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    La Femme de Tchaïkovski
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    137 critiques spectateurs

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    OSC4R _
    OSC4R _

    76 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 février 2023
    Ça faisait longtemps que je l’attendais.

    Le début est un peu difficile. Bien mais pas suffisamment passionnant. Ensuite c’est que du bonheur.

    La femme de Tchaïkovski est un excellent film pour les libertés qu’il prend vis à vis des genres, de la narration, de la mise en scène et du montage. Évidemment, avec Kirill Serebrennikov aux manettes.

    L’actrice principale est exceptionnelle. Elle joue tout en 2h20. Les autres comédiens excellent aussi mais c’est elle qu’on retiendra.

    La photographie est sublime et fonctionne parfaitement avec la mise en scène, les décors et les costumes. Chaque image est un tableau.

    C’est vivant, c’est original, c’est actuel, c’est émouvant, c’est drôle (étonnamment), bref c’est brillant.

    J’ai envie de dire que c’est un chef d’œuvre. J’ai envie de dire qu’il est parfait. Mais pas tout à fait.
    Patjob
    Patjob

    35 abonnés 606 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mars 2023
    Une histoire terrible que ce destin dramatique d’une femme qui vit dans une illusion, sans prendre en compte le réel. Cette histoire est très habilement contée, le réalisateur exploitant au mieux ces deux mondes : si certaines scènes au caractère onirique apparaissent clairement comme le fruit de l’imagination, du rêve ou du fantasme, d’autres se situent entre les deux et ce n’est que rétrospectivement que l’on en comprend certaines. Si la construction du film est classique, sa mise en scène est remarquable (trop ?) : travellings arrière, plans séquences virtuoses, contreplongées verticales… L’image extrêmement soignée, dans des teints ocres et des ambiances blafardes, et très expressive ; en quelques plans, explosent la misère, le dénuement physique et moral des déshérités de la rue. Tant par le fond psychologique (le glissement vers la folie par l’obsession et le déni du réel) et sociétal (la question de la place de la femme dans la société) que par la forme, « La femme de Tchaïkovski » est un film important.
    Pierre Mrdj
    Pierre Mrdj

    7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juin 2022
    Il ne s’agit sans doute pas du film de plus réussi de Kirill Serebrennikov : l’exigence de reconstitution historique assagit son propos, affaiblit ses effets formels. Mais il y gagne une certaine clarté narrative. Madame Tchaïkovski brûle d’un amour dévot, mais non réciproque, pour son mari, le célèbre compositeur. Tout le film est là : dans ce portrait âpre et illuminé d’une femme qui perd peu à peu l’amour rêvé. C’est elle qui cauchemarde, c’est elle qui se promène à travers les tableaux d’une époque miséreuse, dans les brumes de la ville. Monsieur Tchaïkovski, du même coup, disparaît. Sa présence se dissout dans les airs de piano, d’opéras, de ballets, qui rythment tout le film. Comme s’il hantait l’oreille du spectateur. C’est là le grand intérêt du drame : l’interpénétration du son et de l’image, du rêve et de la réalité ; la fluidité avec laquelle s’écoulent de longues périodes temporelles ; tout cela rêvé par la conscience malheureuse de l’épouse. On n’y retrouve pas toujours l’émotion attendue, mais quelques scènes magnifiques crèvent l’écran, au milieu des parfums irrespirables de la démence, de l’amour fou.
    Michèle G
    Michèle G

    44 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 février 2023
    Le nouveau film de Kirill Serebrennikov est d’une beauté cinématographique indéniable. Quelques plans séquences « à la russe », où plane l’ombre consciente ou inconsciente de Sokourov, nous entraînent sporadiquement dans de courtes valses étourdissantes. Certains plans du film renvoient aux tableaux du peintre danois Vilhelm Hammershoi et à cette atmosphère puritaine et austère que savait si bien décrire son compatriote, le cinéaste Carl Theodor Dreyer. Mais cette fois, les scènes sont en couleur et les corps dénudés.
    L’image est recouverte d’un voile vert mortuaire (couleur dominante) et la scène de rêve est magnifique. Autre scène sublime, celle où la virginité donnée par « dépit », devient une main ensanglantée caressant les touches du piano. Tout est là. Tout est dit. Une pause qui redonne un nouveau souffle. Un souffle de courte durée car la femme blessée poursuit sans relâche son acharnement vampirique, à vouloir « imposer » en vain et dans le déni son amour obsessionnel, là où jamais il ne pourra éclore, au cœur de cet univers masculin porteur d’une sensualité qu’elle n’aura jamais.
    En suivant volontairement la partition récurrente de ce personnage féminin, le scénario en devient presque trop linéaire, voire monocorde.
    Ce film a la même ambiguïté déconcertante que l’œuvre de Mishima « Les amours interdites » dont l’intelligence et la subtilité font qu’une femme, lectrice ou spectatrice, dépasse tout ce qu’il y a à dépasser, à commencer par cette dérangeante vision antinomique d'elle-même.
    Xacha07
    Xacha07

    7 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2023
    Nous sommes allés voir la femme de Tchaïkovsky au cinéma hier soir. c'est un film beau sur le plan esthétique avec des décors et des costumes de très bonne qualité. Ce film raconte la folie d'une femme qui idolâtre Tchaikovsky. Tchaikovsky, voulant récupérer une respectabilité pour masquer son homosexualité notoire, accepte cette transaction mais se voit déborder par le désir débordant de cette femme de devenir la vraie femme du maître. Le thème de l'homo sexualité est peu abordé. La musique est également très lointaine, de même que le rôle de Tchaïkovski. C'est surtout la folie qui est abordée. Beau film mais avec un je ne sais quoi d'incomplet.
    Framas54
    Framas54

    16 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2023
    Noirceur et sombritude !! Une tragédie grecque, ou plutôt comment l’âme russe résonne face à une situation désespérée.. le spectateur lui-même ne devra pas désespérer jusqu’au milieu du film, il fera face courageusement, car la dernière partie est limpide, cristalline même, on y voit se déployer le génie d’un grand réalisateur ! Les faiseurs de biopics, si répandus ces temps, devront s’imprégner de ce film avant de commettre des niaiseries..
    Félix MASSON
    Félix MASSON

    27 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 février 2023
    Je trouve qu'il y a des bonnes idées. Le passage des enfants est cool, le début est pas mal, les scènes de soirées avec le groupe select de Tchaïkovski sont cools, les acteurs jouent bien. Niveau mise en scène on a par moment vraiment le sentiment de sombrer dans la folie de Antonina avec notamment les plans séquences qui marquent une transition temporelle. La bande sonore est très bien et prend aux tripes. Mais le film est trop lent et beaucoup trop répétitif. On aurait envie de voir plus de création musicale, plus de Tchaïkovski. C'est un peu frustrant de rester du point de vue de la femme qui est enfermée dans sa situation. On a comme elle cette sensation d'enfermement et de non-évolution. La scène des gens à poils ? La scène finale ? Le chien eclopé ? La famille de Antonina ? L'incendie ? Ça fait too much et m'a fait rire. Il manque de puissance ce film et je pense que c'est dû a la lenteur de sa narration. Je pense que le film sort un peu tard. Si il avait été réalisé au début des années 2000 why not...
    lecinema_clem
    lecinema_clem

    49 abonnés 217 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 février 2023
    La Femme de Tchaïkovski rentre dans la catégorie des films poussifs, volontairement lents - parfois longs mais possédant un petit quelque chose accrocheur qui retiendra votre attention jusqu’à la fin. Et la prestation d’Aliona Mikhaïlova y est pour beaucoup. Elle est très touchante, en plus d’être talentueuse. Les 2h23 de film peuvent effrayer et faire quitter la salle à certains. Je ne recommande pas forcément. Sauf pour les plus mélomanes d’entre nous.

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    Poupée zoom
    Poupée zoom

    11 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 février 2023
    Sans doute un très beau travail d'images , de reconstitutions historiques. Il y a un esprit dans ce film, mais les plans séquences les gros plans , le bruit incessant font régner la confusion . Je ne comprends pas l'objectif , sinon de montrer l'acharnement d'une femme masochiste , et de l'enfoncer un peu plus , en la rendant inutile et lamentable dans tous les domaines .La haine du corps de la femme transpire dans ce film , c'est ce que j'ai ressenti , ou peut être est ce l'idée de se glisser dans la spirale infernale de la folie de cette femme? Je n'ai ressenti aucunes émotions, sauf visuelles quelques fois, car les costumes et les clairs obscures sont picturaux , mais la musique de Tchaikovsky: absente.
    MULETA
    MULETA

    12 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mars 2023
    Je vais être direct mais je me suis un peu ennuyé . Peut-être par la longueur du film ou à la narration russe d'un film auquel j'ai du mal à m'identifier et dont je ne suis pas habitué . Cela reste un très beau film quand même par l'histoire de cet amour impossible jusqu'à la rendre folle. On ne peut que s'apitoyer sur cette belle femme avec ces jolis yeux . Ce film nous montre une époque un pays et la place des femmes . Le travail de la lumière s'apparente à de la peinture et c'est ce que j'ai aimé le plus avec une musique qui a de l'importance . Une fin de folie et brutale
    Critique Facile
    Critique Facile

    98 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 août 2022
    https://leschroniquesdecliffhanger.com/2022/05/21/la-femme-de-tchaikovski-critique/

    Il est ici avant tout question d’une exégèse de la folie dans l’amour, qui est disséqué au scalpel dans cette furieuse obstination d’Antonia au bord de la psychose la plus totale. Elle se confrontera à la perte, aux mutilations, à toutes les humiliations pour demeurer Madame Tchaïkovski. Les épreuves seront terribles, on souffre avec elle. Rien ne lui sera épargné dans le souci du micro détail de Serebrennikov. C’est du cinéma d’ampleur, total, comme un embrasement permanent.

    Ensuite, c’est un déroulé de puissance : la reconstitution, la photographie, les dialogues, les histoires dans l’histoire, on en tournerait presque de l’œil, tant il met tout… Ça déborde, mais avec grâce et on ne s’en lasse pas. Les 02h23 passent comme un souffle, même si l’on en sort essoré. Pour une raison simple…. Sur toute la longueur, on vit avec Antonina Miliukova, et elle est épuisante d’amour.

    Comment ne pas voir dans ce que nous conte Serebrennikov dans La femme de Tchaïkovski  une terrible métaphore de l’asservissement, celle de la dévotion mortifère d’un peuple à son pouvoir, aussi maléfique et barbare soit-il… C’est du cinéma intelligent et vibrant, on en redemande.
    Lolallociné
    Lolallociné

    36 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 février 2023
    GÉ-NI-YAL ! Les premières paroles entendues après la séance ont été « HAHA MAIS POURQUOI TANT DE ZIZI » et je comprends le commentaire mais sinon c’était hyper bien. C’est vrai qu’il y en avait bcp n’empêche. C’est considéré comme un spoil ou pas ?? Bref. Les couleurs sinon enfin la mise en scène générale est vraiment top :) HE AUSSI J’AI COMPRIS PLEIN DE TRUCS EN RUSSE JE CROIS QUE JE DEVIENS SÉRIEUSEMENT BILINGUE non mais pf ça c’est la classe pardon hein. Je suis un peu déçue des réactions des personnes âgées dans la salle je pensais qu’elles seraient un peu plus choquées (par les zizi dont j’ai parlé au début suis un peu !)
    Jipéhel
    Jipéhel

    63 abonnés 290 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mars 2023
    Mariage toxique

    Qu’on aime ou pas le cinéaste russe Kirill Serebrennikov, il reste que Leto ou Le Disciple sont de très grands films. Nul doute que ces nouvelles 143 minutes de faux biopic n’ont pas fini de créer la polémique. Russie, 19ème siècle. Antonina Miliukova, jeune femme aisée et apprentie pianiste, épouse le compositeur Piotr Tchaïkovski. Mais l’amour qu’elle lui porte n’est pas réciproque et la jeune femme est violemment rejetée. Consumée par ses sentiments, Antonina accepte de tout endurer pour rester auprès de lui. Soyons clairs : Tchaïkovski, tout le monde le connaît, mais personne ne sait rien de lui. Donc, ce n’est sûrement pas à la vérité historique qu’il faut ici s’attacher, mais à un superbe portrait de femme qui répond à la douloureuse question « un génie peut-il tout se permettre ? »
    Bien sûr, le personnage d’Antonina a bel et bien existé et le scénario nous dépeint une femme passionnée qui s’est brûlé les ailes au contact d’un « soleil » comme ce compositeur considéré comme un monument dans son pays. Le destin de cette héroïne est tragique : aussi incroyable que cela paraisse, elle se retrouve dans des situations terribles et traumatisantes, celles d’une femme victime d’un amour impossible. L’homosexualité n’est presque jamais évoquée dans ce film qui nous décrit ainsi une sorte d’hypocrisie d’une certaine classe dirigeante. Mais le film nous parle à la fois de l’exceptionnelle résilience d’une femme malmenée ou délaissée mais aussi d’une espèce d’amour vampirique, qui engendre et le remords et la tristesse destructrice. L’image est somptueuse, la mise en scène virtuose – en témoignent les deux plans-séquences exceptionnels du début et de la fin -, le montage est nerveux et l’interprétation très inspirée. Un gros regret tout de même, dans un film sur un des plus grands musiciens du XIXème siècle, on n’entend quasiment jamais sa musique… ballot, non ! Une héroïne incandescente dans monde sombre, une histoire d’amour pas comme les autres et une actrice hors du commun.
    Pour trouver son interprète principale, Serebrennikov a vu défiler à peu près toutes les jeunes actrices russes, avant de choisir Alyona Mikhailova,qui trouve ici son 1er grand rôle… et quel rôle écrasant !?! Elle ne quitte pas l’écran et porte le film de la 1ère à l’ultime image. Une découverte envoûtante. Face à elle, Odin Lund Biron, dans le rôle du musicien – auquel il ressemble de manière étonnante -, est également parfait. Quand à la pléthore de rôle secondaires, jusqu’à la moindre silhouette, tout le monde est parfait et très investi dans cette aventure. Un carrousel cauchemardesque déguisé en drame intimiste, somptueusement romanesque, et, malgré ses excès, une nouvelle réussite d’une noirceur magnétique pour le cinéaste russe.
    Simon Bernard
    Simon Bernard

    149 abonnés 571 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 février 2023
    La Femme de Tchaïkovski est une plongée dans la psychée d'une épouse d'un compositeur déjà considéré comme un génie en son temps au 19e siècle en Russie. Le film se concentre sur la vie d'Antonina Miliukova : ses désirs, sa dévotion, sa non-compromission, sa folie ? Forts de quelques scènes soufflantes, d'une très belle reconstitution historique et d'une actrice investie, l'œuvre ne souffre que de sa longueur et aurait pu faire l'économie de 20-25min.
    Oni
    Oni

    22 abonnés 416 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 novembre 2023
    Symphony of WTF - Quand Tchaïkovski devient un capharnaüm cinématographique

    Tu te souviens de ce feeling quand tu danses dans une rave et que tu perds toute notion de réalité? Eh bien, Kirill Serebrennikov a réussi à capturer cette sensation sur pellicule avec "La Femme de Tchaïkovski". Les plans séquences sont plus fluides que le café qui coule dans une pub Nespresso. La caméra danse et virevolte, parfois même en mode "Shape of Water", nous laissant dans un état de confusion artistique. Et attention, ça devient un vrai bordel quand les décors et les lumières se laissent emporter dans un slow motion presque sensuel. Un vrai chef-d'œuvre visuel, sauf si tu es épileptique, auquel cas, bonne chance.

    Antonina Miliukova, jouée avec une intensité qui pourrait rivaliser avec un cosplay de Heath Ledger en Joker, est une apprentie pianiste qui décide de se marier avec Tchaïkovski. C'est un peu comme si tu décidais de devenir cosmonaute sans jamais avoir quitté ta chambre. Le mariage vire rapidement au fiasco, et la nuit de noce est plus tendue que le dernier épisode de Game of Thrones. Entre nous, si Tchaïkovski était sur Tinder, il aurait swipe left plus rapidement que Flash dans une course contre Superman.

    La musique dans le film, bien que souvent absente de l'œuvre de Tchaïkovski, est omniprésente. C'est comme si Hans Zimmer avait décidé de faire un remix de la symphonie de la vie ratée d'Antonina. Mention spéciale à Odin Lund Biron dans le rôle du compositeur. Sa composition est sobre, juste, et ferait rougir un caméléon dans une boîte à lumière. Mais sérieusement, entre nous, Biron aurait pu se contenter de faire un podcast sur la vie de Tchaïkovski, ça aurait probablement eu le même impact.

    L'histoire, une fois posée, est aussi froide que l'attitude de Batman envers ses ennemis. On évite le mélodrame et le pathos comme si c'était une épidémie de zombies. Mais plus le film avance, plus ça devient distant. C'est comme une relation longue distance avec quelqu'un qui t'envoie des signaux plus contradictoires que les timelines dans Avengers: Endgame. Les dix dernières minutes du film sont aussi ratées qu'une soirée pizza devant une finale de Top Chef.

    "La Femme de Tchaïkovski" frôle le chef-d'œuvre, mais comme le dernier épisode de Lost, il s'éloigne de la perfection vers la fin. Alyona Mikhailova, qui incarne Antonina, est géniale, mais comment elle n'a pas décroché le prix d'interprétation à Cannes, c'est aussi mystérieux que l'intrigue de Donnie Darko. Le film aurait pu être un chef-d'œuvre, mais comme un geek sans wifi, il reste plus une promesse qu'une réalité.

    En conclusion, "La Femme de Tchaïkovski" est comme une pizza sans fromage: ça a l'air bon sur le papier, mais ça manque de quelque chose à la dégustation. Entre les plans séquences qui dansent plus que toi à une fête d'anniversaire après quelques verres, et les performances dignes d'une saga Marvel (avant qu'ils ne soient tous amis), ce film est un tour de montagnes russes émotionnelles. En fin de compte, ça vaut le détour, mais peut-être pas les 2h23 de ton précieux temps geek.

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