Le film le plus nul que j’ai vu de ma vie . Vraiment perte de temps , aucune histoire . La bande annonce est alléchante mais le film est tellement pourri que j’en perds mon vocabulaire ! Le mot pourri n’est pas assez fort . Retirez ce navet dés écran svp merci
La publicité du film fait référence à Tarantino, excusez du peu ! On retrouve bien cette alternance de scènes violentes et de dialogues décalés, voire absurdes, qui fonctionne assez bien. Le scénario -la trajectoire d'un Omar particulièrement inconsistant- se prêtait sans doute assez bien à cet exercice.
Reda Kateb et Benoît Magimel, semblent avoir un peu (trop ?) pris la main sur leurs rôles ; ils ont ainsi tiré le film vers la comédie et même parfois presque vers un feel good movie, au-delà des proportions de la recette tarantinoise, cassant un peu le rythme du film.
Quelques scènes violentes, d'autant plus ressenties comme telles qu'elles concernent de jeunes gamins, ont moins leur place dès lors que le film a perdu sa noirceur...
Ceci dit, Alger, toujours cinégénique, est excellemment bien filmée ! Les gamins débrouillards, la cité "Climat de France" avec ses combats de boucs, la Casbah, le port, une lumière superbe...
Une jolie trouvaille aussi, dans les première images du film, marquant l'éternelle nostalgie algéroise pour Paris, une voiture de luxe immatriculée à Alger, avec une plaque logotée 75, comme un parisien. Tout un symbole...
Et enfin, pour les nostalgiques, Meriem Amiar utilise pour son travail ... un pick-up 404 !
Alger comme si on y était ! A part ça pas grand chose à retenir à part deux immenses comédiens en roue libre et un scénario qui aurait mérité un peu plus de consistance
je ne qualifierais pas ce film de comédie, c'est très violent et cruel et cela ne donne pas envie de vivre en Algérie. Dommage, les acteurs sont excellents mais on se demande ce qu'il y a à comprendre .... dans l'époque actuelle on rêve à autre chose
Les réalisateurs semblent fascinés par la laideur : acteurs moches ou enlaidis pour l'occasion, quartiers sordides, musique moche. Le résultat est innommable. Des personnages qui passent leur temps à gueuler et à se taper dessus sans qu'on sache très bien pourquoi. Une langue et un phrasé d'une vulgarité insupportable. Ne séduira qu'un public fasciné par la "racaille", ses moeurs et ses "pompes".
Omar la fraise Ce film Algérien nous emmène dans un style cinématographique auquel nous ne sommes pas habitués. Le rythme alternant lenteur et vivacité peut surprendre. On y découvre derrière les éléments qui peuvent paraître bénins des profondeurs de sentiments de tendresse masqués parfois par la violence engendrée par la misère ou l'abandon. Mais dans ce film très finement réalisé chaque séquence est une caresse. Les maladresses ou naïvetés volontaires accentuent l'expression de sensibilités exacerbées L amour se devine même s'il n'est pas filmé L amitié profonde accepte de partager les tragédies. Les acteurs y développent de façon remarquable un jeu de surface qui laisse transparaître leurs affectivités. Voir ce film que j'ai beaucoup aimé c est voir une autre forme de cinéma.
Un film foutraque qui n'a pas su choisir à quel cinéma il a envie d'appartenir. Difficile à suivre jusqu'au bout, trop d'imprécision, trop de direction. Le scénario s'enlise un peu malgré deux acteurs qu'on savait déjà brillants.
Je ressort de la salle et bien ce que l’on va dire sur cette comédie pas terrible des bons acteur à l’affiche mais sans plus film très lent et l’histoire je n’ai pas suivi donc film très moyen.
À la fois comédie, chronique de 2 escrocs à la recherche d'une rédemption et film un peu noir, Omar la fraise reste un film attachant avec des acteurs au top et touchant. Ce duo fonctionne à merveille... Les acteurs non professionnels sont justes et ont un côté parfois comique.
Elias Belkeddar est un réalisateur talentueux. Certaines scènes sont jouissives, il sait manipuler la caméra, faire jouer ses acteurs et donner du rythme à son film. Et il est d'autant plus dommage qu'il n'ait pas réussi à tenir le fil de son long-métrage. A vouloir courir plusieurs lièvres (la retraite de deux mafieux, une romance et un portrait de l'Algérie), il finit par perdre en rythme et en intrigue. L'histoire entre Meriem Amiar et Reda Kateb ralentit l'action alors que le démarrage du film est trépident. Le duo Reda Kateb - Benoît Magimel est formidable et il est dommage qu'Elias Belkeddar ne soit pas allé plus loin dans leur douce folie. Il y avait moyen de réaliser un "Pulp fiction" à l'Algérienne. Dommage.