Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Libération
par Sandra Onana
Ce film est autant un document politique qu’une fable géographique, une affaire d’infiniment grand, où se raconte l’histoire immémoriale des hommes et des éléments.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Monde
par Clarisse Fabre
Occupant tout l’espace visuel, la nature et les parois rocheuses deviennent les témoins muets de toutes les actions humaines, et c’est ce qui rend le film passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Un documentaire délicat qui déjoue le piège du témoignage filmé et du film militant en utilisant habilement la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Le film parvient, dans un mouvement de va et vient entre différents régimes d’images (d’aujourd’hui, d’archives, de films), de voix (un militant identitaire, des habitants·tes de la vallée), à encapsuler les forces contraires qui s’agitent à l’intérieur d’un territoire naturel assailli par les ravages du capitalisme, un territoire qui vaut comme métonymie de l’humanité, pris entre une mythologie guerrière et le fantasme d’une utopie, celle de l’enfance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean-Loup Bourget
"Ceux de la nuit" sont invisibles et le demeurent dans le film, mais Sarah Leonor leur donne des voix, qu’elle confie à des acteurs. Essai poétique plutôt que récit, le film est structuré par ces témoignages, construits autour de la figure absente de Blessing Matthew, une migrante de 20 ans, égarée en tentant d’échapper à la police, [...].
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
“(Loin) d’évider le plan, Sarah Leonor le rend habité, et ce d’autant que différentes strates temporelles entrent en friction, ensevelissant les traces de vie ou, au contraire, les faisant apparaître. Contre les frontières qui bloquent mais aussi le passé qui fige, Ceux de la nuit se fait ainsi lieu de passages.”
L'Obs
par François Forestier
Entre le paysage des hautes cimes et le besoin de liberté, Sarah Leonor trouve un ton unique, à la fois musical et fascinant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Thierry Chèze
Le parti pris est fort, le travail sur le son remarquable mais tout cela a tendance à laisser un peu trop à distance, comme par peur d'être trop dans l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Isabelle Poitte
Si l’on retient les mots percutants et rares des maraudeurs, le film déconcerte par son approche méditative, désincarnée, presque abstraite, qui dissone avec l’urgence des situations humaines et ses implications politiques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
Ce film est autant un document politique qu’une fable géographique, une affaire d’infiniment grand, où se raconte l’histoire immémoriale des hommes et des éléments.
Le Monde
Occupant tout l’espace visuel, la nature et les parois rocheuses deviennent les témoins muets de toutes les actions humaines, et c’est ce qui rend le film passionnant.
Les Fiches du Cinéma
Un documentaire délicat qui déjoue le piège du témoignage filmé et du film militant en utilisant habilement la fiction.
Les Inrockuptibles
Le film parvient, dans un mouvement de va et vient entre différents régimes d’images (d’aujourd’hui, d’archives, de films), de voix (un militant identitaire, des habitants·tes de la vallée), à encapsuler les forces contraires qui s’agitent à l’intérieur d’un territoire naturel assailli par les ravages du capitalisme, un territoire qui vaut comme métonymie de l’humanité, pris entre une mythologie guerrière et le fantasme d’une utopie, celle de l’enfance.
Positif
"Ceux de la nuit" sont invisibles et le demeurent dans le film, mais Sarah Leonor leur donne des voix, qu’elle confie à des acteurs. Essai poétique plutôt que récit, le film est structuré par ces témoignages, construits autour de la figure absente de Blessing Matthew, une migrante de 20 ans, égarée en tentant d’échapper à la police, [...].
Cahiers du Cinéma
“(Loin) d’évider le plan, Sarah Leonor le rend habité, et ce d’autant que différentes strates temporelles entrent en friction, ensevelissant les traces de vie ou, au contraire, les faisant apparaître. Contre les frontières qui bloquent mais aussi le passé qui fige, Ceux de la nuit se fait ainsi lieu de passages.”
L'Obs
Entre le paysage des hautes cimes et le besoin de liberté, Sarah Leonor trouve un ton unique, à la fois musical et fascinant.
Première
Le parti pris est fort, le travail sur le son remarquable mais tout cela a tendance à laisser un peu trop à distance, comme par peur d'être trop dans l'émotion.
Télérama
Si l’on retient les mots percutants et rares des maraudeurs, le film déconcerte par son approche méditative, désincarnée, presque abstraite, qui dissone avec l’urgence des situations humaines et ses implications politiques.