Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Qu’il s’agisse de la photo organique d’Antoine Sanier, au naturalisme très travaillé, ou de la formidable musique presque anachronique d’Amine Bouhafa, Ni chaînes ni maîtres se construit avant tout en expérience audiovisuelle, sensorielle et émotionnelle, jusqu’à sa sidérante scène de fin, terrassant moment de cinéma comme mise en images de l’indicible.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ouest France
par Anne Augié
Un premier long métrage au souffle épique.
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
À une réalité historique, Simon Moutaïrou insuffle une dimension épique et philosophique. Ce qui apporte de la substance à une mise en scène mêlant action, thriller et fantastique. La distribution transporte l'audience tout comme une photo époustouflante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Pablo Patarin
En nous plongeant dans l’enfer des plantations, Simon Moutaïrou nous livre un film mémoriel particulièrement d’actualité, où les protagonistes tentent de reconquérir leur dignité face à l’ordre établi.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Un premier film ambitieux et puissant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Le réalisateur débutant impose à sa mise en scène une pulsation saccadée et exponentielle qu’il maîtrise jusqu’au bout. La noirceur et le nihilisme qui parcourent son scénario, ainsi que son travail anxiogène sur le cadre, trouvent leur acmé dans une fin opératique, tragique et cependant non dénuée d’une forme inattendue d’espoir.
Le Parisien
par Catherine Balle
L’œuvre est portée par deux acteurs formidables (Ibrahima Mbaye Tchie et Anna Thiandoum), et une Camille Cottin étonnante en redoutable chasseuse d’esclaves.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Pour son premier film, Simon Moutaïrou livre un témoignage poignant sur le fléau de l’esclavage.
Voici
par Daniel Bois
Juste, fort et pertinent.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La force dramatique de ce survival réside dans son matériau émotionnel.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Ce requiem désespéré et rageur, signé par un scénariste reconnu, porté par la volonté de faire entendre une voix discordante face au déni qui est le nôtre sur le sujet, déchaîne sa mise en scène d’un geste (presque trop) affirmé. Mais il est nourri d’une salutaire énergie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un film qui multiplie les fausses pistes, s’égare parfois, mais demeure assez fascinant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Simon Moutaïrou et ses acteurs déploient toute leur énergie pour donner à cette traque une intensité terrifiante.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré un scénario minimaliste et manichéen, le drame puise sa force dans sa mise en scène sensorielle pour dénoncer le racisme et la déshumanisation.
Le Monde
par Cl. F.
Tourné comme un survival, Ni chaînes ni maîtres tient en haleine le spectateur, mais la rapidité de la mise en scène ne permet pas, hélas, de creuser les personnages (en particulier ceux qu’incarnent Magimel et Cottin, qui semblent être de passage). Le film réussit davantage à mettre en exergue les doutes qui taraudent une partie des jeunes Blancs en rupture avec leurs aînés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Reconstitution historique brutale, le premier long-métrage de Simon Moutaïrou, malgré ses maladresses et hésitations, ose aborder de front la question de l'esclavage, vieil angle mort du cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Clément Colliaux
Si, à voir la totalité du film, la balance entre devoir de mémoire et grand spectacle achoppe parfois, Simon Moutaïrou sait où se trouve le cœur du projet : rendre justice au regard des opprimés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Original, mais inabouti.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Cécile Mury
Malgré quelques longueurs à travers les forêts, au gré de la course-poursuite entre Madame La Victoire et les héros du film, le scénariste Simon Moutaïrou, dont c’est le premier long métrage en tant que réalisateur, réussit à mêler aventure et devoir de mémoire, dans cette poignante et palpitante quête de liberté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Damien Leblanc
Mais le recours constant aux codes du survival et la volonté de charger ce tragique récit d’un mysticisme magique et d’une esthétique fantastique atténuent étrangement la portée des personnages et limitent le réalisme de ce témoignage historique pourtant précieux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Sébastien Ors
Après une saisissante exposition des horreurs d'un système dont la France a amplement profité, le film sombre dans un académisme qui en atténue le propos et suscite un ennui poli.
CinemaTeaser
Qu’il s’agisse de la photo organique d’Antoine Sanier, au naturalisme très travaillé, ou de la formidable musique presque anachronique d’Amine Bouhafa, Ni chaînes ni maîtres se construit avant tout en expérience audiovisuelle, sensorielle et émotionnelle, jusqu’à sa sidérante scène de fin, terrassant moment de cinéma comme mise en images de l’indicible.
Ouest France
Un premier long métrage au souffle épique.
Franceinfo Culture
À une réalité historique, Simon Moutaïrou insuffle une dimension épique et philosophique. Ce qui apporte de la substance à une mise en scène mêlant action, thriller et fantastique. La distribution transporte l'audience tout comme une photo époustouflante.
L'Humanité
En nous plongeant dans l’enfer des plantations, Simon Moutaïrou nous livre un film mémoriel particulièrement d’actualité, où les protagonistes tentent de reconquérir leur dignité face à l’ordre établi.
La Croix
Un premier film ambitieux et puissant.
La Septième Obsession
Le réalisateur débutant impose à sa mise en scène une pulsation saccadée et exponentielle qu’il maîtrise jusqu’au bout. La noirceur et le nihilisme qui parcourent son scénario, ainsi que son travail anxiogène sur le cadre, trouvent leur acmé dans une fin opératique, tragique et cependant non dénuée d’une forme inattendue d’espoir.
Le Parisien
L’œuvre est portée par deux acteurs formidables (Ibrahima Mbaye Tchie et Anna Thiandoum), et une Camille Cottin étonnante en redoutable chasseuse d’esclaves.
Les Fiches du Cinéma
Pour son premier film, Simon Moutaïrou livre un témoignage poignant sur le fléau de l’esclavage.
Voici
Juste, fort et pertinent.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La force dramatique de ce survival réside dans son matériau émotionnel.
L'Obs
Ce requiem désespéré et rageur, signé par un scénariste reconnu, porté par la volonté de faire entendre une voix discordante face au déni qui est le nôtre sur le sujet, déchaîne sa mise en scène d’un geste (presque trop) affirmé. Mais il est nourri d’une salutaire énergie.
La Voix du Nord
Un film qui multiplie les fausses pistes, s’égare parfois, mais demeure assez fascinant.
Le Dauphiné Libéré
Simon Moutaïrou et ses acteurs déploient toute leur énergie pour donner à cette traque une intensité terrifiante.
Le Journal du Dimanche
Malgré un scénario minimaliste et manichéen, le drame puise sa force dans sa mise en scène sensorielle pour dénoncer le racisme et la déshumanisation.
Le Monde
Tourné comme un survival, Ni chaînes ni maîtres tient en haleine le spectateur, mais la rapidité de la mise en scène ne permet pas, hélas, de creuser les personnages (en particulier ceux qu’incarnent Magimel et Cottin, qui semblent être de passage). Le film réussit davantage à mettre en exergue les doutes qui taraudent une partie des jeunes Blancs en rupture avec leurs aînés.
Les Echos
Reconstitution historique brutale, le premier long-métrage de Simon Moutaïrou, malgré ses maladresses et hésitations, ose aborder de front la question de l'esclavage, vieil angle mort du cinéma français.
Libération
Si, à voir la totalité du film, la balance entre devoir de mémoire et grand spectacle achoppe parfois, Simon Moutaïrou sait où se trouve le cœur du projet : rendre justice au regard des opprimés.
Sud Ouest
Original, mais inabouti.
Télérama
Malgré quelques longueurs à travers les forêts, au gré de la course-poursuite entre Madame La Victoire et les héros du film, le scénariste Simon Moutaïrou, dont c’est le premier long métrage en tant que réalisateur, réussit à mêler aventure et devoir de mémoire, dans cette poignante et palpitante quête de liberté.
Première
Mais le recours constant aux codes du survival et la volonté de charger ce tragique récit d’un mysticisme magique et d’une esthétique fantastique atténuent étrangement la portée des personnages et limitent le réalisme de ce témoignage historique pourtant précieux.
Télé Loisirs
Après une saisissante exposition des horreurs d'un système dont la France a amplement profité, le film sombre dans un académisme qui en atténue le propos et suscite un ennui poli.