Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Max Vdb
1 abonné
2 critiques
Suivre son activité
5,0
Publiée le 14 juin 2023
Face aux critiques très moyennes des spectateurs, je ne m'attendais plus à rien de ce film, qui est devenu une très bonne surprise! Sans être véritablement une comédie, il en a tous les ingrédients, humour et amourette, mais pas que! Trio d'acteurs génial et l'Algerie à l'honneur par ses paysages et ses habitants!
Une nouvelle fois je n'ai pas vu le même film que celui encensé par une majorité de critique. Le navet de l'année? Disons que cet Omar la fraise est bien placé! Pas de scénario, pas de cohérence entre une accumulation de scènes ajoutées les unes au autres au hasard? Que viennent faire dans ce globi bulga, des acteurs de qualité??Mystère! Quel ennui , il faut résister au désir de sortir , pour aller voir un bon film!!
Je ne comprend pas les mauvaise critiques, effectivement le scénario n'est pas ouf mais on passe vraiment un moment cool les personnages sont très bien incarnés.
Lire la critique complète ici : https://doisjelevoir.com/2023/05/27/omar-la-fraise-pas-facile-de-refaire-sa-vie-en-algerie-pour-un-bandit/
"Omar la fraise" transporte les spectateurs dans une ambiance captivante, plongés au cœur de l'Algérie populaire, dans un univers authentique. Le montage dynamique du film crée une intensité palpable tout au long de l'histoire. Chaque scène est habilement orchestrée, éveillant notre curiosité. Omar incarne la dangerosité du grand banditisme en exil, attirant irrémédiablement par son charisme magnétique. Le film surprend avec son mélange de passages légers et d'une violence saisissante, créant une atmosphère déroutante. Cependant, la folie qui nous emporte redescend vers la fin, diminuant l'impact. La romance entre Omar et Samira semble superflue, diluant l'importance des autres éléments du récit. Le personnage d'Omar est fantastique, mêlant violence effrayante et imperfection attendrissante. Reda Kateb est parfait, capturant brillamment la complexité du personnage, soutenu par un Benoît Magimel fou et posé, ajoutant une dynamique intéressante. La présence des acteurs à l'écran est captivante, difficile à saisir, et la première performance de Meriem Amiar est magnifique.
Quelle déception ce film ! Je me suis inscrit spécialement sur Allô Ciné parce que ce n'est pas possible de proposer un tel ratage et de faire payer l'entrée. Pas que les acteurs soient mauvais mais c'est totalement décousu, aucun scénario, ça part un peu dans tous les sens, ça s'essaie à tous les genres et au final on en retient rien du tout, bien qu'assez court (1h38), le temps est long, long, long.
De toute ma vie je n'ai jamais quitté la salle de cinéma sans allé au bout du film mais cette fois je n'ai pas pu me retenir tellement ce film est décevant, pas de scénario, des dialogues adaptés à l'algerie des bandes de jeunes mais inappropriés, des scènes de violence inutiles et sans savoir pourquoi elles arrivent, Benoît Magimel et son compagnon complètement décalés, j'arrête ne perdez pas votre temps
On touche le fond du gouffre, avec ce navet prétentieux, mal joué, décousu, sans queue ni tête. On dirait du sous-sous-sous Tarentino, à la différence que Tarentino sait bâtir une intrigue et raconter une histoire. Ici, on passe du coq-à-l'âne sans cesse et on ne sait plus exactement quel film on regarde. Magimel est déplorable et Kateb semble traverser ce film en se demandant ce qu'il fait là. Heureusement qu'il y a quelques belles vues d'Alger, bien filmée, lumineuse et animée, même si la vision que le film donne de la société algérienne est, elle aussi, bien contestable.
T€rr0risme, dr0gu€, c0caïn€, cach€ts, s@ng, règlements de c0mpte, s@br€s, c0ut€aux, pr0stituti0n, monde de la nuit, p@ri, vulgarité, endroits insalubres, et j'en passe, à un moment où les relations entre les deux pays battent de l'aile, tout en étant évidemment en avant-première au festival de Cannes. Décidément, les messages p0litic0-sublimin@ux sont bien reçus, le tout financés par C+ et bien entendu avec l'accord du CS@. YAW FAKOU !
Les tribulations de 2 caïds, tricards en France, qui partent se refaire en Algérie. Sujet plutôt original. Reda Kateb et Benoît Magimel sont plutôt excellents dans des rôles où on ne les vois pas souvent. Le film est plutôt plaisant à suivre, même s'il semble manquer de parti pris et mêler trop de sujets différents pour vraiment marquer le clou. En tout cas il m'a fait découvrir cette chanson grecque que je ne connaissais pas, Tin Afto, chantée par Sophia Loren. Rien que pour ça, merci.
Pendant la première moitié du film, j'en ai beaucoup voulu à celles et à ceux qui étaient arrivé.e.s à me convaincre d'aller voir ce film (elles et ils se reconnaîtront peut-être !). Pour qualifier cette première moitié un seul mot me vient à l'esprit : inepte. Et puis, vers le milieu du film, on est surpris par une belle scène entre Reda Kateb et Meriem Amiar, et ensuite, le film, surtout grâce à cette resplendissante comédienne algérienne, se met à ressembler, enfin, à quelque chose d'à peu près visible. Mise à part Meriem Amiar, il y a aussi, comme points positifs, la ville d'Alger, qu'on voit trop rarement au cinéma et une bande son très riche et très variée. Quant à Reda Kateb et Benoît Magimel, complètement laissés à aux-mêmes par le metteur en scène, ils alternent quelques bons moments et beaucoup de moments beaucoup moins bons.
Omar Zerrouki dit « la fraise » (Reda Kateb) est un malfrat franco-algérien. Condamné en France à vingt ans de prison par contumace, il n’a d’autre solution que de s’installer en Algérie sans espoir de retour. Son inséparable ami d’enfance, Roger Lhermitte (Benoît Magimel), l’accompagne dans son exil doré.
"Omar la fraise" est un film éminemment sympathique qui met en scène deux des plus talentueux acteurs du moment : Benoît Magimel, enfant de la balle (Chatiliez le révèle à treize ans dans "La vie est un long fleuve tranquille"), qui faillit se brûler les ailes au feu de la célébrité avant de connaître sur le tard une étonnante rédemption (il vient d’obtenir en 2022 et 2023 deux Césars consécutifs pour "De son vivant" et "Pacifiction") et Reda Kateb qui provoque chez mes amies cinéphiles une incompréhensible pâmoison malgré son menton en galoche, son oeil borgne et ses dents en pointe. On imagine volontiers le plaisir que ses deux potes ont pris, amis à la ville et amis à l’écran, en tournant ce film et en passant ensemble quatre semaine de vacances tous frais payés sous le soleil d’Alger.
Ce plaisir est communicatif ; mais c’est le seul atout d’un film qui n’en compte pas d’autres. Car, tout faraud d’avoir recruté ces deux pointures et de les faire tourner ensemble, son réalisateur, le novice Elias Belkeddar, a oublié l’essentiel : un scénario. L’idylle qu’il imagine entre Omar et une jolie Algérienne (Meriem Amiar), employée dans l’usine qu’il rachète pour blanchir son argent tourne vite court.
La promotion de "Omar la fraise" laissait miroiter un Tarantino à l’algérienne. C’est peut-être sur cette promesse là que le film a obtenu son ticket pour Cannes où il a été projeté hors compétition. la promesse fait long feu. Passée sa première scène, "Omar la fraise" troque les délicieuses parodies tarantinesques pour une exaltation sans saveur de l’amitié indéfectible qui unit deux arsouilles sur fond de coucher de soleil sur la Méditerranée. Du couscous sans harissa.