Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Dès que Zorn fait surgir un son, qu’il joue du saxophone, dirige un ensemble, arrange ou simplement compose, la caméra d’Amalric reste médusée. Cette béatitude admirative fait écho au sourire généreux qu’arbore Zorn en toutes circonstances, symbole d’une élation mystique selon laquelle l’abandon à la musique permet de redécouvrir l’intérieur de notre corps.
Les Fiches du Cinéma
par Jef Marcadé
En trois épisodes, conçus ces treize dernières années, Mathieu Amalric rend compte de l’univers musical du compositeur John Zorn. D’une grande humilité et d’une totale maîtrise, cette trilogie se présente comme un modèle en matière de documentaire musical.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Ce documentaire séduira les initiés et pourra donner envie aux autres de découvrir ses œuvres.
Première
par Gael Golhen
Ces trois films rappellent au fond que ce qui lie le cinéma d’Amalric et la musique de Zorn, c’est une même obsession pour le rythme, une énergie tellurique et débordante entièrement dévouée à l’art, et un appétit d’ogre pour la vie. Les fans doivent évidemment voir ça.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis-Julien Nicolaou
Comme son sujet, Amalric expérimente beaucoup, mais maintient une distance un brin amusée. Acceptant de s’égarer dans un monde où le moindre objet, la moindre rencontre sont prétexte à musique…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par S. G.
E-mails emplis de doutes, acharnement sur des notes qui se refusent à elle, e-mails du musicien puis arrivée de Zorn dans la salle de répétition au bout de 35 minutes de film : ils viennent à bout de ladite pièce ensemble. Ces works in progress monumentaux, jusque-là projetés lors des concerts (il y aura un « Zorn IV »), sortent enfin en salle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Cl. F.
Suit une heure d’intenses moments de recherche pour trouver la bonne texture, tenir une note, accélérer le tempo pour entrer dans le registre contemporain. A couper le souffle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Jacques Denis
"La perfection est statique, la musique dynamique" écrit Zorn dans un mail à Hannigan qui se sent désemparée et face à un mur insurmontable avec cette pièce de vingt-deux minutes qui la pousse "dans ses limites". Cette sentence en forme de haïku n’est pas sans résonner avec cet objet filmique, plus de trois heures pour tenter de saisir l’univers d’un avant-gardiste (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
Dès que Zorn fait surgir un son, qu’il joue du saxophone, dirige un ensemble, arrange ou simplement compose, la caméra d’Amalric reste médusée. Cette béatitude admirative fait écho au sourire généreux qu’arbore Zorn en toutes circonstances, symbole d’une élation mystique selon laquelle l’abandon à la musique permet de redécouvrir l’intérieur de notre corps.
Les Fiches du Cinéma
En trois épisodes, conçus ces treize dernières années, Mathieu Amalric rend compte de l’univers musical du compositeur John Zorn. D’une grande humilité et d’une totale maîtrise, cette trilogie se présente comme un modèle en matière de documentaire musical.
Ouest France
Ce documentaire séduira les initiés et pourra donner envie aux autres de découvrir ses œuvres.
Première
Ces trois films rappellent au fond que ce qui lie le cinéma d’Amalric et la musique de Zorn, c’est une même obsession pour le rythme, une énergie tellurique et débordante entièrement dévouée à l’art, et un appétit d’ogre pour la vie. Les fans doivent évidemment voir ça.
Télérama
Comme son sujet, Amalric expérimente beaucoup, mais maintient une distance un brin amusée. Acceptant de s’égarer dans un monde où le moindre objet, la moindre rencontre sont prétexte à musique…
L'Obs
E-mails emplis de doutes, acharnement sur des notes qui se refusent à elle, e-mails du musicien puis arrivée de Zorn dans la salle de répétition au bout de 35 minutes de film : ils viennent à bout de ladite pièce ensemble. Ces works in progress monumentaux, jusque-là projetés lors des concerts (il y aura un « Zorn IV »), sortent enfin en salle.
Le Monde
Suit une heure d’intenses moments de recherche pour trouver la bonne texture, tenir une note, accélérer le tempo pour entrer dans le registre contemporain. A couper le souffle.
Libération
"La perfection est statique, la musique dynamique" écrit Zorn dans un mail à Hannigan qui se sent désemparée et face à un mur insurmontable avec cette pièce de vingt-deux minutes qui la pousse "dans ses limites". Cette sentence en forme de haïku n’est pas sans résonner avec cet objet filmique, plus de trois heures pour tenter de saisir l’univers d’un avant-gardiste (...)