T€rr0risme, dr0gu€, c0caïn€, cach€ts, s@ng, règlements de c0mpte, s@br€s, c0ut€aux, pr0stituti0n, monde de la nuit, p@ri, vulgarité, endroits insalubres, et j'en passe, à un moment où les relations entre les deux pays battent de l'aile, tout en étant évidemment en avant-première au festival de Cannes. Décidément, les messages p0litic0-sublimin@ux sont bien reçus, le tout financés par C+ et bien entendu avec l'accord du CS@. YAW FAKOU !
Les tribulations de 2 caïds, tricards en France, qui partent se refaire en Algérie. Sujet plutôt original. Reda Kateb et Benoît Magimel sont plutôt excellents dans des rôles où on ne les vois pas souvent. Le film est plutôt plaisant à suivre, même s'il semble manquer de parti pris et mêler trop de sujets différents pour vraiment marquer le clou. En tout cas il m'a fait découvrir cette chanson grecque que je ne connaissais pas, Tin Afto, chantée par Sophia Loren. Rien que pour ça, merci.
Pendant la première moitié du film, j'en ai beaucoup voulu à celles et à ceux qui étaient arrivé.e.s à me convaincre d'aller voir ce film (elles et ils se reconnaîtront peut-être !). Pour qualifier cette première moitié un seul mot me vient à l'esprit : inepte. Et puis, vers le milieu du film, on est surpris par une belle scène entre Reda Kateb et Meriem Amiar, et ensuite, le film, surtout grâce à cette resplendissante comédienne algérienne, se met à ressembler, enfin, à quelque chose d'à peu près visible. Mise à part Meriem Amiar, il y a aussi, comme points positifs, la ville d'Alger, qu'on voit trop rarement au cinéma et une bande son très riche et très variée. Quant à Reda Kateb et Benoît Magimel, complètement laissés à aux-mêmes par le metteur en scène, ils alternent quelques bons moments et beaucoup de moments beaucoup moins bons.
Omar Zerrouki dit « la fraise » (Reda Kateb) est un malfrat franco-algérien. Condamné en France à vingt ans de prison par contumace, il n’a d’autre solution que de s’installer en Algérie sans espoir de retour. Son inséparable ami d’enfance, Roger Lhermitte (Benoît Magimel), l’accompagne dans son exil doré.
"Omar la fraise" est un film éminemment sympathique qui met en scène deux des plus talentueux acteurs du moment : Benoît Magimel, enfant de la balle (Chatiliez le révèle à treize ans dans "La vie est un long fleuve tranquille"), qui faillit se brûler les ailes au feu de la célébrité avant de connaître sur le tard une étonnante rédemption (il vient d’obtenir en 2022 et 2023 deux Césars consécutifs pour "De son vivant" et "Pacifiction") et Reda Kateb qui provoque chez mes amies cinéphiles une incompréhensible pâmoison malgré son menton en galoche, son oeil borgne et ses dents en pointe. On imagine volontiers le plaisir que ses deux potes ont pris, amis à la ville et amis à l’écran, en tournant ce film et en passant ensemble quatre semaine de vacances tous frais payés sous le soleil d’Alger.
Ce plaisir est communicatif ; mais c’est le seul atout d’un film qui n’en compte pas d’autres. Car, tout faraud d’avoir recruté ces deux pointures et de les faire tourner ensemble, son réalisateur, le novice Elias Belkeddar, a oublié l’essentiel : un scénario. L’idylle qu’il imagine entre Omar et une jolie Algérienne (Meriem Amiar), employée dans l’usine qu’il rachète pour blanchir son argent tourne vite court.
La promotion de "Omar la fraise" laissait miroiter un Tarantino à l’algérienne. C’est peut-être sur cette promesse là que le film a obtenu son ticket pour Cannes où il a été projeté hors compétition. la promesse fait long feu. Passée sa première scène, "Omar la fraise" troque les délicieuses parodies tarantinesques pour une exaltation sans saveur de l’amitié indéfectible qui unit deux arsouilles sur fond de coucher de soleil sur la Méditerranée. Du couscous sans harissa.
J’avais été très emballé par cette BA qui me promettait une histoire intéressante - proposée par un bon casting - le tout avec un arrière plan algérien magnifique. Et j’ai finalement été un peu déçu. Le film n’était pas au niveau de mes attentes. En fait, j’ai perdu le fil sur les intentions du réalisateur concernant les personnages et l’histoire globale. Ça manque un peu de clarté. Ça n’empêche que j’ai passé un moment agréable, sûrement aidé par une BO qui sent bon la musique algérienne.
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Une belle idée de faire un film sur les passions, l amour, la fraternité, la révolte mais c est raté malgré un bon rythme et une interprétation remarquable. Passez sur les faiblesses du scénario et allez y pour les acteurs et pour Alger.
Quelle surprise que ce film tout en nuances. Une écriture et un jeu d'acteurs.trices pointus. Enfin un film qui ne reprend pas les codes classiques du film de truands. Du jamais vu, à voir .
Pas grand chose à retenir de ce film long et ennuyeux, tant on s'attend enfin à avoir le sujet qui n'arrvie jamais. Malgré la qualité de ces 2 grands acteurs, on pourra retenir la qualité de la musique et l'invitation à découvrir un Alger populaire, loin des sentiers touristiques. Quelques scènes de violence sans queue ni tête, des blagues potaches,...ne restera pas dans les annales.
Très très moyen J esperai trouver les pieds nickelés à Alger mais non... Un scénario qui tient sur un timbre poste Un film tourné à Alger J attendais ça depuis 40 ans Même la kasba en 80 était plus jolie même le port Belle pub pour l Algérie de 2023...... Et dernier clin d œil c est la femme et l actrice qui apporte une lueur d espoir dans ce carnage cinematographique
c'est nul...dire que j'ai lu des critiques positives..genre qui disaient par ex que".ça rappelait les grands films d'antan de malfrats "... sur cette base, j'y suis allé, d'autant plus que j'apprécie les acteurs du film.... quelle déception...il n'y a qu'eux qui semblent s'être amusés...parce que moi j'ai souffert pendant une heure trente... non ce n'est pas ça un film de gangsters...revoyez vos classiques, monsieur le metteur en scène...
Acteurs excellents mais l'histoire ne m'a pas intéressée. On est aussi assez loin d'un "Tarantino algérien ", tel que vanté sur l'affiche. Un peu déçue.