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Votre avis sur Mon père ce héros ?
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Ce film est tellement sous côté ! J'ai trouvé l'histoire simple et à la fois original , les gags sont excellent il y a aussi beaucoup de scènes touchante comme la scène [ Spoiler] sur la plage où Véronique exprime tout ce qu'elle a à dire jusqu'à la déclaration de son père ( une scène poignante ) [ fin du Spoiler] . Un chef d'œuvre pour moi Drôle , touchant, émouvant. Un film qui mérite beaucoup plus de succès !
J’ai une énorme affection pour ce film car il est, sous ses apparences sympathiques, très pointu sur les relations père fille.
Le duo Depardieu - Gillain n’est pas que drôle, il est aussi très touchant. Patrick Mille apporte un parfait contrepoint. En plus de la bluette adolescente passionnée qui rythme le film il y a aussi de très jolies leçons de vie et d’amour, très simples et très justes, distillées ci et là.
Alors oui ce n’est pas du Bacri Jaoui, nous sommes loin de l’acidité de Gainsbourg ou des dilemmes familiaux et amoureux shakespearien. Mais c’est la force du film : raconter des choses profondément essentielles avec beaucoup de douceur.
Le duo Depardieu - Gillain n’est pas que drôle, il est aussi très touchant. Patrick Mille apporte un parfait contrepoint. En plus de la bluette adolescente passionnée qui rythme le film il y a aussi de très jolies leçons de vie et d’amour, très simples et très justes, distillées ci et là.
Alors oui ce n’est pas du Bacri Jaoui, nous sommes loin de l’acidité de Gainsbourg ou des dilemmes familiaux et amoureux shakespearien. Mais c’est la force du film : raconter des choses profondément essentielles avec beaucoup de douceur.
Le film est très lambda, il ne se passe pas grand chose.
Je mets 2 étoiles pour Depardieu qui sauve au minimum ce film.
Je mets 2 étoiles pour Depardieu qui sauve au minimum ce film.
Shawn777
Alors, c'est vrai que ce film, réalisé par Gérard Lauzier et sorti en 1991, n'est pas franchement un chef-d’œuvre mais il fait tout de même partie de ces comédies légères qui nous font passer un bon moment ! En effet, à l'image de "La Boum" ou de "L'Étudiante" par exemple, c'est un film qui ne casse pas des briques, dont le propos n'est pas plus creusé que ça mais qui séduit par sa forme, simple mais efficace. C'est donc ici l'histoire d'une jeune fille qui part en vacances avec son père et qui fait passer ce dernier pour son compagnon afin de séduire et d’impressionner un garçon qu'elle vient de rencontrer. Ce genre de synopsis nous donne déjà une image très nette du film dans son ensemble. On sait que de nombreuses situations vont se prêter à des quiproquos, on sait qu'il va y avoir des scènes sorties d'un vaudeville et on sait bien-sûr qu'il va y avoir l'indéniable partie romance. Partie que je n'affectionne pas vraiment, je dois l'avouer, mais bon, étant donné que le film reste dans le thème fleur bleue tout du long, la romance n'est pas vraiment un élément qui dérange mais qui va de soi en s'intégrant parfaitement dans l'esprit du film. Si le film accumule quelques petites longueurs, il sait également se rattraper avec des scènes très drôles. Très drôles tout d'abord de par les situations que le scénario met en avant mais également de par le jeu des acteurs. Nous retrouvons effectivement ici Marie Gillain, Patrick Mille mais surtout Gérard Depardieu. Ce dernier nous offre ici un personnage touchant dont les courtes crises de colère ne peuvent que faire rire. Ajoutons à cela une B.O. très sympathique et "Mon père, ce héros" devient un film devant lequel on passe un moment très agréable !
L'idée de cette comédie (une fille fait passer son père pour son mari agent secret à son insu) est excellente, et est la source de l'immense majorité des situations drôles de ce film. Le comique de situation joue à plein, avec les quiproquos, les rumeurs dont sera victime le père. L'autre point fort de ce film est Depardieu, qui y trouve un rôle idoine de père bourru, pas toujours très sympathique mais dont on peut comprendre les emportements. Toutefois, il faut bien avouer que le film est souvent un peu lent, manque un peu de folie; j'aurais aimé qu'ils aillent plus loin dans ce jeu de dupes et dans les quiproquos; bref qu'ils exploitent un peu plus l'idée phare du film. Donc, au total on a un film avec une excellente idée, mais qui ne va pas tout à fait jusqu'au bout de sa logique...
Ah, les tracas de la paternitè! Une ado de quatorze ans en mal d'amour qui s'ennuie comme une pendule et son papa gâteau divorcè qui veille au grain et qui l'emmène pour des vacances sous les tropiques dont il se souviendra longtemps [...] Une comèdie douce-amère qui fête aujourd'hui ses trente ans et qui dissèque, mine de rien, les relations père-fille avec une tendresse infinie! Gèrard Depardieu, comme a son habitude, est formidable mais c'est Marie Gillain qui se rèvèle comme une futur grande comèdienne! L'humour ne faiblit jamais (« Vèro, viens voir la lune ! »), les mensonges de cette Lolita effrontèe à son papa bougon sont constants, et l'èmotion se fraye même un chemin dans le final! Une rèussite de Lauzier, sur fond de choc de gènèration, avec une très belle B.O! Remake dispensable en 1994 où Depardieu reprend (hèlas) le même rôle aux cotès de Katherine Heigl et Lauren Hutton...
Un de mes films francais preferé
Les acteurs excellents le scenar excellent
Seuls les boudeurs n apprecieront pas ce film tellement bon que les ricains nous l ont volé avec un remake nullissime malgŕe la prensence de magnum
Donc a voir pour ceux qui ont la chance de ne pas l avoir vu
Les acteurs excellents le scenar excellent
Seuls les boudeurs n apprecieront pas ce film tellement bon que les ricains nous l ont volé avec un remake nullissime malgŕe la prensence de magnum
Donc a voir pour ceux qui ont la chance de ne pas l avoir vu
Touchant et mignon, jolie voix de Marie Gillain qui avait 16 ans dans ce film avec la chanson "Sans Mensonge" et petit scénario entre un papa et une fille à l'île Maurice, revu ce soir sur Gulli, ça m'a fait plaisir de le revoir, Charlotte de Turckheim, Catherine Jacob, Patrick Mille sont de très bons seconds rôles... Et la chanson de fin de Gérard Depardieu "Ça va" avec cette voix, me donne des frissons... Bravo aux comédiens, une petite comédie tendre qui se laisse regarder et apprécier ça fait du bien
Le temps ou Depardieu était bel homme, ainsi que Marie Gillain, qui, dans la fleur de l'âge, est magnifique.
Un film sur les amourettes de jeunesse ou on sublime son image par quelques mensonges.
L'effet comique produit par les mensonges marche bien,
ce film se regarde sans trop d'efforts.
Un film sur les amourettes de jeunesse ou on sublime son image par quelques mensonges.
L'effet comique produit par les mensonges marche bien,
ce film se regarde sans trop d'efforts.
Je l’avais vu à sa sortie et n’en avais pas gardé un bon souvenir. J’étais alors jeune et sans enfant. Maintenant que je suis père d’une fille, je le revois différemment. Rassurez-vous, inutile d’être père et encore moins d'une fille pour apprécier ou non ce film. C’est une sensibilité qui ne se contrôle pas. Bref, ma fille qui est grande et loin de la maison ne s’est jamais conduite comme Véronique (Marie Gillain) durant son adolescence. Il est vrai que je ne l’ai pas emmenée à l’île Maurice ! Blague à part, revoir le film près de trente ans plus tard ne me le fait pas plus apprécier. A la limite, j’ai été plus accroché à partir du moment ou le père de Véro, campé par Gérard Depardieu, est mis dans la confidence de sa fille. L’idée aurait pu être sympathique et je me prends à imaginer qu'un Bertrand Blier aurait pu être plus sulfureux comme il a été avec « Beau père ». Mais Gérard Lauzier n’est pas Bertrand Blier et vice versa ! Avec l’âge et une fille en plus, je serai cependant moins sévère que dans ma jeunesse. Marie Gillain et Patrick Mille obtenaient là leur premier vrai rôle au cinéma. Une prestation très honorable et prometteuse. Malheureusement, ni l'une ni l'autre auront une carrière cinématographique très marquante pour le public. L'essentiel c'est qu'ils soient heureux de vivre leur profession d'acteur et peu importe les choix entrepris ou les sentiers empruntés. Si le duo Marie Gillain - Gérard Depardieu s’en sort bien plutôt bien, le duo Marie Gillain Patrick Mille me paraît plus décevant. Il faut dire que leur histoire d’amour est mal écrite. Comme le reste du film ! En plus l’Île Maurice est aussi mal filmée ! Lauzier aurait pu économiser le budget, cela aurait pu être réalisé n’importe où ! (Re) Bref « Mon père ce héros » est une carte postale aux paysages jaunis ; aucune envie de s'y balader...
Comédie agréable à voir en famille, avec des 10-15 ans. La petite Marie Gillain est magnifique, c est assez drôle, et puis c est une ode à la relation pere-fille...
Pfiou ce film est vraiment cool, drole et dramatique. Les dialogues sont super bien écrit et les acteurs géniaux.
Le début des années 90 marque l’entrée de Depardieu dans une quarantaine dont le cinéma lui demande d’assumer l’enbompoint et l’obsolescence. Bizarre de se rappeler de lui comme du voyou aux côtés de Tchernia, des deux Blier ou de DeWaere, quand c’est presque lui qui a à pâlir du rôle de Marie Gillain dont c’est pourtant la première expérience d’actrice.
Ces circonstances donnent lieu à une atmosphère de complicité bien rodée et spontanée entre les deux têtes d’affiche. Peut-être un peu trop, car il y a quelque chose d’un peu malsain à chercher les recoins humoristiques du mensonge, d’une méchanceté capricieuse, et du caractère exagérément soupe au lait de tous les personnages. L’île Maurice, démystifiée ou non, apporte un côté idyllique qui est amené sans délicatesse et qui ne se met à fonctionner que de lui-même. Heureusement, Lauzier avait la recette, maintenant perdue, des plus belles comédies françaises, ces drôleries mêlées de drame qui sont de jolis palindromes du divertissement.
Il pousse le bouchon trop loin, les couches de confusion s’entassant sans grâce, mais c’est aussi dans l’excès que Mon père, ce héros tire toute sa belle candeur romantique, toute sa conviction dans des interactions crédibles et qui fonctionnent, ce qui n’était pas non plus gagné d’avance avec un Gérard de part d’ours qui a pour « griffe » de rejeter la sensibilité en bloc. C’est vraiment bien vu de tirer de lui l’image d’un bon père en jouant sur les ficelles de la comédie. C’est limite, mais ça marche. On passera en vitesse sur une musique totalement tarte qui est raccord avec l’idée d’un club de vacances, lequel est le décor bien utilisé pour des couples d’acteurs pas très catholiques ni trop télephonés.
septiemeartetdemi.com
Ces circonstances donnent lieu à une atmosphère de complicité bien rodée et spontanée entre les deux têtes d’affiche. Peut-être un peu trop, car il y a quelque chose d’un peu malsain à chercher les recoins humoristiques du mensonge, d’une méchanceté capricieuse, et du caractère exagérément soupe au lait de tous les personnages. L’île Maurice, démystifiée ou non, apporte un côté idyllique qui est amené sans délicatesse et qui ne se met à fonctionner que de lui-même. Heureusement, Lauzier avait la recette, maintenant perdue, des plus belles comédies françaises, ces drôleries mêlées de drame qui sont de jolis palindromes du divertissement.
Il pousse le bouchon trop loin, les couches de confusion s’entassant sans grâce, mais c’est aussi dans l’excès que Mon père, ce héros tire toute sa belle candeur romantique, toute sa conviction dans des interactions crédibles et qui fonctionnent, ce qui n’était pas non plus gagné d’avance avec un Gérard de part d’ours qui a pour « griffe » de rejeter la sensibilité en bloc. C’est vraiment bien vu de tirer de lui l’image d’un bon père en jouant sur les ficelles de la comédie. C’est limite, mais ça marche. On passera en vitesse sur une musique totalement tarte qui est raccord avec l’idée d’un club de vacances, lequel est le décor bien utilisé pour des couples d’acteurs pas très catholiques ni trop télephonés.
septiemeartetdemi.com
Je m'amuse toujours autant lorsque je regarde ce film même si l'histoire est un peu naïve. Cela parle d'une adolescente qui part en vacances sur l'île de Saint Maurice avec son père et qui en voulant impressionner un garçon va créer la zizanie par tous ses mensonges. Les vacances s'annoncent mouvementées..
Les personnages sont tous haut en couleur mais attachants avec le papa aimant mais dépassé par sa fille en pleine crise de l'adolescence mais irrésistible, Benjamin qui croit tout ce que lui raconte la fille, le personnage de Catherine Jacob en tendre fêtarde qui essaie de flirter avec le papa, l'acteur du film Tanguy qui a bien la tête pour jouer l'ado surdoué.
Tout ce petit monde donne des scènes vraiment à rire (quiproquos, ski nautique rocambolesque, la maladresse de Gérard Depardieu qui essaie de calmer Catherine Jacob, Marie Gillain qui s'offusque d'être traitée de menteuse par celui à qui elle ment depuis le début).
Les personnages sont tous haut en couleur mais attachants avec le papa aimant mais dépassé par sa fille en pleine crise de l'adolescence mais irrésistible, Benjamin qui croit tout ce que lui raconte la fille, le personnage de Catherine Jacob en tendre fêtarde qui essaie de flirter avec le papa, l'acteur du film Tanguy qui a bien la tête pour jouer l'ado surdoué.
Tout ce petit monde donne des scènes vraiment à rire (quiproquos, ski nautique rocambolesque, la maladresse de Gérard Depardieu qui essaie de calmer Catherine Jacob, Marie Gillain qui s'offusque d'être traitée de menteuse par celui à qui elle ment depuis le début).
[Mon Père Ce Héros, 4/5] Les relations père-fille à l'adolescence, sujet délicat. Comment une jeune de 14 ans (et demi) s'imagine une relation amoureuse qui n'existe pas avec un homme qui l'aime (en tant que père) ? La toute jeune Marie Gillain est remarquable d'agacement dans sa folie adolescente. On a envie de la secouer pour qu'elle arrête ses conneries, tandis que Gérard Depardieu, instrument de cette folie, reste remarquable de tendresse malgré ce qu'il subit. Les personnages secondaires y vont de leur lot de mesquineries face à une relation qu'ils jugent sans la comprendre. Toute ressemblance avec une situation réelle est loin d'être fortuite...
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