AlloCiné
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Votre avis sur Roqya ?
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d'un ennuie avec cette thématique récurrente du méchant quand on vois qui tient le rôle principale me fait juste rire, rien d'angoissant juste des idées complètement brouillonne
Un très beau casting et une idée originale qui tristement, dans la salle de cinéma, ne font pas mouche et me laisse bien indifférent.
Ce film est une déception totale ! Contrairement à la Bande annonce, j'ai été complètement indifférent du début à la fin. Des personnages peu attachants, qu'on ne ressent aucune émotion, c'est à la fois invraisemblable et prévisible. Les acteurs semblent totalement perdus dans leurs rôles. Sans trop d'intérêt. Pas de merci pour ce navet !
nour vit de commerce d'animaux exotiques et de sorcellerie dans les banlieues parisiennes. son activité prend un tour dangereux et se retrouve pourchassée pour actes de sorcellerie. goldshiftey faharani, Jérôme Ferrari et Denis lavant n'arrivent pas a donner de la crédibilité au film ni polar ni Thriller ni action ni horreur raté.
J'ai adoré ce film captivant du début à la fin avec le jeu des acteurs remarquable. Golshifteh Farahani et aussi le fils, Armin vraiment fort et touchant à la fois. Je n'ai pas vu le temps passé.
Quelques scènes difficiles à regarder pour moi mais j'ai été touché par toute l'histoire qui nous fait mal par la réalité de la vie.
A voir sans hésitation.
Quelques scènes difficiles à regarder pour moi mais j'ai été touché par toute l'histoire qui nous fait mal par la réalité de la vie.
A voir sans hésitation.
Cinememories
"Si votre quotidien est stressant, déprimant et anxiogène, attendez-vous à revivre des situations d’abandon similaires dans Roqya. Ce thriller a l’audace de confronter les absurdités et les contradictions sur la diffusion d’informations sur les réseaux sociaux, tout en édifiant les droits des femmes au cœur d’une misogynie ambiante. Le personnage de Golshifteh Farahani y est piégé entre une chasse aux sorcières moderne et le besoin de renouer avec son fils, son seul phare dans un monde où la violence peut éclater à tout instant."
"Nous suivons Golshifteh Farahani dans la peau de Nour, une mère séparée de son fils et qu’on accuse de sorcellerie. C’est en tout cas ce qu’on nous donne à penser dès l’ouverture. Nour est arrêtée par des agents douaniers d’un aéroport, en possession d’animaux exotiques dont la plupart sont bien venimeux. Cette séquence surréaliste esquisse ainsi de belles promesses quant à son combat à venir, mais elle révèle également les mauvais symptômes qui contrecarrent la gestion de la tension par la suite. Les manifestations démoniaques sont des interprétations ancrées dans la culture islamique et bien d’autres encore. Le sujet est traité avec une distance qui ne permet pas une immersion totale dans le récit, malgré quelques séquences fortes où l’indifférence est captée de manière horrifique. L’ensemble du récit peine donc à atteindre ce niveau de sidération, malgré le jeu tourmenté de Denis Lavant ou celui de Jeremy Ferrari, l’ex-compagnon de Nour en défaut d’autorité et de reconnaissance."
"En somme, Roqya se place dans le sillage des films de genre récents qui nous emmènent au cœur des cités, où les habitants sont tiraillés entre tradition et modernité. La technologie sert ainsi de passerelle entre les deux et de vecteur pour que la violence puisse peu à peu se propager. Nous regrettons cependant que cette chasse aux sorcières soit aussi maladroite dans son déroulé, de même pour la réconciliation entre une mère et son fils, légèrement rattrapée dans le dernier acte. Couchées sur du papier, les intentions de Saïd Belktibia sont séduisantes, mais le résultat étalé sur la toile manque encore de maturité pour sublimer son pamphlet féministe."
Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.
"Nous suivons Golshifteh Farahani dans la peau de Nour, une mère séparée de son fils et qu’on accuse de sorcellerie. C’est en tout cas ce qu’on nous donne à penser dès l’ouverture. Nour est arrêtée par des agents douaniers d’un aéroport, en possession d’animaux exotiques dont la plupart sont bien venimeux. Cette séquence surréaliste esquisse ainsi de belles promesses quant à son combat à venir, mais elle révèle également les mauvais symptômes qui contrecarrent la gestion de la tension par la suite. Les manifestations démoniaques sont des interprétations ancrées dans la culture islamique et bien d’autres encore. Le sujet est traité avec une distance qui ne permet pas une immersion totale dans le récit, malgré quelques séquences fortes où l’indifférence est captée de manière horrifique. L’ensemble du récit peine donc à atteindre ce niveau de sidération, malgré le jeu tourmenté de Denis Lavant ou celui de Jeremy Ferrari, l’ex-compagnon de Nour en défaut d’autorité et de reconnaissance."
"En somme, Roqya se place dans le sillage des films de genre récents qui nous emmènent au cœur des cités, où les habitants sont tiraillés entre tradition et modernité. La technologie sert ainsi de passerelle entre les deux et de vecteur pour que la violence puisse peu à peu se propager. Nous regrettons cependant que cette chasse aux sorcières soit aussi maladroite dans son déroulé, de même pour la réconciliation entre une mère et son fils, légèrement rattrapée dans le dernier acte. Couchées sur du papier, les intentions de Saïd Belktibia sont séduisantes, mais le résultat étalé sur la toile manque encore de maturité pour sublimer son pamphlet féministe."
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Golshifteh Farahani m'hypnotise ... Alors, peut-être que sur les 4 étoiles, au moins une lui revient. Nonobstant, elle illumine ce film sombre de sa présence intense et de sa grâce.
Reste un film bien construit, inquiétant, par lequel "vindicte populaire" prend tout son sens !!!!!! C'est inquiétant, insécurisant à souhait ! A quelles lois obéissent ces protagonistes ? Quelles règles régissent les comportements de ces populations ? Ces zones de non-droit font flipper ! Le piège ne resserre peu à peu sur cette mère et son enfant et on se demande quelle issue ils pourraient trouver sinon la fuite ... En ce sens, le dénouement manque furieusement d'originalité !
Reste un film bien construit, inquiétant, par lequel "vindicte populaire" prend tout son sens !!!!!! C'est inquiétant, insécurisant à souhait ! A quelles lois obéissent ces protagonistes ? Quelles règles régissent les comportements de ces populations ? Ces zones de non-droit font flipper ! Le piège ne resserre peu à peu sur cette mère et son enfant et on se demande quelle issue ils pourraient trouver sinon la fuite ... En ce sens, le dénouement manque furieusement d'originalité !
Un trés bon film dramatique à suspens , sur la sorcellerie , malgré la présence de Jeremy Ferrari , qui habituellement est un comique , pas trés doué , pas trés marrant .
Heureusement , que ce n'est pas un film comique .
Un bon scénario , une bonne histoire .
Un mélange de film dramatique , avec beaucoup d'émotions intenses , sourtout grâce à la presence de Golshifteh Farahani , qui est l' actrice principale du film , et mélange de thriller , avec beaucoup de suspens intenses .
Golshifteh Farahani est une superbe actrice trés douée , qui met beaucoup d' émotions dans son personnage , heureusement que c'est elle , l' actrice principale et que Jeremy Ferrari , n' a qu' un rôle secondaire .
Heureusement , que ce n'est pas un film comique .
Un bon scénario , une bonne histoire .
Un mélange de film dramatique , avec beaucoup d'émotions intenses , sourtout grâce à la presence de Golshifteh Farahani , qui est l' actrice principale du film , et mélange de thriller , avec beaucoup de suspens intenses .
Golshifteh Farahani est une superbe actrice trés douée , qui met beaucoup d' émotions dans son personnage , heureusement que c'est elle , l' actrice principale et que Jeremy Ferrari , n' a qu' un rôle secondaire .
Waow, très impressionné par ce film, excellent à tout point de vue, les acteurs sont extraordinaires, notamment le jeune garçon, et Golshifteh est juste magnifique, une superbe actrice... Un film très esthétique, félicitations !
J’avais bcp aimé le court « Le casse du siècle » de Saïd Belktibia. Mais honnêtement, s’il n’y avait pas eu Jérémy Ferrari et Golshifteh Farahani à l’affiche, je ne me serais pas spécialement intéressée au film et ça aurait été dommage !
Le terme « film de genre » a certainement été trop et mal utilisé. C’est un thriller mystique qui traite d’un sujet original. Une bonne satire sur les dérives de la société contemporaine mais qui, au final, est intemporelle. Le plein de suspense jusqu’au bout, de l’action, des émotions… Et quelques charmantes bestioles.
C’est palpitant, on ne s’ennuie pas 1 seconde. Le travail sur l’ombre, la lumière ainsi que la musique est remarquable. Les acteurs sont incroyablement impressionnants. Golshifteh, toujours intense et merveilleuse, Jérémy confirme qu’il est un grand comédien et Amine Zariouhi est formidable. Bravo à tous et merci !
Le terme « film de genre » a certainement été trop et mal utilisé. C’est un thriller mystique qui traite d’un sujet original. Une bonne satire sur les dérives de la société contemporaine mais qui, au final, est intemporelle. Le plein de suspense jusqu’au bout, de l’action, des émotions… Et quelques charmantes bestioles.
C’est palpitant, on ne s’ennuie pas 1 seconde. Le travail sur l’ombre, la lumière ainsi que la musique est remarquable. Les acteurs sont incroyablement impressionnants. Golshifteh, toujours intense et merveilleuse, Jérémy confirme qu’il est un grand comédien et Amine Zariouhi est formidable. Bravo à tous et merci !
Bizarre la vingtaine d'avis hyper positifs sur le film provenant tous d' abonnés tout nouveaux.
Bref, Roqya est un film complètement raté pour moi :
- psychologie sommaire voire caricaturale des personnages ( par ex Jules, le père de Kévin mais les autres aussi dont l'héroïne ),
- action très vite réduite à un film de course-poursuite très pauvre et interminable,
- les comédiens surjouent leur rôle déjà bien limité par cette psychologie sommaire et la pauvreté de l'action.
Rien à voir avec ma critique mais à l'égard des spectateurs un peu"animalistes" : utilisation d'animaux vivants assez cruelle ou triste bien souvent.
Bref, Roqya est un film complètement raté pour moi :
- psychologie sommaire voire caricaturale des personnages ( par ex Jules, le père de Kévin mais les autres aussi dont l'héroïne ),
- action très vite réduite à un film de course-poursuite très pauvre et interminable,
- les comédiens surjouent leur rôle déjà bien limité par cette psychologie sommaire et la pauvreté de l'action.
Rien à voir avec ma critique mais à l'égard des spectateurs un peu"animalistes" : utilisation d'animaux vivants assez cruelle ou triste bien souvent.
La première chose qu'on peut se dire enfin que je me suis dis sur l'histoire c'est juste "bien fait" pour tatoi!!!!! A vouloir se faire du fric sur la crédulité des gens et bien elle l'a payé enfin en partie. Ensuite le film à une bonne tension général avec des passages où l'on peut croire que son calvaire s'arrête mais non hop on en remet une couche. On met en avant toute ces arnaques faite par des soit disant guérisseur and co...et que cela ce passe dans n'importe qu'elle religion d'ailleurs. Golshifteh Farahani est nickel en mère désespéré et le premier rôle de Jérémy Ferrari est à noté, pas exceptionnel mais crédible. Un bon film dans l'ensemble.
NOTE : 7/10
NOTE : 7/10
il y a longtemps que je n'avais pas vu Denis Lavant au cinéma et je le regrettais mais ce film m'a ennuyée. De la violence, et de la violence. Bien sûr, il y a la beauté de Golshifteh Farahani mais que d'invraisemblances ! Je ne suis pas sortie parce que je suis patiente, mais vraiment... quel pensum !
Un thriller qui, en plus de nous tenir en haleine, critique intelligemment les superstitions dans la société. Le film met en lumière les conséquences néfastes des croyances irrationnelles et les dérives des systèmes médicaux opérant en marge de la légalité. Le jeu d'actrice Golshifteh Farahani est brillante !
Roqya raconte une histoire captivante. J’ai adoré la réalisation qui rend l’expérience encore plus agréable.
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