Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cinopsis.com
par Olivier Guéret
(...) une très belle découverte (...)
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
L'Humanité
par Jean Roy
A tout point de vue, Euréka est un film immense.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Philippe Azoury
(...) un grand film, plein de promesses tenues, de solutions d'Archimède apportées à des questions que nous ne nous posions pas. Elle est retrouvée. Quoi ? L'immensité... Eurêka, hourra !
La critique complète est disponible sur le site Libération
Repérages
par Julien Welter
(...) Eureka est un chef-d'œuvre de patience humaniste.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Télérama
par François Gorin
(...) Shinji Aoyama réussit la gageure de faire respirer à chaque seconde un film qu'on pouvait croire promis à l'étouffement. Il y a décidément dans sa splendeur lustrale quelque chose d'organique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Un formidable opus en noir et blanc, où la sensation prend le pas sur le mot, où le temps se dilate (...)
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Thierry Jousse
Ce qu'éprouve aujourd'hui Aoyama, ce sont les capacités du cinéma à redéployer, à partir d'un exil, d'un deuil, d'une mémoire spectrale, ses propres forces, à redessiner ses propres lignes de fuite, à réinvestir un espace-temps désertifié, à réinventer son cadre fini/illimité.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
(...) tsunami plastique et expérimental (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cplanet.com
par Nathalie Lanier
Aoyama Shinji, cinéaste engagé, pose les questions qu'il faut avec sa caméra. Il nous invite à réfléchir sur notre destinée (...)
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Il y a des moments d'une force exceptionnelle, des fulgurances magnifiques, dommage que le film soit beaucoup trop long. Mais le sentiment que l'on pourrait tenir en Aoyama Shinji un futur grand n'est pas loin.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro Magazine
par C.G.
Aoyama Shinji traite la violence du sujet avec une extrême pudeur. Même si la longueur du film (trois heures trente) n'est pas totalement justifiée, on découvre enfin la beauté des paysages du sud-ouest de l'archipel japonais.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) une œuvre significative dans le paysage décidément florissant du jeune cinéma japonais, et témoigne du talent d´un auteur qui parvient (...) à redécouvrir l´angoissante apesanteur du monde moderne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
Ce film exigeant veut être « une forme de prière pour l'homme moderne qui cherche le courage de vivre » et aussi, peut-être, une métaphore sur l'état du Japon d'après-Hiroshima. Pour les Occidentaux cinéphiles, c'est une longue splendeur visuelle (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Frédéric Bonnaud
(...) un si beau film-furet, qui passe par là pour mieux repasser par ici, aussi insaisissable et protéiforme que l'inspiration de son auteur, si tiraillée entre ses admirations et sa volonté de ne renoncer à rien qu'il trouve un cap qui n'appartient qu'à lui.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Jean-Jacques Bernard
Un western avec des plans en Scope et d'un sépia sale, ni beau ni laid, qui font exister le récit comme un long rêve flottant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Une grande aventure formelle où, à l'audace de l'étirement des plans, d'un beau noir et blanc sépia, Aoyama ajoute une attirance pour les lieux semi-urbains désertiques (...)
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Cinopsis.com
(...) une très belle découverte (...)
L'Humanité
A tout point de vue, Euréka est un film immense.
Libération
(...) un grand film, plein de promesses tenues, de solutions d'Archimède apportées à des questions que nous ne nous posions pas. Elle est retrouvée. Quoi ? L'immensité... Eurêka, hourra !
Repérages
(...) Eureka est un chef-d'œuvre de patience humaniste.
Télérama
(...) Shinji Aoyama réussit la gageure de faire respirer à chaque seconde un film qu'on pouvait croire promis à l'étouffement. Il y a décidément dans sa splendeur lustrale quelque chose d'organique.
Aden
Un formidable opus en noir et blanc, où la sensation prend le pas sur le mot, où le temps se dilate (...)
Cahiers du Cinéma
Ce qu'éprouve aujourd'hui Aoyama, ce sont les capacités du cinéma à redéployer, à partir d'un exil, d'un deuil, d'une mémoire spectrale, ses propres forces, à redessiner ses propres lignes de fuite, à réinvestir un espace-temps désertifié, à réinventer son cadre fini/illimité.
Chronic'art.com
(...) tsunami plastique et expérimental (...)
Cplanet.com
Aoyama Shinji, cinéaste engagé, pose les questions qu'il faut avec sa caméra. Il nous invite à réfléchir sur notre destinée (...)
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Il y a des moments d'une force exceptionnelle, des fulgurances magnifiques, dommage que le film soit beaucoup trop long. Mais le sentiment que l'on pourrait tenir en Aoyama Shinji un futur grand n'est pas loin.
Le Figaro Magazine
Aoyama Shinji traite la violence du sujet avec une extrême pudeur. Même si la longueur du film (trois heures trente) n'est pas totalement justifiée, on découvre enfin la beauté des paysages du sud-ouest de l'archipel japonais.
Le Monde
(...) une œuvre significative dans le paysage décidément florissant du jeune cinéma japonais, et témoigne du talent d´un auteur qui parvient (...) à redécouvrir l´angoissante apesanteur du monde moderne.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Ce film exigeant veut être « une forme de prière pour l'homme moderne qui cherche le courage de vivre » et aussi, peut-être, une métaphore sur l'état du Japon d'après-Hiroshima. Pour les Occidentaux cinéphiles, c'est une longue splendeur visuelle (...)
Les Inrockuptibles
(...) un si beau film-furet, qui passe par là pour mieux repasser par ici, aussi insaisissable et protéiforme que l'inspiration de son auteur, si tiraillée entre ses admirations et sa volonté de ne renoncer à rien qu'il trouve un cap qui n'appartient qu'à lui.
Première
Un western avec des plans en Scope et d'un sépia sale, ni beau ni laid, qui font exister le récit comme un long rêve flottant.
Urbuz
Une grande aventure formelle où, à l'audace de l'étirement des plans, d'un beau noir et blanc sépia, Aoyama ajoute une attirance pour les lieux semi-urbains désertiques (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com