Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Culturopoing.com
par Thibault Vicq
Ce que peut le cinéma, Serebrennikov le transcende dans le brio de la sobriété absolue, tandis que la somme des expériences vécues par les personnages gravit à elle seule les échelons d’une émotion intense. On ne salue pas seulement ici l’exceptionnelle résilience d’une femme malmenée ou délaissée, on est aux premières loges d’un amour vampirique, origine de remords et de tristesse destructrice.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
(...) un portrait douloureux et sublime de Piotr Tchaïkovski.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Plusieurs séquences oniriques à la beauté funèbre et toxique achèvent de faire de cette Femme de Tchaïkovski, en compétition à Cannes 2022, une œuvre mélodramatique vertigineuse, puissante et ambiguë.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
De façon étonnante, et assez extraordinaire, Kirill Serebrennikov parvient à pénétrer l’âme noire de Tchaïkovski, ses humeurs sombres et sa profonde mélancolie.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un film fiévreux et puissamment romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Dans la lignée de sa Fièvre de Petrov (2021) en plus narratif et en moins effréné, Serebrennikov signe un film à la fois noir et lumineux, concentré sur la perdition de son héroïne incandescente, maudite.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
20 Minutes
par Caroline Vié
La relation toxique entre une jeune femme naïve et le compositeur qui tente de masquer son homosexualité au XIXe siècle est au centre de cette fresque somptueuse qui ne sera pas distribuée en Russie.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Bombarda
Choc esthétique, beauté du drame, Serebrennikov ravive avec raffinement une certaine idée de la décadence de la fin du XIXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ecran Large
par Simon Riaux
La Femme de Tchaïkovski est un carrousel cauchemardesque déguisé en drame intimiste, bourré d'idées plastiques folles et jamais surplombantes.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Une fresque sombre, somptueuse et romanesque.
L'Obs
par Sophie Grassin
Onirique, convulsif, cauchemardesque, le film, hanté par la peinture du XIXe siècle, où Antonina pose pour une nouvelle photo avec Tchaïkovski et ses trois enfants − les anges morts qu’elle a eus d’un autre –, où elle soupèse le sexe de ses amants, se déploie pourtant avec une puissance indéniable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par M. Dl
Le célèbre compositeur est mort à Saint-Pétersbourg et il va continuer de hanter sa femme comme il l’a fait de son vivant. Dans un flash-back dense et lancinant de plus de deux heures, Kirill Serebrennikov revient sur leurs noces funestes scellées à l’église Saint-Georges, à Moscou, en 1877.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Alyona Mikhailova est sidérante à chaque seconde dans ce rôle difficile.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Florence Colombani
Un film impressionnant.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Malgré ses excès, ce film fiévreux s'impose comme une nouvelle réussite.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Cette mise en scène spectaculaire, ultra-précise, où le décor se modifie sans coupure temporelle, où réalité et rêves se confondent, est très impressionnante et envoûtante, obéissant à une chorégraphie magique – mais d’une magie noire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une belle illustration de la résistance aux codes imposés par la société, mais le film reste très noir et un peu long.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
[Un] film flamboyant, noir mais plein de couleurs, à la fois austère et flamboyant, brillamment incarné (Odin Lund Biron et Antonina Milioukova, deux grandes découvertes).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Julien Rousset
Kirill Serebrennikov nous aspire dans cet enfer mental en enchaînant de somptueux plans-séquences. Une succession de tableaux ou plutôt de ballets, chorégraphiés avec minutie. Le metteur en scène se saisit des codes du film d’époque à sa manière débridée, excessive, sexy. Visconti sous acide.
Télé 2 semaines
par P.C.
Cette vraie relation entre une femme bafouée et le compositeur du Lac des cygnes est magnifiquement mise en scène par Kirill Serebrennikov. Les comédiens sont tous d'une extrême justesse.
Télérama
par Louis Guichard
Œuvre au noir, leçon de ténèbres, La Femme de Tchaïkovski n’offre jamais une once de la chaleur et la douceur de Leto (2018), le chef-d’œuvre du cinéaste. Mais il brille par son ampleur tragique, la fièvre de sa mise en scène, l’énergie fantasmatique (à la gloire du corps masculin) qui s’y déploie et la puissance de l’interprétation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
D'une noirceur magnétique.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film admirablement incarné par sa comédienne principale, Alyona Mikhailova.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Courageux et fidèle à l’histoire, La Femme de Tchaïkovski ne provoque cependant pas l’enthousiasme de Leto ou de La Fièvre de Petrov. Il est plus tiède, sans doute parce qu'il oscille entre hardiesse et classicisme.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Faux biopic centré sur l’épouse de Tchaïkovski, portée - et punie - par son obsession pour le compositeur, le film de Serebrennikov, traversé par une quête de puissance formelle et dramatique, fait parfois mouche, mais ploie sous son dispositif.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Vient l’étrange impression que le cinéaste a vampirisé sa pauvre créature comme elle-même cherchait à vampiriser le compositeur, la figure de la «femme oubliée par l’histoire» se retrouvant finalement instrumentalisée en miroir déformant du grand homme salaud, et lui aussi discriminé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Une fresque un rien souffreteuse, qui révèle la géniale Alyona Mikhaïlova.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Première
par Thierry Cheze
Un beau portrait de femme magistralement campée par Alyona Mikhailova.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
La caméra a beau opérer des mouvements millimétrés et jouer de l’ambiguïté entre fantasme et réalité, comme dans Leto et La Fièvre de Petrov, le récit, lui, reste tristement rectiligne : un homme hait une femme ; une femme s’obstine à être haïe.
Critikat.com
par Josué Morel
La Femme de Tchaïkovski est peut-être à ce jour le Serebrennikov le plus digeste, le cadre du biopic tempérant sans doute légèrement ses ardeurs de cinéaste foufou. Mais cette relative épure met aussi plus crûment en lumière les limites de sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
Ce que peut le cinéma, Serebrennikov le transcende dans le brio de la sobriété absolue, tandis que la somme des expériences vécues par les personnages gravit à elle seule les échelons d’une émotion intense. On ne salue pas seulement ici l’exceptionnelle résilience d’une femme malmenée ou délaissée, on est aux premières loges d’un amour vampirique, origine de remords et de tristesse destructrice.
Dernières Nouvelles d'Alsace
(...) un portrait douloureux et sublime de Piotr Tchaïkovski.
La Voix du Nord
Plusieurs séquences oniriques à la beauté funèbre et toxique achèvent de faire de cette Femme de Tchaïkovski, en compétition à Cannes 2022, une œuvre mélodramatique vertigineuse, puissante et ambiguë.
Le Dauphiné Libéré
De façon étonnante, et assez extraordinaire, Kirill Serebrennikov parvient à pénétrer l’âme noire de Tchaïkovski, ses humeurs sombres et sa profonde mélancolie.
Le Figaro
Un film fiévreux et puissamment romanesque.
Le Journal du Dimanche
Dans la lignée de sa Fièvre de Petrov (2021) en plus narratif et en moins effréné, Serebrennikov signe un film à la fois noir et lumineux, concentré sur la perdition de son héroïne incandescente, maudite.
20 Minutes
La relation toxique entre une jeune femme naïve et le compositeur qui tente de masquer son homosexualité au XIXe siècle est au centre de cette fresque somptueuse qui ne sera pas distribuée en Russie.
Bande à part
Choc esthétique, beauté du drame, Serebrennikov ravive avec raffinement une certaine idée de la décadence de la fin du XIXe siècle.
Ecran Large
La Femme de Tchaïkovski est un carrousel cauchemardesque déguisé en drame intimiste, bourré d'idées plastiques folles et jamais surplombantes.
Elle
Une fresque sombre, somptueuse et romanesque.
L'Obs
Onirique, convulsif, cauchemardesque, le film, hanté par la peinture du XIXe siècle, où Antonina pose pour une nouvelle photo avec Tchaïkovski et ses trois enfants − les anges morts qu’elle a eus d’un autre –, où elle soupèse le sexe de ses amants, se déploie pourtant avec une puissance indéniable.
Le Monde
Le célèbre compositeur est mort à Saint-Pétersbourg et il va continuer de hanter sa femme comme il l’a fait de son vivant. Dans un flash-back dense et lancinant de plus de deux heures, Kirill Serebrennikov revient sur leurs noces funestes scellées à l’église Saint-Georges, à Moscou, en 1877.
Le Parisien
Alyona Mikhailova est sidérante à chaque seconde dans ce rôle difficile.
Le Point
Un film impressionnant.
Les Echos
Malgré ses excès, ce film fiévreux s'impose comme une nouvelle réussite.
Les Inrockuptibles
Cette mise en scène spectaculaire, ultra-précise, où le décor se modifie sans coupure temporelle, où réalité et rêves se confondent, est très impressionnante et envoûtante, obéissant à une chorégraphie magique – mais d’une magie noire.
Ouest France
Une belle illustration de la résistance aux codes imposés par la société, mais le film reste très noir et un peu long.
Paris Match
[Un] film flamboyant, noir mais plein de couleurs, à la fois austère et flamboyant, brillamment incarné (Odin Lund Biron et Antonina Milioukova, deux grandes découvertes).
Sud Ouest
Kirill Serebrennikov nous aspire dans cet enfer mental en enchaînant de somptueux plans-séquences. Une succession de tableaux ou plutôt de ballets, chorégraphiés avec minutie. Le metteur en scène se saisit des codes du film d’époque à sa manière débridée, excessive, sexy. Visconti sous acide.
Télé 2 semaines
Cette vraie relation entre une femme bafouée et le compositeur du Lac des cygnes est magnifiquement mise en scène par Kirill Serebrennikov. Les comédiens sont tous d'une extrême justesse.
Télérama
Œuvre au noir, leçon de ténèbres, La Femme de Tchaïkovski n’offre jamais une once de la chaleur et la douceur de Leto (2018), le chef-d’œuvre du cinéaste. Mais il brille par son ampleur tragique, la fièvre de sa mise en scène, l’énergie fantasmatique (à la gloire du corps masculin) qui s’y déploie et la puissance de l’interprétation.
Voici
D'une noirceur magnétique.
aVoir-aLire.com
Un film admirablement incarné par sa comédienne principale, Alyona Mikhailova.
Franceinfo Culture
Courageux et fidèle à l’histoire, La Femme de Tchaïkovski ne provoque cependant pas l’enthousiasme de Leto ou de La Fièvre de Petrov. Il est plus tiède, sans doute parce qu'il oscille entre hardiesse et classicisme.
Les Fiches du Cinéma
Faux biopic centré sur l’épouse de Tchaïkovski, portée - et punie - par son obsession pour le compositeur, le film de Serebrennikov, traversé par une quête de puissance formelle et dramatique, fait parfois mouche, mais ploie sous son dispositif.
Libération
Vient l’étrange impression que le cinéaste a vampirisé sa pauvre créature comme elle-même cherchait à vampiriser le compositeur, la figure de la «femme oubliée par l’histoire» se retrouvant finalement instrumentalisée en miroir déformant du grand homme salaud, et lui aussi discriminé.
Marie Claire
Une fresque un rien souffreteuse, qui révèle la géniale Alyona Mikhaïlova.
Première
Un beau portrait de femme magistralement campée par Alyona Mikhailova.
Cahiers du Cinéma
La caméra a beau opérer des mouvements millimétrés et jouer de l’ambiguïté entre fantasme et réalité, comme dans Leto et La Fièvre de Petrov, le récit, lui, reste tristement rectiligne : un homme hait une femme ; une femme s’obstine à être haïe.
Critikat.com
La Femme de Tchaïkovski est peut-être à ce jour le Serebrennikov le plus digeste, le cadre du biopic tempérant sans doute légèrement ses ardeurs de cinéaste foufou. Mais cette relative épure met aussi plus crûment en lumière les limites de sa mise en scène.