que la mise en scène et le scénario sans fioritures vous fera passer un moment très agréable et inoubliable.
Charette y-est joué de façon subtile sans tomber dans le culte du super-héros.
Espérons qu’il y ait d’autres films de cette trempe dans les années avenirs.
La caméra est maîtrisée, les costumes d’époque, les décors ainsi que la mise en scène et le scénario sans fioritures vous fera passer un moment très agréable et inoubliable.
Charette y-est joué de façon subtile sans tomber dans le culte du super-héros.
Espérons qu’il y ait d’autres films de cette trempe dans les années avenirs.
Un film imparfait mais qui tient la route. On retiendra "Pourquoi j'irai me battre contre Mayence ?"
Un film magnifique. L'un des meilleurs que je suis allé voir depuis longtemps au cinéma (j'y vais environ 2 fois par mois). Ça fait du bien de voir l'autre côté du conflit déjà trop peu abordé de base à l'école, et quasiment uniquement su côté révolutionnaire.
Très bon film de Puy du Fou cinéma qui raconte l'histoire méconnue de CHARETTE pendant la guerre des chouans et la Vendée. Je recommande ce film.
Excellent film retraçant bien le courage de ces paysans, qui sont allés chercher des chefs parmi la noblesse.
On se rend bien compte de ce génocide contre le peuple vendéen
un grand bravo à ce film courageux !!!
On se rend bien compte de ce génocide contre le peuple vendéen
un grand bravo à ce film courageux !!!
Très bon film, plaisir à le regarder. Il retrace une partie de l'histoire méconnue de la moyenne, nous y retrouvons une âme patriote et combattante, prêt à tout pour sauvegarder leur identité.
Plaisir de regarder un film sur une partie méconnu de l'histoire de France. Agréable à regarder avec de bons acteurs.
Superbe film qui vous donne les larmes au yeux. C'est grandiose et en plus c'est un film Français. Malgré un budget très limité et un temps de tournage réduit, le réalisateur a fait un travail incroyable! Ce film n'a pas vocation à réimprimer les manuels scolaires mais bien de rendre hommage à ce héros et aux victimes du génocide Vendéen trop rarement évoqué. Enfin un devoir de mémoire qui nous concerne et sciement occulté par l'école de la république.
Le casting est bien choisi Hugo Becker que je ne connaissais pas est très bon, il est habité du même panache que notre héros Vendéen et quel plaisir de revoir Gregory Fitoussi et Damien Jouillerot qui est un acteur que j'estime beaucoup de part sa filmographie et son parcours
Le casting est bien choisi Hugo Becker que je ne connaissais pas est très bon, il est habité du même panache que notre héros Vendéen et quel plaisir de revoir Gregory Fitoussi et Damien Jouillerot qui est un acteur que j'estime beaucoup de part sa filmographie et son parcours
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