Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Technique et artistique sont convoqués pour faire de ce métrage un opus qui peut regarder ses aînés dans les yeux sans rougir.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Bien crade et malin.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Antoine Desrues
Derrière sa nature de best-of, Alien : Romulus trouve sa singularité auprès d’une jeunesse touchante, symbole d’une génération sacrifiée. L’occasion pour Fede Alvarez de signer un exercice de style politique et méchant, dont la mise en place brillante s’impose parmi les sommets de la saga.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Avec Alien : Romulus, Fede Álvarez prouve une nouvelle fois qu’il est clairement l’un des nouveaux maîtres de l’horreur. Marchant dans les pas de Ridley Scott et James Cameron, il nous offre un Alien 1.5 qui envoie du lourd.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Franceinfo Culture
par Matteu Maestracci
Fede Alvarez, réalisateur talentueux du remake du classique d'horreur Evil Dead et plus récemment de Don't Breathe (...) s'emploie à rester fidèle aux figures imposées de la saga, attendues et même réclamées par les fans, tout en la renouvelant avec sa vision propre, pour un résultat extrêmement réussi et efficace.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par La rédaction
Autant de symboles qui viennent inscrire ce nouvel opus dans la continuité des récits terrifiants inventés depuis la nuit des temps.
LCI
par Jérôme Vermelin
Malgré plusieurs suites discutables, cette saga de science-fiction mythique n’en finit plus de renaître de ses cendres.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Parisien
par Michel Valentin
Avec cette histoire qui s’insère chronologiquement entre les deux premiers Alien, Romulus revient aux fondamentaux, et marque la résurrection inespérée d’une franchise essentielle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Yaël Djender
Réalisé par Fede Alvarez, ce septième film de la mythique saga de science-fiction effraie et innove, tout en rendant un hommage appuyé à ses illustres prédécesseurs. Mission accomplie.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Fede Alvarez reprend le flambeau de la plus glaçante saga de l'histoire de la science-fiction. Sans renouveler une recette à base de jaillissements effrayants, Romulus atteint son objectif : faire couler la sueur froide dans le dos de ses spectateurs et, à l'écran, la bave de la bête.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Sans Sigourney Weaver mais dans la lignée de la saga lancée par Ridley Scott en 1979, ce nouvel Alien au scénario assez classique imagine un nouveau duo de héros assez convaincant, aux prises avec des créatures toujours plus terrifiantes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Dans le cadre restreint imposé à la fois par Disney [...] et par son producteur Ridley Scott [...], Alvarez réussit néanmoins à exister, non pas en tant qu'auteur mais en tant qu'artisan honnête et expérimenté.
Ouest France
par Thierry Chèze
Alien : Romulus finit hélas par se perdre dans des hommages et clins d'œil trop appuyés aux deux premiers épisodes de la franchise.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
À travers l’odyssée d’un groupe d’adolescents qui vont devoir se confronter aux xénomorphes, Alvarez semble vouloir revenir au principe initial : celui de l’affrontement violent et sans issue entre humains et extraterrestres. Et veut privilégier cette fois le pur film d’horreur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Critikat.com
par Corentin Lê
Fede Álvarez livre une copie sans grande bavure, mais qui manque de singularité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifllet
Le fan service est assuré, tandis que pour une nouvelle génération avide de terreur pure, Romulus est une honnête entrée en matière dans les ténèbres d’Alien...
La Voix du Nord
par Christophe Caron
La formule est imparable et, une fois la mise en place effectuée, Alien : Romulus cloue le spectateur sur son siège en l’éclaboussant de toutes sortes de fluides.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifllet
L’Uruguayen Fede Alvarez, fidèle à l’héritage de la série, revigore la version gore de la saga et ses sensations fortes.
Le Monde
par Ma. Mt
Malgré une ouverture dystopique plutôt prometteuse, Alien : Romulus retombe sans surprise dans les ornières du huis clos horrifique et du jeu de massacre spatial qui ont fait l’identité de la saga, même si, dans les interstices de son cahier des charges ultra-verrouillé, Fede Alvarez sait toutefois se ménager de beaux moments.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Ce retour aux affaires est on ne peut plus studieux, tant le film semble non seulement vouloir revenir aux origines de la franchise […] mais aussi en compiler toutes les grandes idées pour en délivrer la mesure la plus juste possible. Rien ou presque ne dépasse de cet exercice exécuté avec dextérité et élégance, sans non plus jamais perdre de vue son aspect ludique, mais hélas avec très peu de panache.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Grand spectacle et action sont au rendez-vous, mais en étant trop explicatif et dans la surenchère de rebondissements, le film se révèle peu original. Et surtout, à force d'être montré sous toutes les coutures, le monstre ne fait plus peur.
Télérama
par Frédéric Strauss
Alien : Romulus puise aux meilleures sources pour passer avec le spectateur un contrat de confiance. Alien : Rémus devrait pouvoir, un jour prochain, montrer les crocs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Ouvert sous les auspices du Huitième passager et clos dans le grand-guignolesque et la dégénérescence de La Résurrection de Jeunet, Romulus est en cela emblématique de la dynamique de la saga, dont les entreprises de « renaissance » (nom de la station spatiale du film) actent l’impossibilité de recouvrer l’éclat de son inspiration première.
Le Figaro
par É.S.
Quand Alvarez tente quelque chose de nouveau, tel l'espèce de troll final, c'est pire. L'hommage s'avère une version Millennial tout à fait superfétatoire. Montrer Alien, le huitième passager à un adolescent reste aujourd'hui la meilleure façon de lui faire faire des cauchemars.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Sylvestre Picard
Romulus n’a pas vraiment la valeur d’une expérimentation, mais plutôt celle d’un film de fan, soigné, parfois efficace, mais sans ego, sans vision.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Ni plus ni moins qu’un énième film d’aventure spatiale sanglante, ce nouvel opus de la saga mythique des Alien ne convainc pas vraiment. Un spectacle de sons et lumières qui nous laisse sur notre faim.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Geek
Technique et artistique sont convoqués pour faire de ce métrage un opus qui peut regarder ses aînés dans les yeux sans rougir.
CinemaTeaser
Bien crade et malin.
Ecran Large
Derrière sa nature de best-of, Alien : Romulus trouve sa singularité auprès d’une jeunesse touchante, symbole d’une génération sacrifiée. L’occasion pour Fede Alvarez de signer un exercice de style politique et méchant, dont la mise en place brillante s’impose parmi les sommets de la saga.
Filmsactu
Avec Alien : Romulus, Fede Álvarez prouve une nouvelle fois qu’il est clairement l’un des nouveaux maîtres de l’horreur. Marchant dans les pas de Ridley Scott et James Cameron, il nous offre un Alien 1.5 qui envoie du lourd.
Franceinfo Culture
Fede Alvarez, réalisateur talentueux du remake du classique d'horreur Evil Dead et plus récemment de Don't Breathe (...) s'emploie à rester fidèle aux figures imposées de la saga, attendues et même réclamées par les fans, tout en la renouvelant avec sa vision propre, pour un résultat extrêmement réussi et efficace.
L'Ecran Fantastique
Autant de symboles qui viennent inscrire ce nouvel opus dans la continuité des récits terrifiants inventés depuis la nuit des temps.
LCI
Malgré plusieurs suites discutables, cette saga de science-fiction mythique n’en finit plus de renaître de ses cendres.
Le Parisien
Avec cette histoire qui s’insère chronologiquement entre les deux premiers Alien, Romulus revient aux fondamentaux, et marque la résurrection inespérée d’une franchise essentielle.
Le Point
Réalisé par Fede Alvarez, ce septième film de la mythique saga de science-fiction effraie et innove, tout en rendant un hommage appuyé à ses illustres prédécesseurs. Mission accomplie.
Les Echos
Fede Alvarez reprend le flambeau de la plus glaçante saga de l'histoire de la science-fiction. Sans renouveler une recette à base de jaillissements effrayants, Romulus atteint son objectif : faire couler la sueur froide dans le dos de ses spectateurs et, à l'écran, la bave de la bête.
Les Fiches du Cinéma
Sans Sigourney Weaver mais dans la lignée de la saga lancée par Ridley Scott en 1979, ce nouvel Alien au scénario assez classique imagine un nouveau duo de héros assez convaincant, aux prises avec des créatures toujours plus terrifiantes.
Mad Movies
Dans le cadre restreint imposé à la fois par Disney [...] et par son producteur Ridley Scott [...], Alvarez réussit néanmoins à exister, non pas en tant qu'auteur mais en tant qu'artisan honnête et expérimenté.
Ouest France
Alien : Romulus finit hélas par se perdre dans des hommages et clins d'œil trop appuyés aux deux premiers épisodes de la franchise.
Paris Match
À travers l’odyssée d’un groupe d’adolescents qui vont devoir se confronter aux xénomorphes, Alvarez semble vouloir revenir au principe initial : celui de l’affrontement violent et sans issue entre humains et extraterrestres. Et veut privilégier cette fois le pur film d’horreur.
Critikat.com
Fede Álvarez livre une copie sans grande bavure, mais qui manque de singularité.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le fan service est assuré, tandis que pour une nouvelle génération avide de terreur pure, Romulus est une honnête entrée en matière dans les ténèbres d’Alien...
La Voix du Nord
La formule est imparable et, une fois la mise en place effectuée, Alien : Romulus cloue le spectateur sur son siège en l’éclaboussant de toutes sortes de fluides.
Le Dauphiné Libéré
L’Uruguayen Fede Alvarez, fidèle à l’héritage de la série, revigore la version gore de la saga et ses sensations fortes.
Le Monde
Malgré une ouverture dystopique plutôt prometteuse, Alien : Romulus retombe sans surprise dans les ornières du huis clos horrifique et du jeu de massacre spatial qui ont fait l’identité de la saga, même si, dans les interstices de son cahier des charges ultra-verrouillé, Fede Alvarez sait toutefois se ménager de beaux moments.
Les Inrockuptibles
Ce retour aux affaires est on ne peut plus studieux, tant le film semble non seulement vouloir revenir aux origines de la franchise […] mais aussi en compiler toutes les grandes idées pour en délivrer la mesure la plus juste possible. Rien ou presque ne dépasse de cet exercice exécuté avec dextérité et élégance, sans non plus jamais perdre de vue son aspect ludique, mais hélas avec très peu de panache.
Télé 7 Jours
Grand spectacle et action sont au rendez-vous, mais en étant trop explicatif et dans la surenchère de rebondissements, le film se révèle peu original. Et surtout, à force d'être montré sous toutes les coutures, le monstre ne fait plus peur.
Télérama
Alien : Romulus puise aux meilleures sources pour passer avec le spectateur un contrat de confiance. Alien : Rémus devrait pouvoir, un jour prochain, montrer les crocs.
Cahiers du Cinéma
Ouvert sous les auspices du Huitième passager et clos dans le grand-guignolesque et la dégénérescence de La Résurrection de Jeunet, Romulus est en cela emblématique de la dynamique de la saga, dont les entreprises de « renaissance » (nom de la station spatiale du film) actent l’impossibilité de recouvrer l’éclat de son inspiration première.
Le Figaro
Quand Alvarez tente quelque chose de nouveau, tel l'espèce de troll final, c'est pire. L'hommage s'avère une version Millennial tout à fait superfétatoire. Montrer Alien, le huitième passager à un adolescent reste aujourd'hui la meilleure façon de lui faire faire des cauchemars.
Première
Romulus n’a pas vraiment la valeur d’une expérimentation, mais plutôt celle d’un film de fan, soigné, parfois efficace, mais sans ego, sans vision.
aVoir-aLire.com
Ni plus ni moins qu’un énième film d’aventure spatiale sanglante, ce nouvel opus de la saga mythique des Alien ne convainc pas vraiment. Un spectacle de sons et lumières qui nous laisse sur notre faim.