Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
Ce premier long métrage séduit par sa fraîcheur, sa justesse, habilement ponctué de notes d'humour.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Dans le premier long-métrage de Lucie Prost, un jeune ingénieur expatrié à Berlin revient dans la maison familiale régler une douloureuse affaire. Une façon de traiter le passage à l’âge adulte avec délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Laura Tuillier
Fario est donc mordant, énergique, et se fraie des chemins imprévus qui brouillent les enjeux et permettent à de belles scènes de se dérouler, pour le plaisir, sous nos yeux : ainsi d’une représentation amateur du Songe d’une nuit d’été qui vient éclairer d’une lumière tendre l’ensemble des personnages, principaux et secondaires, que la réalisatrice a pris le temps de filmer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Plus que le propos, c’est la forme qui impressionne, avec de très belles scènes d’exploration nocturne. Finnegan Oldfield et Megan Northam forment un « couple » immédiatement attachant, lui dans la peau d'un faux cynique, elle en jeune femme qui porte sur ses épaules tout le poids des non-dits.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
Sans ostentation, avec l’humilité de ses modestes moyens, mais également avec la crâne ambition du premier film qui ne s’interdit aucune prise de risque, la cinéaste parvient à embrasser une multitude de thèmes complémentaires (...).
Télérama
par Caroline Besse
Un récit impressionnant, à la lisière du fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Jamais frontal, écrit dans une ambiguïté toute en nuance, le nouveau film de Lucie Prost affirme, s’il était utile de le confirmer, l’immense talent de comédien de Finngan Oldfield.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
En liant vastes questions et petite masculinité en crise, Lucie Fariot évoque avec sensibilité les turpitudes intimes qui accompagnent l’hyperconscience d’une certaine jeunesse.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans un univers à la fois tangible et onirique, Lucie Prost creuse les fractures intérieures d’une jeunesse lucide jusqu’à l’excès.
L'Obs
par Isabelle Danel
Plein comme un œuf, le film, trop dispersé, se perd en route. Mais si la réalisatrice, Lucie Prost, ne réussit pas tout ce qu’elle tente, son désir de cinéma est palpable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Finnegan Oldfield nous attrape avec son jeu intense et buté, à la fois doux et radical.
Le Parisien
par Catherine Balle
« Fario » mêle drame familial, thriller écolo et histoire d’amour dans une intrigue assez complexe. Un scénario qui peine à nous embarquer, malgré une réalisation tendue et des acteurs habités - Megan Northam, vue notamment dans « Les Passagers de la nuit » ou « Salade grecque » est une fois de plus formidable.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
En dépit d’un récit ayant tout du parcours fléché, Fario se distingue par l’attention portée à son décor.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Si le film, bon élève, est attaché trop fermement à l’exactitude d’un scénario ficelé, reste que Fario parvient, au milieu de ces motifs balisés, à incarner via son personnage qui cherche à réapprendre à vivre, un certain trouble énigmatique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Emma Poesy
Il y a la manière dont le héros (Finnegan Oldfield, lumineux) réinvestit sa propre communauté, la place des jeunes générations dans ce tumulte et enfin, la raison d’être de ce film, le rapport de destruction que les hommes entretiennent avec la nature et le vivant autour d’eux. Autant de questions brûlantes d’actualité que la jeune réalisatrice met en image avec beaucoup de mystère et un peu de magie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
L’émouvant portrait d’un jeune homme blessé.
Télé Loisirs
par M.L.
Original et porté par des acteurs talentueux.
La Croix
par La Rédaction
Si le film comporte de jolies trouvailles, notamment lorsqu’il flirte avec le fantastique et nous alerte sur un monde en danger, il se fait plus lourdement démonstratif dans l’évocation de la disparition du père.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Ma. Mt
L’ensemble n’évite pas les poncifs, brasse des thématiques, mais ne les affronte pas.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Avec finesse, la cinéaste suggère le sentiment d'abandon qui habite Léo, l'effet de son deuil sur ses angoisses, et la solitude des agriculteurs. Alors tant pis si le rythme est parfois languissant et les métaphores un peu trop soulignées, Fario marque l'apparition d'un vrai jeune talent.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Nice-Matin
par Cedric Coppola
Le cinéma de genre made in France a pour particularité d’évoquer derrière le fantastique, des problématiques contemporaines, dont l’écologie. « Fario », premier long-métrage de Lucie Prost cherche à s’inscrire dans cette veine… Mais n’y parvient qu’à moitié. L’intrigue minimaliste et la naïveté de certaines situations empêchent d’adhérer pleinement à cette variation.
Ouest France
par La Rédaction
Un film mélancolique qui s'éparpille un peu trop entre plusieurs sujets.
Femme Actuelle
Ce premier long métrage séduit par sa fraîcheur, sa justesse, habilement ponctué de notes d'humour.
Le Figaro
Dans le premier long-métrage de Lucie Prost, un jeune ingénieur expatrié à Berlin revient dans la maison familiale régler une douloureuse affaire. Une façon de traiter le passage à l’âge adulte avec délicatesse.
Libération
Fario est donc mordant, énergique, et se fraie des chemins imprévus qui brouillent les enjeux et permettent à de belles scènes de se dérouler, pour le plaisir, sous nos yeux : ainsi d’une représentation amateur du Songe d’une nuit d’été qui vient éclairer d’une lumière tendre l’ensemble des personnages, principaux et secondaires, que la réalisatrice a pris le temps de filmer.
Paris Match
Plus que le propos, c’est la forme qui impressionne, avec de très belles scènes d’exploration nocturne. Finnegan Oldfield et Megan Northam forment un « couple » immédiatement attachant, lui dans la peau d'un faux cynique, elle en jeune femme qui porte sur ses épaules tout le poids des non-dits.
Positif
Sans ostentation, avec l’humilité de ses modestes moyens, mais également avec la crâne ambition du premier film qui ne s’interdit aucune prise de risque, la cinéaste parvient à embrasser une multitude de thèmes complémentaires (...).
Télérama
Un récit impressionnant, à la lisière du fantastique.
aVoir-aLire.com
Jamais frontal, écrit dans une ambiguïté toute en nuance, le nouveau film de Lucie Prost affirme, s’il était utile de le confirmer, l’immense talent de comédien de Finngan Oldfield.
Cahiers du Cinéma
En liant vastes questions et petite masculinité en crise, Lucie Fariot évoque avec sensibilité les turpitudes intimes qui accompagnent l’hyperconscience d’une certaine jeunesse.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans un univers à la fois tangible et onirique, Lucie Prost creuse les fractures intérieures d’une jeunesse lucide jusqu’à l’excès.
L'Obs
Plein comme un œuf, le film, trop dispersé, se perd en route. Mais si la réalisatrice, Lucie Prost, ne réussit pas tout ce qu’elle tente, son désir de cinéma est palpable.
Le Dauphiné Libéré
Finnegan Oldfield nous attrape avec son jeu intense et buté, à la fois doux et radical.
Le Parisien
« Fario » mêle drame familial, thriller écolo et histoire d’amour dans une intrigue assez complexe. Un scénario qui peine à nous embarquer, malgré une réalisation tendue et des acteurs habités - Megan Northam, vue notamment dans « Les Passagers de la nuit » ou « Salade grecque » est une fois de plus formidable.
Les Fiches du Cinéma
En dépit d’un récit ayant tout du parcours fléché, Fario se distingue par l’attention portée à son décor.
Les Inrockuptibles
Si le film, bon élève, est attaché trop fermement à l’exactitude d’un scénario ficelé, reste que Fario parvient, au milieu de ces motifs balisés, à incarner via son personnage qui cherche à réapprendre à vivre, un certain trouble énigmatique.
Première
Il y a la manière dont le héros (Finnegan Oldfield, lumineux) réinvestit sa propre communauté, la place des jeunes générations dans ce tumulte et enfin, la raison d’être de ce film, le rapport de destruction que les hommes entretiennent avec la nature et le vivant autour d’eux. Autant de questions brûlantes d’actualité que la jeune réalisatrice met en image avec beaucoup de mystère et un peu de magie.
Sud Ouest
L’émouvant portrait d’un jeune homme blessé.
Télé Loisirs
Original et porté par des acteurs talentueux.
La Croix
Si le film comporte de jolies trouvailles, notamment lorsqu’il flirte avec le fantastique et nous alerte sur un monde en danger, il se fait plus lourdement démonstratif dans l’évocation de la disparition du père.
Le Monde
L’ensemble n’évite pas les poncifs, brasse des thématiques, mais ne les affronte pas.
Le Point
Avec finesse, la cinéaste suggère le sentiment d'abandon qui habite Léo, l'effet de son deuil sur ses angoisses, et la solitude des agriculteurs. Alors tant pis si le rythme est parfois languissant et les métaphores un peu trop soulignées, Fario marque l'apparition d'un vrai jeune talent.
Nice-Matin
Le cinéma de genre made in France a pour particularité d’évoquer derrière le fantastique, des problématiques contemporaines, dont l’écologie. « Fario », premier long-métrage de Lucie Prost cherche à s’inscrire dans cette veine… Mais n’y parvient qu’à moitié. L’intrigue minimaliste et la naïveté de certaines situations empêchent d’adhérer pleinement à cette variation.
Ouest France
Un film mélancolique qui s'éparpille un peu trop entre plusieurs sujets.