Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
L'Obs
par Xavier Leherpeur
On se croit dans un mauvais roman photo vaguement inclusif de la cause LGBT, mais qui n’apporte rien au débat.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une romance manquant sérieusement de perversité.
Télérama
par Nicolas Didier
L’interprétation, inégale, oscille entre moments spontanés et scènes artificielles – même avec le regretté Jean-François Stévenin, en figure paternelle bienveillante. Ce défaut affaiblit la réflexion sur l’homoparentalité confrontée à la masculinité toxique. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Entre nous raconte l’amour sous toutes ses formes à travers un portrait de deux jeunes femmes amoureuses, perturbées par l’arrivée d’un colocataire. Si l’idée est plutôt bonne, la mise en scène romantique et excessive en fait perdre tout l’intérêt.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Première
par Estelle Aubin
Le film reste téléfilm. À trop vouloir coller à l’ère du temps, il passe à côté de son sujet, caricature les clichés et finit mélo. Ou moraliste.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
On se croit dans un mauvais roman photo vaguement inclusif de la cause LGBT, mais qui n’apporte rien au débat.
Les Fiches du Cinéma
Une romance manquant sérieusement de perversité.
Télérama
L’interprétation, inégale, oscille entre moments spontanés et scènes artificielles – même avec le regretté Jean-François Stévenin, en figure paternelle bienveillante. Ce défaut affaiblit la réflexion sur l’homoparentalité confrontée à la masculinité toxique. Dommage.
aVoir-aLire.com
Entre nous raconte l’amour sous toutes ses formes à travers un portrait de deux jeunes femmes amoureuses, perturbées par l’arrivée d’un colocataire. Si l’idée est plutôt bonne, la mise en scène romantique et excessive en fait perdre tout l’intérêt.
Première
Le film reste téléfilm. À trop vouloir coller à l’ère du temps, il passe à côté de son sujet, caricature les clichés et finit mélo. Ou moraliste.